vendredi 25 janvier 2013

SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE LA MONUSCO/MONUC

Quels sont-ils ?

La MONUSCO doit réaliser qu'elle laisse la mort roder en RDC alors qu'elle

est payée pour assurer aux Congolais la paix et la sécurité. Cette belle photo

exprime la profonde solidarité de l'intériorité humaine partagée sans hypocrisie

Il est clair que la mission des "Nations-Unies au Congo" n'est pas une présence initiée pour résoudre la guerre des Grands-Lacs. De la MONUC à la MONUSCO, l'Organisation des Nations-Unies s'est donné un exutoire pour s'afficher comme un arbitre neutre et indépendant. La vérité de cette posture de mission en territoire congolais n'est pas portée par les Nations-Unies et encore moins par ses fonctionnaires, son administration et ses contingents. "Le guerre au Rwanda a duré trois mois", l'ONU a refusé, par le droit de veto de s'interposer dans ce conflit meurtrier très court mais aux buts et objectifs très précis. "La guerre au Congo venue du Rwanda dure maintenant près de vingt ans". On peut se demander, en dehors de tout doute ou au plein des controverses douteuses, si l'Organisation des Nations-Unies n'a pas trempé directement et indirectement dans ce que d'aucuns appellent le génocide du Rwanda de 1994.

Néanmoins, il a put apparaître à la fin de cette guerre que ce conflit était mécaniquement organisé avec des objectifs et des buts planifiés à l'avance. On ne peut pas reprocher ceux qui sont morts, ils ont été réellement génocidés par ceux qui voulaient les exterminer. Il n'empêche que l'on pourrait supposer également que certaines forces aient agi pour encourager les tueurs à ce culpabiliser davantage, car la fin du génocide qui a emporté plus de 800.000 personnes a servi aussitôt pour engager des lobbyismes et faire des pressions qui se sont révélées questionnables. Un pays qui perd 500.000 ou 800.000 de ses citoyens est un état brisé dans l'âme et torturé dans l'esprit. Partant, ce qui doit être fait, comme on l'a vu à la fin de la "Deuxième Guerre Mondiale en Allemagne", c'est un travail de guérison des blessures infligées pendant la guerre.


En somme, pour arriver à la résolution des conflits, la société qui a vécu les affres de la violence sur la personne et de l'extermination des masses convient en toute hâte à réunir la masse de ses composantes pour faire le point sur ce qui doit être mis en exergue comme une saillance névralgique. Tel n'a pas été le cas au Rwanda. Immédiatement après la guerre de nouvelles autorités ont entamé une autre guerre d'extermination massive à l'ouest, en République Démocratique du Congo, havre de refuge de toutes les atteintes du droit collectif et individuel survenues au Rwanda en conflit avec lui-même par rapport à une coexistence difficile entre Hutus et Tutsis.


La République Démocratique du Congo, qui n'est en rien responsable du "conflit rwando-rwandais de 1994", est devenue le théâtre récurrent d'une guerre "Hutus-Tutsis" qui a émigré sur un territoire étranger. Le bilan de "plus de 6.000.000" de Congolais morts depuis 1998 jusqu'à ce jour est des plus odieux massacre qu'une communauté étrangère soit venue perpétrer dans un état voisin. Mais, que dire de toutes ces escalades du Rwanda et de l'Ouganda qui ont fait tant de morts au Congo, alors que les Nations-Unies y ont emmené des contingents s'élevant à près de "20.000 hommes" équipé de matériel de combat prêts à toute éventualité pour s'interposer contre une poignée de faux rebelles, parce que subventionnés par le régime de "Kigali", qui tue les "Congolais" comme on extermine des insectes avec une bombe à insecticides ?


