samedi 19 janvier 2013

REDIFFUSION DU 11 DÉCEMBRE 2012

 
Mes chers compatriotes avant de féliciter les 20 personnalités internationales, félicitez-moi aussi, car j'écris tous les jours et je passe avant Jacques Chirac, Mohamed Ali, Valérie Triewvieler, Benguigui, Abdou Diouf
 
Vérifiez par les dates des interventions de ces derniers par leurs dépêches, vous verrez que c'est "Djamba Yohé" qui a tiré la sonnette d'alarme contre ces assassins rwandais que sont :

  1. Jean-Marie Runiga ;
  2. Shetani Makenga ;
  3. Vianney Kazarema, etc.

Quant à moi, je félicite à mon tour les autres Congolais, qui comme moi, ont eu le courage et la prémonition de dénoncer ces Rwandais qui tuent les Congolais chez-eux. Nous devons avoir une grandeur de cœur pour féliciter les nôtres d'abord, car si l'étranger intervient maintenant, celui-ci le fait à la suite de toutes les récriminations que nous avions portées contre l'agression du Congo auparavant. Donc, honneur et hommage aux Congolais de toutes les couches sociales, car le peuple que nous sommes a fait échec à un machiavélique plan de démembrer la RDC. Nous n'avons pas été écoutés, l'oreille du Conseil de sécurité et de la Communauté internationale était confisquée par les jérémiades, souvent fausses, de Paul Kagamé contre la RDC. Source : Djamba Yohé

"SIX MILLIONS DES NÔTRES SONT MORTS"

CESSEZ DE NÉGOCIER AD VITAM AETERNAM

LA GUERRE AVEC "LE M-23" N'EST PAS UN CRIME

CONTRE CES "NAZIS RWANDAIS" DES GRANDS-LACS

(Shetani Makenga, Jean-Marie Runiga, Sergent V. Kazarema)

 
Ces hommes sont des cruels assassins ne les écoutez pas, faites-les arrêter

Ce sont des Rwandais dès par leur CV qui viennent semer la mort en RDC

Goma doit faire une plainte collective contre ces assassins à la CPI


(Cliquez ce lien et parcourez-le)


DÉDICACE À TOUTES LES VICTIMES DE GOMA

à ma Tante Muayuma Onyemba" morte en fuite


PRÉAMBULE


Les Négociations de Goma sont un précédent dans l'histoire d'un pays indépendant et dans celle des Nations-Unies comme Organisation Mondiale pour la préservation de la paix, elle sont aussi pour l'ONU une trahison à son idéal de protéger ceux qui sont menacés et que l'on soumet au le pressoir de la mort. Les discussions de Kampala sont une augure qui est en train de modifier les rapports inter-tribaux de la RDC par leurs tenues, elles consacrent idéalement la partition d'un pays, le Congo. Désormais, il y aura deux pays dans un même pays, deux peuples dans un même pays, deux armées dans une même armée. Au final, c'est une humiliation du peuple congolais tout entier au vu de ceux soudards qui se disent "M-23", car, leurs relations avec le reste de l'Armée de la RDC sera un regard de condescendance et duquel sortira un adage swahili "Ba Congolais ni ba bibi yetu tute ba piga saa zote tunataka". En d'autres mots, les Congolais sont nos femmes, nous les battrons tout le temps que nous voulons.

 
Dans les Forces Armées un précédent de cet ordre-là est un feu qui couve sous la cendre. En dehors des autres raisons fondées sur la guerre de 1967, au Nigéria, c'est un peu cet orgueil-là que ressentait les soldats du "Biafra" vis-à-vis du reste de l'Armée fédérale et cela bien avant que la sécession de Odjukwu éclate. En effet, il y avait un clivage entre les "Ibo" et les autres, c'est-à-dire, les Yoruba, les Foulani, les Haoussas. Ce n'est pas ce que nous voulons en RDC. Olusegun Obasanjo a bien monté son coup en faveur du CNDP, aujourd'hui M-23. Source : Djamba Yohé, Réflexion sur la République, le 11 décembre 2012.


I. UN ENGRENAGE FUNESTE QUI NE FINIRA

PAS SANS GUERRE CONTRE LE M-23


MES CHERS COMPATRIOTES

ET DÉLÉGUÉS À KAMPALA,


Aucun M-23 ne vaut ce "Marine"

En plus Kulutu Ya "Djamba Yohé"

André Mpika est du domaine public

Nous sommes englués dans un processus des "négociations illégitimes" contre la logique du principe selon lequel, on ne concède pas sa propre souveraineté nationale et on n'hypothèque pas sa richesse publique à cause de la peur à ceux qui ont pris possession par la violence, l'orgueil et la barbarie sa propre terre :

  • Par l'intrigue qui consiste à falsifier l'histoire et la nationalité ;
  • Par les massacres de toute vie humaine qui ne s'identifie pas aux visées de Kigali ;
  • Par les viols des femmes, des enfants, des grand'manan et la sodomie des hommes ;
  • Par le pillage de la richesse du sous-sol, du haut-sol et de l'environnement ;
  • Par l'extermination massive de notre peuple et l'élimination programmée de l'élite;
  • Par la somme de mort de "plus de six millions des morts" de congolais.

Ce chiffre apocalyptique des décès provoqués par l'action mécanique de l'homme et non par la régulation de l'existence par la nature est un odieux crime qui ne nous permet pas d'être en face de ces interlocuteurs de l'enfer. En effet, si ce drame aux innombrables morts s'était passé au Québec, en Suisse, en Belgique, au Luxembourg, dans l'État de New York, il ne survivrait plus personne sur ces territoires. En clair, c'est en le sachant et en le voulant que nous nous sommes rendus sur le terrain de l'atelier qui a organisé notre funeste sort, l'Ouganda. C'est donc-là, sans dignité de notre intégrité humaine et sans la moindre vibration de la fibre patriotique de résistance légitime que la "République" au travers le Ministre des Affaires Étrangères, Raymond Tshibanda, signataire de l'Accord du M-23 avec le CNDP, le Président de l'Assemblée nationale, Aubin Minaku et les Députés ont accepté comme des moutons, pour la sixième fois, se mettre à genou pour supplier les tueurs de notre peuple en territoire ennemi.


