publié il y a 5 heures, 17 minutes, | Denière mise à jour le 6 janvier, 2013 à 6:03
Une tension oppose, depuis le 1er janvier, les habitants des deux villages du territoire de Sandoa au Katanga, selon des sources locales. A la base, la mort par foudre des sept personnes du village Kelela venues festoyer au village voisin de Bangalala. L’administrateur intérimaire de Sandoa s’est rendu, samedi 5 janvier, dans ces deux localités pour tenter de les réconcilier.
Les deux localités sont situées à près de 50 Km de la cité de Sandoa. Le jour de nouvel an, les habitants du village Kelela étaient invités par leurs voisins de Bangalala.
Les réjouissances s’accompagnaient de la danse traditionnelle, appelée Shombe sous une pluie fine. Puis la foudre a éclaté et tué sur le coup sept jeunes gens et brûlé grièvement huit autres.
Toutes les victimes sont de Kelela. Les autres habitants de ce village ont accusé l’adjoint du chef du village Bangalala, qui les avait invités, d’être l’auteur de cette foudre.
Ils s’en sont pris à lui et l’ont assommé. Le bilan total de ces incidents fait donc état de sept morts et huit blessés du côté du village Kelela et d’un mort dans le camp de Bangalala.
Ces informations ont été confirmées par le chef du bureau du territoire, de retour d’une enquête dans ces deux localités. De son côté, l’administrateur intérimaire du territoire de Sandoa a résolu de se rendre personnellement sur les lieux.
Sa mission consiste d’abord de tenter de réconcilier les deux localités voisines, ensuite, de convaincre les blessés à aller se faire soigner à l’hôpital général de Sandoa. Jusques là, les blessés refusaient de se rendre à l’hôpital.
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Ils s’en sont pris à lui et l’ont assommé. Le bilan total de ces incidents fait donc état de sept morts et huit blessés du côté du village Kelela et d’un mort dans le camp de Bangalala.
Ces informations ont été confirmées par le chef du bureau du territoire, de retour d’une enquête dans ces deux localités. De son côté, l’administrateur intérimaire du territoire de Sandoa a résolu de se rendre personnellement sur les lieux.
Sa mission consiste d’abord de tenter de réconcilier les deux localités voisines, ensuite, de convaincre les blessés à aller se faire soigner à l’hôpital général de Sandoa. Jusques là, les blessés refusaient de se rendre à l’hôpital.
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