Il n'est pas mal dire d'affirmer que l'ONU, par la MONUC et la MONUSCO ne sont pas venus pour faire cesser les massacres de Congolais, mais plutôt de s'interposer dans un but de fragiliser davantage le Congo et de lobotomiser l'intelligence congolaise lucide pouvant réagir par elle-même en vue de se faire justice. L'ONU est venue avec ses experts en RDC pour tout simplement faire la comptabilité des morts, des blessés congolais et de donner avantage à l'agression sans pouvoir le clamer. Que signifie ces deux grands noms :

  • MONUC : Mission d'Observation des Nations-Unies au Congo. Cela signifie que les soldats de l'ONU ne pourront jamais utiliser leurs armes pour protéger les Congolais, même s'ils sont tués, car leur rôle est d'observer et de faire des rapports pour rendre compte au Secrétariat Général des Nations-Unies, à New York aux États-Unis ;
  • MONUSCO : Mission d'Observation des Nations-Unies pour la Stabilisation du Congo. Cela signifie, qu'après avoir observer les meurtres et les crimes contre l'humanité les contingents des Nations-Unies vont tout simplement stabiliser les désordres accomplis par les milices rwandaises, à savoir :
    1. FPR ;
    2. CNDP ;
    3. FDLR ;
    4. LRA ;
    5. M-23
  • Force Neutre : c'est un nom qui surgit au cœur du conflit, après l'invasion de Goma, le 20 novembre 2012 comme un succédané inopiné. La Force Neutre est un énoncé de Paul Kagamé pour demander la création d'un autre pallier armé qui n'est ni l'ONU, ni sa propre Armée, le Front Patriotique Rwandais, qui viennent tuer au Congo. En clair, cette Force là n'a pas de mission, mais elle vient consacrer la partition du Congo en s'infusant sur le terrain du conflit pour rendre difficile toutes les manœuvres militaires des Congolais avec ou sans leur Armée de recouvrer le territoire perdu au profit des milices rwandaises ou ougandaises qui endeuillent le Congo.

Cette réalité, ainsi exposée, parle de soi, l'ONU au Congo est également une partie du problème à l'insécurité du Congo, Car, comme on a vu, le régime de Kinshasa, le régime de Kampala et l'autorité de la MONUSCO ne répondent toutes qu'à un seul homme, le Président rwandais, Paul Kagamé. En somme, celui-ci est le vrai chef des nations composant la région des États des Grands-Lacs. En effet, c'est Paul Kagamé qui module tout et qui dirige tout. À sa demande, l'ONU courbe l'échine. Ne parlons pas de Kinshasa et de Kampala parce que ces capitales là sont des sièges vassaux de Kigali qui commande en maître en RDC, en Ouganda et à la MONUSCO.


Que dire alors de la fonction que la "MONUSCO" assume au Congo ?


Il y a tout lieu de dire que l'Organisation des Nations-Unies établie à New York, par la "MONUSCO", est venue au Congo pour mettre cette république sous sa tutelle, c'est le moins qu'on puisse dire. Mais, en réalité le Congo a été conquis par les compagnies multinationales occidentales qui se servent de l'ONU par sa voix d'autorité morale sur le monde et du Rwanda, par les intransigeances et les agressions de Paul Kagamé qui n'est jamais blâmé ni inquiété malgré des "plus de 6.000.000 de morts de Congolais massacrés" par son Armée et sa racaille.


Ce qui est étonnant dans cette histoire, c'est le fait que la République Démocratique du Congo est devenue un site du crime organisé international au sein duquel n'importe qui qui dispose de la puissance vient y dicter sa loi. Sur le territoire congolais, on rencontre les États-Unis d'Amérique, la Grande Bretagne et le Commonwealth, la France et la Belgique, l'Allemagne, l'Italie et les pays de l'Europe occidentale. À cet échiquier de classement, non ordonnancé par la diplomatie congolaise à travers ce qu'édictent les textes constitutionnels, les dirigeants du Congo se prostituent avec la RDC pour leurs propres privilèges et leurs propres comptes. C'est pourquoi, à côté des Occidentaux, on dénombre une multitude de pays qui se servent au Congo, dont les plus importants sont :

  • La Chine ;
  • La Russie ;
  • L'Iran ;
  • Le Liban ;
  • L'Indonésie ;
  • La Thaïlande ;
  • et maintenant, plus États de l'Amérique Latine.