Nous nous perdons dans un exercice qui s'est plusieurs fois soldés par des échecs récurrents à des enchères sans fins. La négociation dans laquelle nous sommes engagés est une improvisation superfétatoire dépourvue de méthodologie valant espèce des pourparlers. Avec le rendez-vous de Kampala, le gouvernement congolais est dans la rétorsion de l'argumentation de sa souveraine raison et s'oblige par lâcheté de démontrer la légitimité de sa démarche par l'usage d'un plaidoyer explicatoire devant son propre voleur, son propre violeur, son propre assassin, devant son propre nazi pour faire valoir sa science politique ne reposant sur aucun socle de la rationalité de l'éthique ni de celle de la spiritualité patriotique. Le Congo s'explique à genou devant les brigands et se fait horrifier par la menace des canons que le M-23, qui est Armée Patriotique Rwandaise, posé sur la tempe de la joue de l'Est-congolais que sont les villes de Goma, Bukavu et les sous-régions des Grands-Lacs.


En somme, les Délégués de la fausse rébellion sont tous des Rwandais qui ont pris le masque de l'identité congolaise et qui ne parviennent pas hélas à s'en défaire. Il suffit d'écouter parler :

  • Jean-Marie Runiga ;
  • Vianney Kazarama ;
  • Shetani Makenga.

Les Rwandais, entre-eux, commencent à bouder ce que leurs propres compatriotes font en RDC. Ils sont nombreux à murmurer contre ces crimes contre l'humanité imposés aux Congolais avec une perfidie qui sali l'ethnie "Tutsi" dommageablement pour plusieurs années en RDC et qui fait aussi des dommages collatérales en Afrique, car ces crimes sont maintenant au menu du "Congrès Américain" qui s'est fait interpellé par l'opinion publique des USA par les télévisions publiques et par des pétitions directes envoyées à la Maison Blanche. Cette lettre, voici son introduction :
December 10, 2012

President Barack Obama
The White House
1600 Pennsylvania Avenue NW
Washington, DC 20500

Dear Mr. President:
As the situation once again dramatically deteriorates in eastern Congo, the U.S. response to the crisis has patently failed and is out of step with other Western nations. The United States must take immediate steps to address meaningfully one of the greatest ongoing humanitarian crises of our generation. We call on you to appoint a Presidential Envoy to lead a coordinated U.S. response to the crisis, to support the appointment of a U.N. Envoy to the Great Lakes, to support the imposition of sanctions against violators of the United Nations arms embargo on DRC, and, finally, to cut all military assistance and suspend other non-humanitarian aid to the government of Rwanda for its support of the M-23 insurgency. Source : [hinterland1] Fw: Des ONG americaines ecrivent au president Obama.



Là-dessus, je peux vous relater ces noms précis :
 



Ces noms ces ONGs et Organisations humanitaires
mondiales qui ont adressé une lettre au Président Obama

Africa Faith and Justice Network
Atma Foundation
The Enough Project
Falling Whistles
Freedom House
Global Centre for the Responsibility to Protect
Global Witness




Humanity United
Invisible Children
Jewish World Watch
Open Society Foundations
Refugees International
Resolve
United to End Genocide


