vendredi 21 septembre 2012

ALLONS AU COMBAT, LA GUERRE TOTALE VIENT DE COMMENCER

Le Général "Léonard Mulamba" Léopoldville

Décembre 1965 au Mont Stanley


"Défendons la République"
"Debout Congolais sans capituler"
Hommage aux Congolaises et Congolais abandonnés par l'ONU,
tués par Paul Kagamé, Yoweri Museveni, Laurent Nkundabatuare
et commandités par les multinationales d'Europe, d'Amérique du Nord
et d'Afrique du Sud

 
Copies : Au Saint Père le Pape Benoît XVI ;

À Sa Majesté la Reine Élisabeth II du Royaume-Uni ;

Au Roi Albert II de Belgique ;

Au Président George Bush des États-Unis d'Amérique ;

Au Président Nicolas Sarkozy de France ;

Au Président Shimon Perez d'Israël ;

Au Premier Ministre du Canada, le Très Honorable, Stephen Harper,

Préambule :

Le spectacle de la guerre au Congo sont des images d’un autre âge, il s’est produit des tueries des masses, des décapitations, des mutilations, des vols des organes comme les reins dans les camps des réfugiés, des viols des femmes et d’hommes sans oublier le pillage systématique de tout le territoire congolais. Les Congolais, après tous les sévices subis, n’ont pas des fosses communes, leur mort n’a pas de trace, elle demeure mystérieuse. Les États-Unis cautionant ces exactions là, n’est pas l’Amérique de Philadelphie ni celle des citoyens d’aujourd’hui dont on connaît l’attachement sincère à la bannière étoilée et aux principes qui l’ont fondés. Il est temps que le Congrès interpelle les Démocrates pour l'un usage abusif qu'ils ont fait de la puissance de l’État quand ils étaient au pouvoir. Source Djamba Yohé, adresse aux Présidents George Bush et Jacques Chirac, le 24 octobbre 2006. 
Congolaises, Congolais,

Peuple du Vendredi Saint
I. ALLONS AU COMBAT, LA GUERRE TOTALE VIENT DE COMMENCER

Cessons d'avoir peur, la Communauté internationale nous a abandonné depuis longtemps, elle participe à notre extinction par son silence et son indifférence, elle nous a livrés aux bourreaux qui tuent notre race et notre espèce, elle nous a condamnés à mort par les chaînes de la captivité humiliante entre les serres d'un État nain. C'est ce jour de l'Halloween, en ce 31 octobre 2008, que les dieux maudits nous aspirent dans les antres de leurs fournaises inextinguibles à perpétuité. L'ONU, les États-Unis d'Amérique, l'Union Européenne, l'Amérique du Nord, le monde Anglo-Saxon, la Francophonie internationale ainsi que l'Afrique noire ne sont plus avec nous, nous Congolais de la République Démocratique du Congo.

Au prochain coup de feu, levons-nous sans tarder et ripostons aux tueurs en leur infligeant la mort et la peur à leur tour. Paul Kagamé et Laurent Nkundabatuare doivent eux aussi avoir peur, mais surtout, ils doivent nous respecter. Pour faire face à ce défi, attaquons nos agresseurs avec toutes les armes et les moyens de défense que nous disposons. La volonté de vaincre nous affranchira de l'éviction et le mal qui ne cherche qu'à nous abattre avec sa faucille sera détruit. Pour gagner une bataille décisive, l'affrontement ne requiert pas absolument l'équité des dispositifs de combat, les hommes et les femmes déchaussés parviennent à vaincre Goliath et ses légions. Ici, ce sont des roitelets qui assaillent la RDC avec les gants de Gulliver. Nous sommes capables de risposter et de repousser les assauts de ceux qui ne nous aiment pas et qui nous détestent pour ce que nous sommes et ce que nous avons.