Est-ce, devrais-je dire, que la Chine n'est pas permise de battre pavillon au Congo ou la Russie, voire l'Iran ? Non ! Ce n'est pas de cela qu'il s'agit, mais l'envergure de l'intrusion dans le grand et le petit domaines d'initiatives que prennent ces pays au détriment du peuple congolais qui se retrouve toujours comme le marchepied des industriels et des investisseurs de ces États-là qui ne connaissent ni la langue, ni la culture, ni les coutumes locales. Ce qui intéresse tous ces nouveaux venus ce sont les expropriations, la création des emplois précaires et les mauvais traitements de salaire vis-à-vis du Congolais qui est le propriétaire naturel de la République Démocratique du Congo.


Ce que je formule n'est pas nouveau, "la Russie avec Lénine-1924, la Chine avec Mao-1949, l'Iran avec Khomeiny-1979", au tournant de leur essor socio-politique ont questionné aussi leur réalité de la même manière. Il n'y a ni xénophobie ni arrière pensée contre ces pays-là, mais j'interroge la part qui reste à mon peuple dans cette prise de possession de toutes les manettes du pouvoir économique des Congolais. Il appert devant cet aloi que le Congo n'est tout simplement qu'une vache à lait que n'importe qui vient exploiter dépendamment de sa puissance financière et économique. Pendant ce temps, la guerre fait rage à l'Est, les Congolais peuvent mourir comme des insectes, ce ne sont pas eux qui sont au centre des préoccupations de la présence étrangère qui s'installe chez eux, les Congolais sont tout simplement vu comme de la manne moins chère au niveau de la main-d'œuvre.


Cela étant, la MONUSCO est tout simplement un avatar trompe-l'œil de la paix. Cette Mission s'inscrit dans les critères de l'exploitation du peuple congolais à travers les prismes du regard des "Sept Péchés Capitaux", tels que énoncés par le "Mahatma Gandhi", dont le tableau ci-dessous présente l'alignement de ses manquements que l'on remarque avec la présence de l'ONU au Congo. Par ailleurs, à ces sept péchés capitaux, énoncés par "Gandhi", s'ajoutent sept fausses œuvres feignant les "Sept Oeuvres de Miséricorde" observées et appliquées par l'Église catholique au Moyen Âge. De quoi voudrais-je parler là-dessus ? Des ONGs. Ces organismes non-gouvernementaux sont devenues des industries qui donnent du travail aux médecins et aux autres coopérants étrangers sans rien changer à la vie quotidienne des Congolais qui sont de jour en jour chassés de leur terre, sinon tuées par les milices de Paul Kagamé, secondé par Yoweri Museveni.



Inventaire des valeurs et vertus absentes
dans la mission de l’ONU en RDC
Les 7 œuvres de miséricorde au Moyen Âge
Les 7 péchés capitaux
selon Gandhi
Nourrir les affamés ;
Abreuver les assoiffés ;
Vêtir les malheureux ;
Accueillir les étrangers ;
Soigner les malades ;
Visiter les prisonniers ;
Ensevelir les morts
L’argent sans travail ;
La politique sans principes ;
Le plaisir sans conscience ;
Le savoir sans âme ;
La science sans humanité ;
La religion sans sacrifice ;
Le Commerce sans morale
Le régime de Vichy est pareil à cette description


L'évidence d'un Congo comparable à la France de 1940 à 1945 devient nette. La RDC est une république occupée et dirigée par l'ennemi qui met les Congolais à genou. Le Chef de l'État principal du Congo-Kinshasa, c'est le président Paul Kagamé, celui-ci envoie des tueurs pour exterminer les Congolais sans jamais subir aucune représailles. La MONUSCO, dans ces conditions-là n'est pas différente de l'Armée allemande, la Wehrmacht, en France. Somme toute, c'est le régime de Vichy qui est installé au Congo. Le plus étonnant dans tout ça, c'est que tous les représentants du Secrétaire Général de l'ONU viennent des pays qui sont à la base du droit de l'homme et du citoyen des droits fondamentaux et des libertés publiques, des révolutions contemporaines qui ont changé le monde. Comment ces hommes ne sont-ils pas arrivés à s'émouvoir et à s'indigner contre la mort d'un peuple que l'on tue pendant la période coloniale, Congo-Belge, pendant 80 ans, et depuis 52 ans, à partir du 30 juin 1960.