Que ressent l'Europe lauréate
du Prix Nobel devant ce crime
 
Ceci démontre bien que l'exception dont le Rwanda se revendique en Afrique, celle d'être la pupille de l'œil des États-Unis, tel que canonisé par "Madeleine Albright", a cessé de l'être. Aujourd'hui, avec une politique de soutien aveugle aux criminels de Kigali, les Américains en ressentent la culpabilité de leur laxisme au vu du nombre des morts faits par le Rwanda en République Démocratique du Congo.
Les États-Unis n’accepteront pas de cautionner le crime contre l’humanité en leur nom par un despote africain, car se commet en RDC est vraiment un "Crime contre l'humanité" déclaré. Et le Rwanda soutien qu'il a l'appui des États-Unis. Ce ne sera pas difficile aux gens de croire l'inverse, car l'Administration Clinton est à la source de la guerre en RDC. Mais aucun Américain ne voudra porter le toge de l'opprobre de cette guerre d'Extermination massive des Congolais chez-eux au prétexte que les États-Unis sont à la recherche des matières premières pour leur industrie de pointe.
Effectivement, Washington a attrapé une cataracte dans l'orbite de ses deux yeux rivés sur Kinshasa, les Grands-Lacs Africains et tout le Continent noir. Autrement dit, la "Maison Blanche" se débarrasse du Rwanda, car elle n'arrive plus à bien voir ce que font "Paul Kagamé" et "Yoweri Museveni" en son nom au cœur de la RDC, sinon que des cadavres que l'on mutile et profane par les M-23 et les charognards des montagnes d'Éthiopie qui viennent se régaler au Congo transformé en boucherie humaine par les hommes de mains de Paul Kagamé et son mentor dans les meurtres, Yoweri Museveni, le cannibale de Kampala. En un mot, Barack Obama a compris que ce sont les Rwandais qui font face aux Congolais dans les sales guerres qui ont humilié les "Nations-Unies" en RDC avec la coiffure d'une perruque postiche du M-23. Le pot-aux-roses est cassé pour Paul Kagamé.
Cela dit, nous nous trouvons en face du Rwanda par la bipolarité de sa transmutation au Congo. Les Rwandais ont conquis la RDC jusque dans ses fibres intestines et se retrouvent par ubiquité théâtrale réversiblement les mêmes comme interlocuteurs dans toutes les négociations avec les Congolais. Dans les Délégations pour ce faire, ils sont au four et au moulin des deux côtés et sont placés dans toutes les pôles positions des discussions avec un langage de victimes interpellant son bourreau. La visualisation claire de ce phénomène des négociations à récurrence perpétuelle, projette à l'écran une réalité incontestable. En fait, ce sont les "Rwandais" qui se parlent entre-eux à Kampala, à Kigali, à Kinshasa sans mêler les Congolais au centre de tous ces dialogues. Par leur philosophie de suprématie raciale, ces derniers cloisonnement les murs interpersonnel de communication. Par Kagamé, ses légionnaires envoient des signes de distance entre-eux, les nouveaux Congolais, d'origine rwandaise par la Kalachnikov et les anciens Congolais, que sont les Rdéciens de souche, accusés par Kigali d'être des fainéants et des amorphes.
D'ailleurs, c'est cette arrogance qui a fait dire à "Jean-Marie Runiga", un Rwandais pure laine et sa bande, avant la rencontre de Kampala, qu'ils n'ont pas le temps de consacrer "aux imbéciles de Kinshasa". Malgré cette injure-là, le Parlement congolais est aux pied des tueurs des Congolais avec l'objectif de déboucher à une entente cordiale avec les bandits, les assassins, les cruels tueurs qui ont vidé la RDC de 1/10 ième de sa population et qui ont fait que le taux de natalité des Congolais soit devenu inférieur à celui des décès. Ce sont les "Rapports de Human Rignt Watch" sortis autour des années 2002 qui signalait cela déjà.
En somme, ce sont les Rwandais qui se parlent entre-eux sans nous les Congolais. Pour l'opinion internationale que l'on trope, ce sont les se parlent et ne parviennent pas à s'entendre, voilà comment "Paul Kagamé" et le "M-23" nous font paraître dans ce triste cinéma des invasions barbares qui les a enrichis jusqu'au point où le Président rwandais s'Est acheté l'avion le plus select du monde des affaires, le "Global Bombardier" de Montréal. Pas beaucoup d'homme d'affaires ni des riches ne possède cet aéronef au monde, mais Kagamé avec le sang des Congolais dispose de cet appareil. "Il s'agit d'un théâtre rwandais des Congolais marionnettement modifiés" auxquels ont fait jouer des rôles naïfs selon lesquels, ils négocient à Kampala, alors qu'au fond, ils sont les instruments d'une perversion de leur humanité par le Rwanda. Les Délégués, vous aussi qui me lisez, c'est vous que l'on a transformé en pantin pour offrir à la Communauté internationale un spectacle à travers la lunette des scénarii imaginés à Kigali par Paul Kagamé et son grand cruel grand frère chez qui vous êtes hôtes, Yoweri Museveni, l'Ougandais.
Nous sommes dans une situation qui demande à notre patriotisme beaucoup du courage, c'est-à-dire refuser de capituler sous la férule cruelle des gens qui ont "massacré plus des six millions". Nous avons résisté pour les autres en 1914-1918, nous pouvons résister pour nous-mêmes. Le Général Lundula et Gaston Diomi, alors soldat de troupes, sont allés se battre pour les Belges, les Britanniques et les Américains dans la "Guerre du pacifique" en Birmanie. "Pierre Ryckmans" est celui qui a mobilisé nos pères pour 1940-1945 et il a obtenu ce qu'ils voulait d'eux. C'est aussi lui qui a mobilisé les Congolais à aider le "Général De Gaulle" à faire une levée des fonds au Congo-Belge.
Nos militaires, au lieu de laisser le champ de bataille libre aux occupants qui comptent avec "Joseph Kabila" leur allié de Kinshasa doivent résister et associer les volontaires qui veulent les suivre dans une longue résistance, c'est notre droit. La démarche de Kampala est une supercherie qu'il faut rejeter. Nous ne retrouverons pas notre pays si nous n'en décousons pas militairement avec le M-23, il faut les attaquer pour les chasser en vue de leur faire cesser de tuer les Congolais tous les jours. Ils ne sont pas Congolais, c'est pourquoi ils sont sans foi ni loi devant la vie des Congolais. Voilà comment les Belges ont fait sous l'occupation allemande :
Pierre Ryckmans a résisté
avec nos pères en '40-45
Avec les années de guerre, les mouvements de résistance se développèrent. Des officiers et soldats qui n'étaient pas prisonniers avaient fondé, dès la fin de 1940, la légion belge qui allait s'appeler plus tard l'Armée Secrète, reconnue comme unité militaire combattante légale par le gouvernement belge en exil et par les gouvernements étrangers en guerre contre l'Allemagne. (...) Des groupes autonomes s'organisèrent spontanément un peu partout, dans les villes pour y faire du renseignement et du sauvetage d'aviateurs alliés abattus, dans les forêts d'Ardenne et en Flandre, comme la Brigade Blanche dite Witte Brigade animée par des Flamands patriotes, ainsi que dans des entreprises et dans les universités.