Il est plus que temps de nous charger de notre auto-défense sans la cuirasse des autres, l'heure a sonné pour montrer les muscles aiguisés de notre volonté contre la tyrannie de la rébellion commanditée de très loin, sinon ce sera trop tard, car les massacres ont assez duré et la mort n'a que trop été semée dans notre paysage national. Si la terre se rassasie des victimes qui lui sont offertes en holocauste, elle nous aurait déjà demandé d'arrêter de la nourrir pour qu'elle ait le temps de digérer les vies qui lui ont été sacrifiées. Nous risquons au rythme des multiplications de pogroms successifs de notre peuple, de déplacements de nos concitoyens au gré des fuites et de la désolation des familles que l'on soumet aux exodes infernaux, de perdre définitivement le Kivu au sens large du terme et le Nord-Kivu au sens précis et réduit de la stratégie de la terre brûlée que pratique le Rwanda et son homme de crime Laurent Nkundabatuare. Kigali a des prétentions sur la RDC, ne nous leurrons pas là-dessus. Et cette perte sera un trophée facilement acquis tellement que cette province n'aura pas pu résister, car elle ne pourra pas se battre faute des combattants, ils auront tous été tués comme les Romains à Alésia, en l'an 52 avant Jésus Christ par Vercingétorix, le Roi redoutable des Gaulois. Dans un Kivu vide, le Rwanda fera sien cette province vidée de ses vies humaines.

Ce qui vient d'être transgressé par Laurent Nkundabatuare au cours de ce mois d'octobre dépasse tout entendement, cet homme sans compassion qui déplace des multitudes des Kivutiens, mérite une correction suprême. Son crime à vaste échelle, par les offensives à répétitions contre le peuple congolais, est suffisamment éloquent et grave pour provoquer notre colère, le devoir de nous défendre nous oblige de l'affronter en dehors de tout cadre de résolution de conflit, car toutes les régies des Nations-Unies, des Grandes puissances et de la presse internationale fonctionnent à son avantage, en particulier la MONUC. Ce matin, c'est l'armée congolaise qui est reprochée par la MONUC à travers, Madame, la Haut Commissaire, Navi Pillay. Or, si ses contingents avaient protégé les Congolaises et les Congolais dans le remue-ménage de Goma, cette situation ne serait jamais arrivée. Par ailleurs, Laurent Nkundabatuare, en dépit de son orgueil de faux vainqueur, il a le culot de défier la MONUC en lui disant à la barbe et au nez de tous qu'elle n'est pas capable de le contenir s'il veut envahir Goma. De cette façon, Madame de la MONUC, montre les penchants de son organisation en prenant la part du tueur des masses. Cette déclaration est pareille à celle de quelqu'un qui soutient Hitler dans la solution finale.
En véritable filles et fils de la RDC, face au rejet que nous encourons sans cesse, nous ne devons plus nous dérober en espérant une hypothétique protection que nous assureraient l'ONU et les autres intervenants des Organisations internationales en Instance en RDC. Ces ambassades n'ont que trop traîné pour nous couvrir sous leurs ailes humanitaires. Dans la Sainte Bible, il est dit dans l'Ecclésiaste : "Il y a un temps pour tout". Voici donc pour nous Congolais le temps de faire la guerre quand on nous attaque, nous n'avons plus de compte à rendre à quiconque ni à aucune autre Organisation mondiale, car les conflits du même âge, ailleurs dans le monde, ont été résolus en un rien de temps, mais au Congo, c'est la perpétuité des malheurs qui sied.