  • Monsieur Lacy Swing était américain et ancien diplomate en RDC, ce pays porte-étendard de la Démocratie dans le monde et qui assume la Pastorale des Droits de l'homme depuis 1776 ;
  • Monsieur Alan Doss était Britannique, le pays de Cromwell, la Grande Bretagne, premier État à avoir rédigé avant toute autre nation occidentale, les "Bill of Right" qui ont inspiré aux États-Unis la "Déclaration de l'Indépendance" et la pérennité des droits de l'homme ;
  • Monsieur Roger Meece, ancien Ambassadeur des USA en RDC et qui est plus qu'aucun membre de la MONUSCO au courant de tout ce qui se passe au Congo sans avoir besoin de s'informer comme un Chinois ou un Russe puisqu'il est congolais dès par son long séjour en RDC ...

En vérité, tout a bien l'air d'une "consécration de la balkanisation de la RDC" par l'ONU, cette société des Nations pour la "Paix" que le "Grand Président Franklin Delano Roosevelt" a imaginé pour le monde qui vivra après lui. Bien plus, celui-ci a consigné son épouse "Eleanor Roosevelt" à produire avec une commission des juristes érudits "La Déclaration Universelle des Droits de l'Homme". De tous ce texte, le Congo n'est pas permis à accéder à une quelconque jouissance des dispositions qui garantissent à tous les États du monde les mêmes droits. Que l'on ne s'étonne pas que j'écrive ainsi, le manquement de l'ONU par la MONUSCO est visible.


De tous les pays que l'ONU aide financièrement et militairement comme le "Mali" et les insurgés de la "Syrie", il n'y a pas un État des deux ou tout autre qui ait perdu plus des six millions d'âmes et qui ait vu sa population, surtout sa gente féminine soumise au "Fémicide". Seul le "Congo" vit une "Rdéicide" qui n'attire l'attention de personne. En RDC tout est place pour continuer le génocide sans répit, cela s'entend dans ce que dit le Commandant de la MONUSCO par rapport à la consolidation par les faux rebelles de leurs positions contre Goma. Une chose est certaine, la MONUSCO n'interviendra pas, mais elle tendra la main pour son salaire mensuel prélevé à même du travail des Congolais et des cotisations de leur pays aux Nations-Unies. Quel injuste sort ? Ah "Madnodje Mounoubai" champion toute catégorie des démentis même quand la MONUSCO ment comme à la prise de Goma. N'est-ce pas vous aviez fait une autre lecture de la "Charte des Nations-Unies". Dommage, vous êtes payé pour rien ... Gandhi ne va pas vous estimer !


Peut-on laisser tuer des êtres humains innocents

comme ça en France, aux USA ou en Suisse sans

réagir devant le balcon des Contingents de l'ONU

Le Congo est sous le régime de Vichy parrainé par la l'ONU via, la MONUSCO. D'ailleurs, aucun criminel rwandais n'a jamais été arrêté. C'était comme durant "l'époque des Nazis", en Europe durant la "Deuxième Guerre Mondiale". Les Allemands étaient des "Aryens" selon leur propre définition, donc une race supérieure à toutes les autres. N'est pas cela qui s'applique pour les Congolais depuis que le Rwanda tue en RDC impunément. En tout cas, ce qui est vrai, la MONUSCO est une industrie de guerre qui fait l'argent sur la mort des Congolais, sa Direction générale tout comme sa composante des fonctionnaires internationaux est bien payé rubis sur ongle, mais les Congolais, même ceux qui travaillent à la "MONUSCO" sont des pygmées salariaux.