Après la fermeture de l'Université de Bruxelles, promise à devenir une université allemande -que l'occupant n'eut pas le temps d'installer- des ingénieurs de cette université fondèrent le « groupe G » voué à organiser des sabotages sophistiqués. Le résultat en fut « la grande panne » provoquée par la destruction simultanée de dizaines de pylônes et de stations et sous-stations du réseau à haute tension alimentant des industries belges réquisitionnées par l'occupant, ainsi que des usines allemandes qui captaient l'électricité belge. C'est l'ex chef de la Maison militaire de Léopold III, le « général Tilkens », laissé par les Allemands en liberté surveillée, qui s'activa à fournir des armes à des groupements de résistance avec, dit-on, l'accord du Roi. Et celui-ci approuva la nomination, par le gouvernement belge de Londres, du colonel Bastin à la tête des « Forces de l'Intérieur », principal mouvement de résistance armée. Source : Wikipédia, la Résistance belge sous l'occupation allemande.
Revenons à notre propos avant cette parenthèse belge. Il n'y a pas des doutes à cette affirmation. L'environnement des négociations est de soi ce décor des dupes. Celui qui offre le cadre des pourparlers n'est autre que Paul Kagamé et Yoweri Museveni, ceux-là même que l'ONU, la MONUSCO, le Human Right Watch, l'Amnesty International, les Congolais, eux-mêmes, accusent avec des preuves à l'appui. Par ailleurs, la rue de Kampala qui se défoulent sarcastiquement de ces négociations contre la naïveté du gouvernement de Kinshasa dit haut et fort que ces installations hôtelière de "Munyonyo Resort" sont en fait une des propriétés multiples de Yoweri Museveni.
II. LA POSITION DU PROBLÈME
DANS LES NÉGOCIATIONS
MES CHERS COMPATRIOTES
ET DÉLÉGUÉS À KAMPALA,
Le Général Léonard Mulamba
l'homme de Stan. et de Bukavu
Il ne manque pas au Congo d'homme capables à diriger les troupes congolaises comme l'homme de Bukavu et de Stanleyville, ces génies existent avec ou sans canons de grand calibre pour gagner la guerre contre les bandits du M-23. Résister comme le "Général Léonard Mulamba" est notre obligation de devoir pour la patrie en danger d'être bradé et déconfigurée de ses frontières et de son unité culturelle dans la diversité. Cela étant, l'impérieuse nécessité d'éclairer l'opinion publique nationale sur ce qui se passe dans les coulisses du pouvoir, car les vrais enjeux ne nous sont pas montrés, requiert de l'élite congolaise impliquée dans la communication médiatisée comme, ces citoyens patriotes :
  1. Lambert Opula ;
  2. Jean-Pierre Vununu ;
  3. Ilunga Kalama ;
  4. Paul Kahumbu ;
  5. Diangitukwa Fweley ;
  6. Freddy Mulongo ;
  7. Jean-Pierre Mbelu ;
  8. Rolain Mena ;
  9. Arthur Kalombo ;
  10. Catherine Lokota ;
  11. Candide Okeke ;
  12. Augustin Kiassi, etc.
Je me reprends. L'élite congolaise, celle qui se donne la peine de réfléchir sur l'avenir du pays, doit se questionner sans faux-fuyant sur la position du problème des négociations dans lesquelles le Congo est embourbé et dans lesquelles il s'oblige, par faiblesse, de donner un statut d'interlocuteur aux bandits qui ont massacré et qui massacrent toujours en RDC comme vous avez pu les voir dans la série des photos en liens affichées à l'exergue de L'Encrier du Rédacteur de l'Atlantique Nord.
En somme, Nous sommes aux sixièmes négociations du genre avec les mêmes individus dans le même cadre de l'environnement des commanditaires d'agressions pour des discussions à répétitions sans résultats. À ma connaissance, la raison de toutes les tribulations criminelles qui déstabilisent la Nord-Kivu ne reposent que sur un seul marqueur majeur de l'insécurité. C'est l'incidence récidive de la préemption du Nord-Kivu par le Rwanda. C'est cet argument-là qui a prévalu au cours du "Raid du 1998" au Bas-Congo et concouru à la création du RCD/Goma dans lequel le cahier de charge de "Azarias Ruberwa", lui-même, un immigré de la première génération, revendiquant avec l'arme au poing :
  • La reconnaissance des Banyamulenge comme tribu congolais même quand à Kigali on conteste cela par les Rwandais dont James Kabarebe lui-même ;
  • L'octroi et la reconnaissance d'un territoire purifié des autres composantes tribale du Kivu historique, voulu comme "Territoire de Minembwe" ;
  • L'inauguration d'une milice permanente tribale dite "Rwandophone" dans les hauteurs de Rutshuru, Masisi, Kalehe et Goma et qui ne devrait jamais faire l'objet d'une unité militaire affectable ailleurs en RDC ;
  • La falsification de l'histoire, etc.
À la lumière de ce regard, il appert que la position de problème est la fraude historique du Rwanda qui affirme sa souveraineté sur le Nord-Kivu et dès par ce fait, unilatéralement déclaré, Kigali déstabilise la RDC pour rattacher cette province du Congo à l'intérieur de ses frontières. Si dans les faits, cette conquête a échoué jusqu'à date, celle-ci s'entend pour le moment comme un bail de territoire rwandais donné en tutelle au Congo et que le Rwanda revendique pour son retour dans le giron national de sa République. Nous trouvons devant une réalité semblable à celle que le Roi des Belges, "Léopold II, affronté face aux Britanniques dans la préemption des enclaves du Lado et Bahr El-Ghazal, au Soudan, le 14 août 1894.
On peut aussi approcher les élucubrations du Rwanda au Nord-Kivu comme l'impatience de la Chine à reprendre de la Grande Bretagne la ville de "Hong Kong". Or, dans ces deux cas évoqués, la cession des enclaves de Lado et du Bahr El-Ghazal et celle de Hong Kong sont en conformité avec l'histoire telle qu'elle a enregistré les contentieux avec les prévisions de résolutions. Et cela nous conduit à ces exigences que l'on perçoit en filigrane aux négociations de Kampala et qu'encourage "Joseph Kabila" au détriment du Congo pour satisfaire le Rwanda :
  1. L'érection d'un pays Tutsi congolais au Nord Kivu s'inscrivant comme une principauté ou comme une République libre à l'intérieur du Congo, une Constitution, une Fonction Publique et une Force Publique distinctes de la RDC ;
  2. Levée d'une armée intérieure dans l'espace opérationnel d'une armée nationale et républicaine avec État-Major Général à Kinshasa, le M-23 ou son correspondant qui serait sans doute G-32 ;
  3. Susciter une tribu spéciale au-dessus de toutes les autres tribus congolaises qui sont toutes minoritaires, en RDC, telle que tribue des :
    • Bena Budia d'autour de Kabinda au Kasaï oriental ;
    • Bena Tshitolu d'autour de Mbuji Mayi, Kasaï oriental ;
    • Les Bambata du Bas-Congo des alentours de Inkisi et Mbanza Ngungu ;
    • Les Assolongo de Matadi que le RCD a massacré en 1998 ;
    • Les Bokatola, etc ...