Je redis encore, soyons prêts au prochain coup de feu pour aller au front sans tergiverser, demeurons ferme dans la poursuite des bandits que nous devrons traquer jusqu'aux confins de leurs territoires par rapport au point des rampes balistiques qui déversent les obus de Katioucha dans notre collectivité nationale. C'est notre droit le plus absolu de riposter contre l'agresseur, nous ne sommes pas les auteurs du génocide au Rwanda et nous ne sommes pas des Hutus non plus. La guerre que le Rwanda nous fait est une guerre raciste imbue de vanité et qui fait appel à l'eugénisme et à la consanguinité. Paul Kagamé, "sans le mandat des Tutsis", car il faut bien reconnaître que le discours du Président rwandais sur son ethnie et truffé d'arbitraire, clame et proclame unilatéralement à qui doit l'entendre que les membres de sa tribu sont des êtres supérieurs, alors que tous les autres voisins de la périphérie et même du cœur de la république rwandaise qui ne sont pas Tutsis, sont des êtres inférieurs, des cancrelats, donc des "nienzi". Les Congolais sont affublés de tout. Ce sont les BMW, ce sont des paresseux, ils n'ont qu'un Général, c'est Matumona dit Defao, cet ancien musicien de Grand Zaïko, à Kinshasa.
Franchement, ne nous interrogeons plus sur ce qui nous arrive même si nous ne le savons que trop. Elles sont devenues claires les nébulosités des convulsions de guerre. Le siège et la prise de Goma confirment l'ultime but que s'était donné Kigali et ses alliés qui ont ouvert des Consulats à Bukavu et à Goma. En effet, il fallait que ces puissances s'installent dans ces villes pour que devint facile tous les assauts pouvant décourager toutes batailles d'auto-défenses de ces chefs-lieux ambitionnées par Kigali. Une ville au sein de laquelle habitent les Consuls des États-Unis, de France, de Belgique, de l'Union Européenne, de Grande Bretagne, d'Allemagne et les membres des ONGs ne peut pas faire l'objet d'insécurité délibérément gratuite de la part d'un bandit de grand chemin, une localité ainsi identifiée est une forteresse barricadée et infranchissable par des services de sécurité et de surveillance. 
Partant, une ville comme Goma, avec toutes ses personnalités hôtes, qui tombe comme une mouche saoulée à l'insecticide n'est pas un fait du hasard, il y a eu au niveau le plus élevé des chancelleries occidentales un agrément tacite. Nkundabatuare est dans le secret des commanditaires par son bouclier rwandais, l'assassin des Congolais à foison, Paul Kagamé. Washington, Paris et Bruxelles étaient au courant de l'assaut et ont laissé faire, car "un nain spatio-temporel" comme "Laurent Nkundabatuare" devant les grandes puissances du monde ne peut pas se permettre une audace qui met en danger les vies des diplomates occidentaux sans encourir des représailles graves de leur part.

Hélas, comme maintenant le ton entre le Rwanda et la RDC n'est plus qu'un son de cacophonie animé par celui qui croit avoir avalé le géant État-Nation de l'Afrique centrale, j'ai cité le Congo, plus rien, aujourd'hui et maintenant, n'oblige les Congolais à observer les interdits de la coutume congolo-rwandaise, aucune attache ne tient plus les Congolais à être des amoureux à sens unique en face d'un frère devenu Caïn, ici c'est Paul Kagamé et sa Cour. Dans le Nouveau Testament, il est dit clairement par le Christ : "Soyez doux comme des colombes et prudents comme des serpents"; et le même Auteur messianique ajoute dans d'autres enseignements de sa doctrine : "Qui n'assemble pas avec moi disperse".

Effectivement, doux comme des colombes, les Congolais l'ont été et le sont encore, mais prudent comme des serpents, c'est ce que nous devons apprendre à être, c'est à cela que nous devons tendre pour juguler les méfaits de la conduite de Kigali au Kivu, désormais. Un serpent est un animal très habile et agile qui veille prudemment à sa sécurité. Pour nous jeter à vue d'œil au cœur du combat qui nous attend, il est impérieux que nous ayons la prudence des reptiles. Nous serons des serpents par sa rapidité de voir et d'échapper au danger, nous deviendrons des caméléons, par la qualité immédiate de cet animal de s'intégrer et de s'adapter à toute forme de nature que nous proposera l'écran de l'environnement. On nous a assez tués et humiliés. Que nous reste-t-il encore comme réflexe à braver ?

Écoutons l'alarme de l'horloge de légitime défense. "Il nous faut maintenant aller au combat, la guerre totale vient de commencer", car cette fois-ci, l'Amérique du Nord, l'Europe et le monde entier ont découvert malgré eux, la noblesse de notre tempérance et de notre patience. Pendant ce temps, 40.000 femmes victimes des exodes successifs, tous les jours, mettent au monde des enfants dans la brousse sans assistance médicales et conditions hygiéniques élémentaires. On ne peut pas nier ce que je dis, "il y a plus de 2.000.000 des déplacés de guerre au Nord et au Sud du Kivu". En tout cas, les horreurs dépassent l'entendement et la fiction s'est consacré comme imaginable dans les conditions les plus abjects de la réalité. Et ceci sont l'ouvre de Paul Kagamé et Laurent Nkundabatuare. L'ONU doit s'interroger sérieusement sur sa raison d'être ! Nous, Congolais, n'avons pas d'excuse de permettre encore ces récidives de crimes.

Congolaises, Congolais,
Peuple du Vendredi Saint

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