vendredi 2 novembre 2012

Le Potentiel : «Licence 3G : une maffia couverte par la justice»

publié il y a 16 heures, 32 minutes, | Denière mise à jour le 2 novembre, 2012 à 7:47 |  

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Revue de presse de vendredi 2 novembre 2012

Le Potentiel rapporte que l’Etat congolais est en difficulté au Tribunal de commerce de Kinshasa/Gombe. Le quotidien indique qu’n sujet libanais se présentant comme détenteur d’une bande de fréquences de 700 mégahertz (Mhz), s’oppose à l’attribution des licences 3G aux quatre opérateurs (Vodacom, Airtel, Tigo et Africell). Pourtant, informe le journal, les quatre opérateurs ont versé chacun à l’Etat congolais la somme de 15 millions de dollars pour se voir attribuer le droit d’exploiter cette fréquence.
Et contre toute attente, note Le Potentiel, « le Tribunal de commerce de la Gombe a tranché, dans un procès expéditif » en faveur du ressortissant libanais, obligeant l’Etat à suspendre l’exploitation du 3G, en attendant l’issue finale du procès.
Selon le tabloïd, la modalité d’attribution en 2004 de la bande des fréquences au sujet libanais – pour une « modique somme » de 14 000 dollars américains – et le verdict rendu le 26 octobre 2012 sont la preuve d’une maffia couverte par la justice dans le juteux secteur des télécommunications.
Pour sa part, La Prospérité renseigne qu’à l’UDPS : « Tshisekedi nomme les membres de la présidence ! »
Formellement, note la consœur, le lider maximo a tourné la page ‘‘Shabani Lukoo’, l’ancien secrétaire général de ce parti accusé de détournement des fonds puis blanchi par la justice. Bruno Mavungu Puati, jusqu’ici secrétaire général par intérim de l’UDPS, vient d’être confirmé à ce poste. Il sera secondé par quatre adjoints.

De son côté, le quotidien du groupe L’Avenir titre : « Budget 2013, La MP à l’épreuve. Nécessité d’une solidarité autour de Matata »
« Pour cet exercice, un accent est mis sur les ressources innovantes, c’est-à-dire, celles issues du crédit carbone, des entreprises structurantes, du partenariat public-privé, des budgets annexes et des comptes spéciaux tels que le Fonds national d’entretien routier, etc », indique L’Avenir.
Pour le journal, la solidarité de tous les députés de la Majorité Présidentielle est nécessaire et elle ne devra pas se tromper d’adversaire. Il y a nécessité d’un débat franc sur ce budget, même si chaque député doit jouer son rôle.

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