  • Accorder un statut particulier de coexistence entre ceux appelés :
    • Banyamulenge ;
    • Les Tutsi-Congolais ;
  • Ce n'est pas moi qui crée cette distinction, elle découle du cahier des charges de "Azarais Ruberwa", de 1998, de "Sun City" et des revendication entendu lors du massacre de "Gatumba" crimes au cours desquels, sans vérifier, celui qui était alors "Vice-Président de la RDC" s'est empressé à accuser son pays, le Congo comme commanditaire de ces assassinats. Il y a eu même à côté de ce Ruberwa quelqu'un de sa souche que je connais qui a amplifié cette revendication, dont je tais le nom, en alléguant qu'il faut que l'on arrive à cette distinction-là, sinon les Congolais vont assimiler les "Rwandophones". J'était frappé de malaise, car cela sous-entendait qu'être Congolais était l'attribut d'un être sale dans le sang, dans l'âme et le corps. Or, ce sont les Congolais qui ont toujours accueilli les Rwandais chez-eux de tous les temps. La dernière date illustre de cet accueil, le 7 avril 1994. En une nuit, Goma a accueilli plus de 3 millions des Rwandais, fuyant le début du génocide au Rwanda.
    En clair, les guerres auxquelles on soumet la RDC sont des harcèlements de type : "Si tu ne me donne pas ce que je demande, je te tue". Et c'est cette propagande-là, celle consistant à dire que les "Congolais n'aiment pas les Rwandais" qui fait recette dans les "Institutions internationales" comme l'ONU. Et puis, à cause de cela, on ne regarde plus les causes de la guerre en RDC et on ne se pose pas la question de savoir pour le Congo est en conflit avec le Rwanda. L'évolution de cette situation-là a tout enlisé du processus de sortie de crise en RDC, car pour chaque nouveau venu sur la plate-forme des décisions internationales de la gouvernance mondiale, la réalité de la région des Grands-Lacs se présente à cette individualité toute autre.
    En effet, ce sont les Congolais qui écopent, ils sont vus comme le problème à la crise au Rwanda, car les "Tutsi" y ont été victimes du génocide. mais cette évidence-là n'a aucune relation avec les "Congolais", les Congolais n'ont aucun tort, ils espèrent eux aussi de la part de ces intervenants internationaux d'être aidés et d'être protégés surtout. Et comme les "États-Unis" n'y mettent pas de leur voix, la faute est béante, elle est congolaise. Or, ce sont les Rwandais qui ont crée tout l'"Apocalypse au Congo" en dénaturant les accusations à faire sur le "Hutus" sur les Congolais. Car, il n'y a aucune cause à effet qui transmute le "génocide du Rwanda" au Congo. Le peuple de la RDC n'a jamais génocide aucun rwandais. Par contre, ce sont les Rwandais, de la souche victimes du génocide, les "Tutsis" qui ont tué "plus de six millions de Congolais" et cela ne se discute pas, les preuves sont-là. Bien entendu, les "Hutus" sont dans le même jeu, car quand il s'agit de tout déverser de leur conflit "Hutu-Tutsi" sur le Congo, la "victime émissaire" est déjà choisi par leurs conflits, la "RDC". Et le reste de la planète n'entendra que cette version venant de ces antagonistes-là.
    L'ONU n'a pas trouvé mieux, elle a paramétré son diagnostic de résolution de conflit dans le sens que les "Rwandais" l'ont orienté contre le Congo. Partant, pour résoudre définitivement cette question de coexistence difficile et mauvaise entre "Hutu-Tutsi", l'après génocide a été un casse-tête désarmant débattu avec injustice contre la RDC. L'ONU, qui est le prête nom des ingérences des Puissances étrangères impliquées dans les guerres dans Tiers-Monde et plus spécifiquement les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et la Grande Bretagne, a accepté de porter l'agenda de l'une de ces représentations pour imposer une paix bancale et débile dans le conflit rwando-rwandais. Il apparaît très clairement que les Nations-Unies, sous couvert d'une tierce puissance, a envisagé de créer un "Foyer national" pour les Tutsi victimes du génocide dans une partie du territoire congolais. Ce n'est pas innocent ce choix, ceux-ici, sous le masque de Paul Kagamé et son armée bien équipé à toute éventualité d'agression, offrira son paravent aux activités illicites de l'exploitation minière en RDC.
    Que cela soit dit tout haut, la guerre au Congo tient de deux facteurs, l'un, relevant de l'exploitation illégale du sous-sol congolais par ceux qui ont aidé le pouvoir de Kigali à s'installer au Rwanda, l'autre, l'obligation du bénéficiaire de cette aide à être reconnaissant de la terre que l'on a enlevé au Congo en s'érigeant comme propriétaire par une action militaire de défense du territoire volé. Et tout ce stratagème est chapeauté par l'ONU, alors MONUC qui va être là sans intervenir au motif qu'elle observe pour bien renseigner le Conseil de sécurité, mais en réalité, elle œuvre pour la même cause que le côté qui s'est approprié le Nord-Kivu. En mot, l'ONU fera tout pour faire pourrir la situation pour empêcher toute possibilité de reconquête du territoire volé devenu zone de non-droit. Cette évolution a mué avec les gains obtenu à changer la mission des contingents de l'ONU.
    En fait, il s'est agi de consolider les gains de la fausse rébellion sur le terrain par une aide accrue de la MONUSCO (Mission des Nations-Unis de Stabilisation du Congo). En fait, cette stabilisation-là, c'est l'hypothèque définitive du Nord-Kivu au M-23. malheureusement, ce plan a échoué, mais la MONUSCO n'a pas défendu la population, elle laissé les envahisseurs entrer dans Goma. Pour redire autrement cette lecture d'événements dramatiques récurrents en RDC, il s'agit d'une action savamment bien menée pour entraîner le Congo à un démembrement définitif. L'Administration Clinton qui a monté toute cette tragédie de fil en aiguille s'est a forcé l'Europe à avoir la même disposition de solidarité à ses politiques africaines pour parler de la même voix dans le cadre, sans doute de l'OTAN, Organisation commune de l'Atlantique Nord pour faire corps devant une controverse pouvant contrarier un membre du bloc de défense mutuelle.
    Au plan pratique, cette solidarité de facto, se traduit par l'infliction des défaites des Forces Armées Congolaises par l'Armée du Rwanda et de l'Ouganda sans que l'Europe ne s'en indigne, le but étant celui de créer les conditions favorables à asseoir ce projet :
    1. Promouvoir par un marketing répétitif le génocide rwandais et noyer tous les crimes que commet Kigali en RDC pour faire valoir à l'opinion internationale le danger d'extermination massive des Tutsis exposés par un méchant voisin, le Congo considéré comme foyer radial de tout ce qui peut arriver d'imprévu sur le Rwanda de Kagamé ;
    2. Frapper le Congo d'un embargo sur les armes en vue de le rendre faible dans tous les cas en ce qui concerne la défense de son territoire par ses militaires et ses forces de résistance civiles ;
    3. Accorder le droit de poursuite au Front Patriotique Rwandais de Paul Kagamé sous prétexte de poursuivre les "Hutus". Pourtant, c'était une invasion par étape du Congo qui fut aussi une prise de possession du territoire pour favoriser la contrebande des richesses de la RDC dont les experts de l'ONU ont fourni des preuves à plusieurs reprises sans suite des conséquences contre le banditisme rwandais et ougandais dans un État souverain ;
    4. Autoriser l'installation des troupes rwandaises à demeure en les convertissant des rôles et en revendiquant pour elles une origines congolaise. Les armées rwandaises et ougandaises ont occupé le territoire congolais pendant sept ans, mais ce scandale était difficile à couvrir. L'ONU fut obligé a négocier un faux départ des Rwandais au Congo en faisant disparaître faussement leur uniforme au Congo puisque les Rwandais et les Ougandais commençaient à se faire la guerre à la suite des disputes des territoires d'exploitation, de pillage, de vol et des viols des Congolaises et Congolais ;
    5. Implanter un régime rwandais en RDC du sommet à la base et la formule fut toute trouvée, il fallait faire élire "Joseph Kabila, un rwandais d'origine et de promouvoir le processus de brassage, c'est-à-dire faire entrer les soldats du Force Patriotique Rwandais au sein des Forces Armées de la RDC, les FARDC.
    Bien entendu, ces avantages offert aux Rwandais, comme je l'ai explicité ci-haut sont liés à des contreparties couvertes par des Accords secrets. Vous avez un territoire pour un foyer national, vous avez l'obligation d'être les défenseurs armés de nos intérêts. Ce sont donc les multinationales américains d'abord de l'Arkansas à cause de leur proximité avec "le Président Clinton" et son "Administration". Puis, se sont ajoutés d'autres groupes motivés par le même appât de gain à la manière mafieuse, c'est-à-dire jouir de l'exploitation clandestine de la RDC. Ces compagnies qui s'inscrivent dans cette exploitation illégale, pour éviter que l'on pointe du doigt leurs adresses, ces opérateurs dans les mines spoliées du Congo ont pour label des asiatiques :
    • Indonésie ;
    • Philippines ;
    • Émirats Arabes-Unis ;
    • Inde et Chine avec clauses particulières, etc.

