vendredi 21 septembre 2012

RDC: "Debout Congolais sans capituler"

"Défendons la République"



PRÉAMBULE
Le spectacle de la guerre au Congo sont des images d’un autre âge, il s’est produit des tueries des masses, des décapitations, des mutilations, des vols des organes comme les reins dans les camps des réfugiés, des viols des femmes et d’hommes sans oublier le pillage systématique de tout le territoire congolais. Les Congolais, après tous les sévices subis, n’ont pas des fosses communes, leur mort n’a pas de trace, elle demeure mystérieuse. Demain, si nous ne faisons rien aujourd'hui, nous serons étudié comme un peuple disparu, notre trace aura été effacé et nous ne seront plus qu'une mémoire éteinte. Il ne doit plus en être ainsi. À l'heure que l'on se prépare à disperser la "Force neutre" qui n'en n'est pas une, la MONUSCO stabilise les agressions que la MONUC a observé pendant 10 ans.

Comprenons bien qu'il s'agit de faire barrage à ceux qui nous massacrent, il va falloir les affronter et éviter toute expédition de type improvisée, cette guerre se passe au Congo et n'a cure de traverser la frontière sauf si le "Droit international de la guerre" est cette fois-ci bafoué. La cible, ce sont les bandits du M-23 qui ne doivent plus tuer et qui doivent avoir maintenant peur. D'ailleurs, ils ont déjà très peur. Notre rôle de citoyens mobilisés et vigilants, c'est d'éradiquer cette rébellion fausse que les 20.000 hommes de la MONUSCO refusent d'affronter, mais qu'ils stabilisent puisqu'ils ne les ont pas affrontés. La MONUC, avant elle, sa vocation était d'observer mourir et faire des rapports sur la tragédie permise sur les Congolais. En tout cas, la MONUC nous a observé et nous en sommes à la certification de l'observation des dix ans des Nations-Unies par sa stabilisation permanente au bon gré de "Paul Kagamé".
Source Djamba Yohé, adresse aux Présidents George Bush et Jacques Chirac, le 24 octobre 2006.
 
I. CE QUE J'AVAIS PRÉVENU EST DEVENU RÉALITÉ

Assez, c'est assez, c'est maintenant que l'histoire, dans les événements courants nous donne la permission de répondre par l'épée à l'espadon de l'ennemi, à la machette et aux balles qui vident le Kivu et la RDC. "Plus de six millions des Congolais morts est un bilan hideux". Notons, en passant que le Rwanda a tué dans toutes les provinces de la RDC et il s'est permis un raid audacieux au dessus du ciel congolais, le 2 août 1998, pour finir par priver de l'électricité, la RDC, le Congo Brazzaville, l'Angola, l'Afrique du Sud, la Namibie et le Gabon en assiégeant le barrage de Inga.


Le but de toutes ces guerres, en dehors des intérêts des compagnies multinationales sert à "Paul Kagamé" de déstabiliser la République Démocratique du Congo pour disposer du Nord-Kivu comme le Souverain belge du XIX ième siècle, Léopold II, l'avait pour possession sous le nom de l'État Indépendant du Congo. En fait, à quoi veut-il en venir dans l'immédiat :

  1. Créer un État rwandophone, un Nkundaland à défaut d'une annexion pure et simple ;
  2. Obliger la RDC de négocier avec Laurent Nkundabutuare pour imposer les desireratum de Kigali en vue de garantir les ambitions de Kigali sur le Nord-Kivu ;
  3. Obliger Kinshasa de renvoyer loin les FARDC afin que la zone de la Vallée de Ruzizi devienne une zone tribale comme en Afghanistan ;
  4. Intégrer le Nord-Kivu dans une sorte de Confédération tribalo-ethnique au sein de laquelle le Rwanda et le centre du leadership de la Région des Grands-Lacs au détriment de la RDC, alors que c'est une zone pour l'intérêt de tous ;
  5. Laisser un testament qui incite les fanatiques de la notion d'eugénisme et de racisme dont il se prévaut à créer un jour un pays indépendant soustrait du territoire congolais le long de la corniche de Rutshuru, Masisi, Goma et Kalehe, promontoire frontalier de la Vallée de Ruzizi.

C'est maintenant l'heure du combat final et décisif qui a sonné et de partout que l'on entende le clairon dans le cœur des Congolais fâchés. Sans tarder, revêtons notre curasse comme Gédéon, portons notre équipement de guerre, passons de la tempérance à l'offensive, car le canon de l'ennemi tonne en son cratère, mettons fin à son irruption en renvoyons KO les dirigeants de Kigali et de Kampala, contaminés par le démon qui défie Dieu, à travers sa créature, les Congolais, comme au temps où Lucifer a irrité le Créateur de toutes les puissances visibles et invisibles. Voici, peuple congolais venu le temps du sursaut patriotique et paraphrasons "la Marseillaise" en disant : "Allons z'enfants de la Patrie le jour de gloire est arrivé". La tyrannie a assez duré, nous avons gagné la bataille contre le mensonge, la propagande et la calomnie, c'est à notre tour de gagner la guerre sur le terrain dès que le premier coup de feu nous sera tiré par ceux qui nous ont menés une vie de chien avec leurs parrains qui les rétribuaient nos femmes, nos filles et nos enfants.