      La guerre au Congo est gérée par une guilde des
      loges qui se tiennent comme les membres du Cigare
      du Pharaon entre USA, France, UK, Chine, Russie.
      En somme, la position du problème, c'est cette préoccupation d'affirmer que le "Nord-Kivu" est rwandais. Les Puissances qui ont aidé le "Rwanda" à occuper le Congo se sont soutenus en se gardant de faire dissension dans leur cohésion de circonstance, celle de parvenir au démembrement de la RDC en plusieurs petits pays non-viables, mais comme des parcelles sous contrôles des multinationales américaines, européenne, asiatique un peu à la manière dont on a partagé l'Afrique à Berlin, en 1885. En fait, il est question d'"affirmer unanimement la préemption du Rwanda" sur "le Nord-Kivu" avec la voix prépondérante des "USA" comme l'écho du Grand Orient dans une loge maçonnique.
      La récurrence des groupes armés qui attaquent la population et l'armée de la RDC est une démonstration de cette revendication d'un Nord-Kivu rwandais qui ne doit pas répondre du pouvoir politique de Kinshasa, mais du nouvel ordre que Kigali a inauguré avec les guerres sans fin faites aux Congolais, initialement imaginées par l'Administration Clinton afin de disposer des richesses et ressources de la RDC avec son groupe d'hommes d'affaire de l'Arkansas et, par ricochet, à ses autres soutiens qui financent le parti démocrate des États=Unis d'Amérique. Le Rwanda est donc tenu à rendre des services par des agressions successives au Congo pour le compte de l'Administration Clinton. En un mot, Paul Kagamé bénéficie de l'octroi des terres congolaises du Kivu comme foyer national pour ses conquêtes de l'Est congolais.
      III. L'EXTENSION DE L'OCCUPATION DANS LE TEMPS
      MES CHERS COMPATRIOTES
      ET DÉLÉGUÉS À KAMPALA
      Les États-Unis et l'ONU ont longtemps refusé de reconnaître l'agression du Rwanda et de l'Ouganda contre la RDC. Au cœur de ce refus, toutes les accusations contre le Rwanda étaient redirigées contre les Congolais sur qui on portait le blâme des troubles intérieurs de cette république voisine. Car, alléguaient-on, les "milices hutus" qui terrorisaient dans leur pays venaient de la RDC. Par cet argument malhonnête, Washington a aidé le Rwanda à occuper le Congo au fil des jours, des mois et des années jusqu'au pourrissement actuel avec la permanence des milices rwandaises au Congo subventionné par le régime de Kigali. Dès lors, ce ne fut qu'un problème de prise de possession du territoire congolais par étape programmée en vue de mettre illégalement la main aux richesses de la RDC sans contrainte ni résistance. Le Rwanda a pris de l'embonpoint, s'est acheté les armes avec les ressources du Congo. Plus que cela, Kigali s'est installé à demeure avec des milices que Paul Kagamé contrôle depuis sa résidence et garde ainsi le Congo sous perfusion.
      Ce faisant, dès lors qu'il fut difficile d'entrevoir un Congo en paix sans le Rwanda, c'est à ce moment-là que Washington donne son consentement pour l'envoie des troupes de l'ONU, la MONUC, mais c'Est en s'assurant d'abord que ces contingents n'interviendront jamais et que ceux qui seront nommés au poste de Représentant des Nations-Unies soient exclusivement américains et Britanniques. Ce sont Lacy Swing, Alan Doss et maintenant Roger Meece, ancien ambassadeur des États-Unis à Kinshasa. Celui-ci devient le Représentant des Nations-Unies presqu'après son mandat d'Ambassadeur en RDC, ce qui est tout à fait contraire avec les règles de la diplomatie américaine régissant le séjour d'un diplomate américain dans un pays au sein duquel il a été en fonction. Car, il faut au moins une vacances d'un certain nombre d'année avant d'y revenir.
      Mais au plan des questions que l'on peut se poser, il y a cette transmutation de la diplomatie des USA à celle de l'ONU en temps record. Ne peut-on pas s'interroger avec soupçon pourquoi cette nomination qui diamétralement avec la fonction d'Ambassadeur des États-Unis. Puisque comme Ambassadeur, les positions que prenaient Roger Meece au nom de Washington était très contraire avec la mission de la MONUC vu le fait que les États-Unis faisaient constamment usage de leur droit de veto contre le Congo au Conseil de sécurité. Comment, le nouveau Représentant de l'ONU au Congo a-t-il pu faire ce recyclage des fonctions qui sont aux antipodes entre-elles, Washington et l'ONU. L'une n'est pas neutre dans ses politiques extérieurs et l'autre est neutre par définition de principe de la "Charte des Nations-Unies" telle que les Fondateurs de l'ONU, "Franklin Roosevelt" et son entourage l'avaient prédestinée. Cette interrogation est normale même pour les Américains eux-mêmes vu l'importance qu'ils attachent à leur politique extérieure.
      En conditionnant le séjour de la MONUC à ses prérequis, Washington a inhibé le poids de la RDC dans les problèmes de sa sécurité nationale. Désormais, quand les crises vont devoir surgir, c'est "Paul Kagamé" qui va tout le temps fixer les conditions aux Congolais dans la résolution de leurs difficultés internes. Le Président rwandais, manquant de discrétion et de modestie dit souvent à qui veut l'entendre, j'ai le soutien américain. Partant, je fixe les conditions des négociations intercongolaises à mes propres complaisances parce que le "Congolais est un fainéant". Ces injures, nous les avons entendues plusieurs fois contre notre peuple et notre pays de la part du Président rwandais, Paul Kagamé, le funeste tueur.
      Et comme d'habitude, quand les soi-disant mutins ou faux rebelles se révoltent, le Président Paul Kagamé, arbitre naturel par la conjoncture de l'Espace politique du moment place la barre très haut. Celui-ci dans son rôle de "Gouverneur général des Grands-Lacs" indique le lieu de la Conférence et présente aux Délégués du Congo et ceux de ses mercenaires qui tuent les Congolais, l'ordre du jour qui va être le vade mecum des négociations. Et comme raisons à ces exigences, la sécurité des "Tutsis congolais". Y a-t-il quelqu'un au Congo qui tue les Tutsis ? Non ! En fait, cette injonction-là cache le souci de la sauvegarde de la contrebande des mines congolaises qu'exploite le Rwanda hors de tout contrôle de l'État congolais. Chaque issue des rondes des négociations s'achèvent par des concessions qui élèvent les hommes infiltrés de son régime à occuper les postes de la "Haute-Fonction Publique" et des Sociétés d'État de la RDC. Aujourd'hui, la physionomie du pouvoir au Congo est rwandaise. Ce sont les Rwandais, mono-ethniques, qui règnent à Kigali, à Kampala et à Kinshasa. C'es une évidence claire qui ne cherche pas à se révéler par des enquêtes.
      Nous nous trouvons-là dans une logique d'une intentionnalité d'occuper la RDC longtemps par le Rwanda. Ce que fait Paul Kagamé favorise le pillage de la RDC, les massacres sont là pour demeurer car ils font partie du processus de dépopulation du Nord-Kivu pour le céder aux occupants que les Experts des nations-Unies accusent. Le M-23 n'est pas entré seul à Goma, son opération militaire a été soutenue par le Rwanda et l'Ouganda par leurs armées directement engagées dans la conquête du Nord-Kivu. Les documents sont là.
      IV. THÈSE EXPLIQUANT L'INERTIE
      DE LA MONUSCO EN RDC
      CHERS COMPATRIOTES
      ET DÉLÉGUÉS À KAMPALA,
      La supercherie de la présence de la MONUSCO en RDC est visible. Les troupes de l'ONU ne sécurisent pas les Congolais, mais les exposent plus à l'insécurité parce qu'elles suscitent la colère des "Faux Rebelles" qui les appellent par le nom choisi par Yoweri Museveni de "Touristes en uniforme". Les Congolais ont compris que la MONUSCO est chargée d'une mission secrète qu'"elle faire aboutir à tout prix. Il s'agit de "Stabiliser les acquis de l'occupation rwandaises" au Congo. L'ONU/MONUC, l'ONU MONUSCO n'ont jamais démenti ce que la population pense d'elles. Tout ce que ces missions ont effectué comme travail, c'est d'affaiblir la défense nationale du Congo. La MONUC avait interdit l'offensive du Général congolais Mbuza Mabe, à Bukavu, en 2004, et a réussi à faire muter ce grand soldat à Kitona pour y former les recrues. Mais, dans les mêmes moments, les véhiculent de la MONUC ont convoyé les rebelles pour les amener à leur Front, à Bukavu. Les documents existent et relatent ce fait.
      En 2012, la MONUSCO, par son représentant et son porte-parole, jurait la main sur le cœur que le M-23 n'entrera pas dans la ville et qu'elle fera tout pour protéger la population civile, ce ne fut pas cela qui est arrivé. Il y a tout lieu de croire en se persuadant que l'ONU est là pour stabiliser les acquis des conquêtes de Paul Kagamé en RDC. Et le constat d'un cours de protection que l'on pouvait attendre de tous les noms des missions de l'ONU au Congo présentent un bilan négatif.
      1. La MONUC a échoué avec Lacy Swing ;
      2. La MONUC a échoué avec Alan Doss ;
      3. La MONUSCO, malgré le changement de nom de la MONUC, a échoué avec Roger Meece. Son échec atteste de la thèse d'une conspiration conjuguée entre la MONUSCO, le M-23 sous les auspices du Rwanda et Paul Kagamé ;
      4. Bientôt, la "Force Neutre" va elle aussi échouer, car elle ne sera pas neutre, elle sera une autre escroquerie avec des contingents de contrebande pour exploiter les mines du Congo sur les lieux que vole le Rwanda, en RDC.
      En clair, le vrai danger à redouter commence avec l'arrivée promise de la soi-disante "Force Neutre", car elle est improvisée, elle vient sans expérience du terrain. Les échecs consécutifs de la MONUC, de la MONUSCO font voir clairement que l'ONU a donné un feu vert au Rwanda pour démembrer la RDC. Les derniers exercice des activités de la MONUSCO sont ceux d'hypothéquer le "Nord-Kivu" au Rwanda. Ce pays-là,malgré les crimes des armées de Kigali en RDC n'a jamais été sanctionné. L'entremise de ce plan passe par le M-23. a Force Neutre qui viendra aura la même directive d'activité :
      • Ne pas intervenir ;
      • Ne pas désarmer les tueurs de Paul Kagamé ;
      • Ne pas éconduire le M-23 par des collusions et des affrontements, etc.
      Par contre, la "Force Neutre" aura le pouvoir de désarmer toute forme des organisations congolaises d'auto-défense contre ceux qui le tuent. C'est le mode opératoire qui sera établi. On a vu cela avec l'Opération de la Force Licorne dans l'Ituri. Cette mission-là a tué et fait la guerre aux Congolais, même ceux qui se défendaient, jamais elle n'a pris l'initiative d'aller désarmer le CNDP. Le "fief du Nord-Kivu" leur avait été accordé pour développer leurs activités illicites de contrebandes des minerais congolais.