II. LA MÉTHODE TACTIQUE DE DÉBANDER LE M-23


Une guerre ne se fait pas sans mode opératoire, la nôtre serait une résistance populaire et citoyenne. Elle devra être un refus d'être des victimes à perpétuité de la barbarie de la philosophie de Paul Kagamé et son intime cannibale d'ami, l'ogre Yoweri Museveni. Nous devons être prêts à riposter avec tout ce que nous disposons pour nous défendre. Quand l'ONU ne nous défend pas, nous devons prendre l'ultime résolution nous-mêmes d'être les boucliers de notre peuple. Ce faisant, lorsque les envahisseurs surviendront en nous surprenant démunis, ce que nous devrons faire doit emprunter ces artifices d'auto-défense :

  1. Il faut d'abord Créer les conditions pour créer le contexte du consensus congolais contre la rébellion et réunir les conditions pour passer à l'offensive contre les rebelles sans contre-ordre hiérarchique ;
  2. Destituer Joseph Kabila, car c'est lui qui gangrène la fin des rébellions, l'odyssée de Budja Mabe est la parfaite illustre de cela,
  3. Changer des techniques de combat en abandonnant les méthodes classiques des États-Majors et des Écoles de guerre, utiliser les armes naturelles par l'usage du règne animal contre l'ennemi. Les Romains ont utilisé les oies comme radars et les rats comme missiles. Les Congolais peuvent utiliser dans leur infanterie populaire des serpents, des abeilles et les matshatsha des bambous (les manionia ya shimbala) etc ;
  4. Encercler les rebelles par la ceinturage des zones qu'ils occupent avec le concours de la population qui connaît très bien les contours du relief de son patelin. Après tout, celle-ci doit regagner au plus vite sa localité et son habitat ;
  5. Constituer des phalanges qui créent les conditions pour les embuscades surprises contre les forces d'occupation et empêcher toute mobilité de ses hordes ;
  6. Créer des réseaux secrets de communication et de transmission des ordres d'auto-défense ;
  7. Tendre des pièges traditionnels sur les pistes qu'empruntent les tueurs qui égorgent les Congolais ;
  8. Traumatiser psychologiquement les assaillants et leur lancer, par nos chefs coutumiers et nos mères, des malédictions et dire à Nkundabatuare qu'il est déjà pris dans les maillons d'un signe de malheur ;
  9. Faire une guerre de résistance comme les Français l'ont faite contre l'Allemagne nazie, Kagamé en est un mégalomane qui rêve au succès de Hitler ;
  10. Organiser un corps secret de commando avec tous ceux qui connaissent l'art militaire du combat de choc avec un petit nombre des combattants d'avant-garde pour des incursions de sabotage et d'attaque ;
  11. Détourner les combattants illégaux des pistes vers lesquels ils se dirigent pour agresser la RDC en les égarant avec des faux signaux d'alerte ;
  12. Fissurer la cohésion des troupes des brigands avec des actions incitant à la défection de leurs rangs avec l'usage des tracts, le recours à l'agitation et la profération des injures ;
  13. Dégonfler la force morale des rebelles et en leur coupant les voies de ravitaillements avec les techniques de combat empruntées à nos ancêtres ;
  14. Découvrir les itinéraires des entrées illicites des armées rebelles et progresser jusqu'à leurs entrepôts pour faire sauter leurs explosifs ;
  15. Rechercher les faiblesses de la rébellion et prendre la résolution par l'antidote de la surprise en vue de les rétracter dans leur assurance ;

Si les autres peuples réussissent à défendre ce qui leur appartient avec cran, les Congolais le peuvent aussi. Notons que le Nord-Kivu est déjà occupé, le déplacement des populations est précédé par l'occupation du terrain et la prise de possession des parcelles que Kigali offre à ses immigrants illégaux chargé de construire une majorité fictive pour être en position de revendiquer ce territoire lors des velléités d'indépendance. "La plupart des Banyarwanda du Congo ont été massacrés par Laurent Nkundabatuare" et "le Front Patriotique Rwandais" lors des premières invasions. Les "Congolais de langue kinyarwanda" constitue le plus grand danger contre le régime de Kigali, car ces derniers ne voudront pas céder leurs terres aux nouveaux venus qui ne sont là que pour servir leurs propres intérêts et la mafia qui les a recrutés. Il n'y a plus maintenant qu'à faire un sursaut patriotique doublé d'une décision de ne pas se laisser faire.

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