      Ce qu'il faille que les Congolais cachent, c'est la stratégie qui est donné à la "Force Neutre" avant sa mise en place. En fait, la Force dite neutre vient consacrer la partition de la RDC en hypothéquant définitivement le Nord-Kivu au "Rwanda" plutôt qu'à Kinshasa. Cette mission militaire faussement neutre va rendre impossible toute offensive des FARDC pour retourner le Nord-Kivu dans le giron national. Partant, le Congo devra vivre avec une logique de :
      1. Deux pays dans un pays, car le Nord-Kivu est pour le M-23, ce pays pour lequel le Rwanda s'efforce à dépecer dans l'étendue de la RDC ;
      2. Deux armées dans un pays, car le M-23 préfigure l'immersion de l'armée rwandaise-unie en RDC ;
      3. Deux dualité socio-ethniques rwando-congolais pour une même nationalité.;
      À la longue, cela signifie, générer un nouvel État dans un échéancier de 20 à 30 ans à partir du territoire congolais. Ce processus va faire tenir un "Référendum" le moment venu, celui devant pousser les actuels architecte de ce projet de détacher le "Nord-Kivu" de la RDC. Les négociations de Kampala se font dans un déséquilibre qui est celui d'un État vaincu qui discutent avec la contrebande qui l'a dévoyé et grugé. Joseph Kabila, en acceptant ces négociations a donné un statut d'État à une organisation criminelle de siéger en vis-à-vis en face de son gouvernement dont les membres du M-23 traitent d'imbéciles de Kinshasa.
      Pourtant, au regard de la façon dont l'ONU s'y prend ailleurs dans les problèmes comme ceux du Congo, on ne peut pas nier de sa bonne foi dans les processus de résolution de conflit. Le Mali est ce pays, à l'heure actuelle, qui trouve toutes les attentions de l'ONU pour son infortune. L'Europe, l'Amérique et le monde entier sont sensibles aux efforts du mali de récupérer le Nord de son territoire occupé par AQMI et Ensardine. Pourquoi cette disposition de résolution objective de conflit n'est pas d'instance pour la RDC ? Pourquoi le Rwanda, l'Ouganda et tous les assassins à leur solde ne sont pas condamnés quand on sait que par la main de Paul Kagamé et de Yoweri Museveni, le Congo a perdu plus de "Six millions de ses filles et fils" ?
      À bien regarder toutes les résolutions qui se prennent pour la RDC, force est de constater que l'on se moque d'elle. A-t-on pas réalisé que les pays que l'on propose pour composer la Force Neutre sont des États ennemis à la RDC, à savoir la Tanzanie, par "les Opérations Moba 1 et Moba 2 de 1974" On se souviendra avec ces opérations que j'évoque la façon dont les militaires zaïrois de l'époque ont battu à plate couture les Tanzaniens le long du Lac Tanganyika avec le pilonnage des côtes tanzaniennes par "les avions Mirages". La Zambie n'est-elle pas en train de gruger la frontière congolaise vers la zone du Lac Moéro ? L'Afrique du sud n'est-il pas ce pays, par "Jacob Zuma", son Président, qui a rempli les urnes avant le vote pour faire gagner "Joseph Kabila" aux élections de novembre 2011 ?
      Apprenons-le avant que ce soit trop tard à nos dépens, toutes les Forces militaires que l'on dépêche au Congo sont là pour stabiliser les acquis de dépeçage qui ont grugé notre pays et fait di Nord-Kivu une zone de non-droit et d'incontrôle du gouvernement de Kinshasa. C'est à nous citoyennes, citoyens de faire échec à ce projet de balkanisation du Congo. La "Force Neutre" vient reprendre la main à la MONUC et à la MONUSCO dans ce que ces mission n'ont pas réussi à faire vivre. Elle est pourtant illégale, car n'ayant aucun statut juridique ni légale, cette Force faussement neutre dame le pion à l'ONU qui est par définition la seule Force neutre vraie et incontestable au niveau de la planète et en tout lieu.
      Les Africains tuent sans raison lorsqu'ils ont
      l'impression d'être les êtres le plus puissant
      Revisiter par vous-même les œuvres du M-23
      Au sujet de la Force Neutre, je vous mets en garde contre les habitudes inhumaines que les hommes en armes des armées africaines démontrent. La Preuve, c'est le M-23, le Front Patriotique Rwandais et l'Armée Ougandaise. Ensemble, elles ont exterminés plus de six millions de Congolais, ce n'est pas une légende. En effet, les Africains tuent sans pitié, la force dite neutre aura la gâchette facile devant les manifestants. Nous ne sommes pas les ennemis des Rwandais ni des Ougandais, ceux d'ente-eux qui veulent devenir "Congolais" n'ont qu'à le faire dans la règle. Avant 1994, date du génocide au Rwanda, il n'existait pas la notion de "Tutsi congolais", ce terme est généré par Paul Kagamé pour nous diviser avec le peuple du Rwanda.
      Ne cédons pas le Congo comme des déserteur qui fuient l'épreuve du feu en rase campagne devant l'ennemi qui tue femmes, enfants, vieillards et sodomise la gente masculine pour se moquer de notre virilité. En tout cas, la "Force Neutre" vient en RDC pour rendre difficile le retour du Nord-Kivu intégrale dans la RDC. J'ai tiré la sonnette d'alarme et j'ai affiché les héros de notre histoire militaire dans ce courrier. La solution pour mettre fin au massacre des Congolais, c'est d'attaquer le M-23 militairement.
      Djamba Yohé,
      Gaston-Marie F.
      Le Congolais de l'Atlantique Nord,
      Ottawa, le 11 décembre 2012,
      Canada.

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