C'est là le lieu du focus du "Régime de Vichy" que l'ONU impose "aux Congolais", celle-ci n'est venue sauver personne, mais faciliter l'exploitation du Congo sans foi i loi. Aucun "MONUSCOSIEN" ne pourra me contredire. En tout cas, j'attends le plus audacieux qui m'interpelle. Celui qui va oser cela, je lui ferai voir que l'ONU félicite le "Rwanda" d'avoir dit oui aux drones. Est-ce que c'est cela son rôle. Nous savons tous que la MONUSCO a félicité le "Rwanda" par la voix d'un nègre de service, celui qui est commis comme porte-parole. "Monsieur Madnodje Mounoubai" est la voix officielle, au nom du Représentant de l'ONU en RDC qui a fait ces bons offices contre celui que le monde connaît agir comme "Hitler Adolf" dans la région des Grands-Lacs, spécifiquement en RDC.


Les commentaires ci-dessous que je mets à l'intention des lecteurs me justifient, car d'une part, même ceux qui ne m'aiment pas, comme "Samy Bosongo", empruntent ma voix pour dire leur vérité traficoté sur "Djamba Yohé" et d'autre part, ce sont un "Porte-parole" et un "Commandant de la MONUSCO" qui s'émeuvent et remercient le "Rwanda" d'Avoir facilité la tâche à leur vassalité au régime de Kigali :
  1. "Si la Monusco doit saluer de cette façon l'accord du Rwanda, c'(est que la Monusco est inféodée à la cause rwandaise et qu'elle ignore son rôle et son pouvoir dans cette partie de l'Afrique. Le Rwanda serait-il plus fort ou influent que les Nations Unies représentées par la Monusco en RDC? Preuve de complicité de ceux du Conseil de sécurité ! Source : Samy Bosongo, Re: [congocitizen] Re: [Congo] Re: La Monusco salue l'accord du Rwanda sur l'envoi des drones en RDC ;
  2. « Aujourd’hui nous savons que tous les trois pays concernés viennent de donner leurs accords. Donc on va progresser. Il y a des choses qui ne se font pas souvent sur la place publique mais nous évoluons » Source : Madnodje Mounoubai. Re: [Congo] Re: La Monusco salue l'accord du Rwanda sur l'envoi des drones en RDC ;
  3. « Des éléments du M23 ont arrêté 2 civils à Rubare sous le prétexte qu’ils ont refusé de se rendre à leur patrouille nocturne. 5 éléments du M23 ont extorqué des téléphones et de l’argent appartenant à 18 passagers d’un bus en provenance de Goma vers Rutshuru » (..) « De manière générale, la force de la Monusco et l’armée gouvernementale contrôlent et surveillent étroitement la situation sécuritaire à travers toute la province par la conduite d’opération centrée sur la protection des populations civiles conformément aux objectifs poursuivis par la Conférence internationale de la région de Grands lacs » Source : El Hadj Ibrahim., a ajouté le commandant El Hadj Ibrahim Diene de la MONUSCO. Re: [Congo] Re: La Monusco salue l'accord du Rwanda sur l'envoi des drones en RDC.
On comprend pourquoi la MONUC et la MONUSCO, successivement ont fermé les yeux à Kiwandja quand "Laurent Nkudabatware du CNDP" tuait toute la nuit les Congolais et soumettait les Congolaises au viol massifs avant de les faire exécuter froidement. Cela s'est passé à 20 mètre du bivouac des contingents de la MONUC. Et que dire de "Goma" qui a tout simplement été arraché à l'Armée congolaise par un simple ultimatum quand l'ONU dont la mission première est de maintenir la paix et garantir la sécurité des personnes et des biens. Sinon, le Congo est un El Dorado. No Nkunda no job. Cela se répète, no Ntanganda et no M-23 no job. Anyway ... La MONUSCO et son Administration accouplée au ONGs sont au Congo pour faire des gros salaire et stabiliser les pertes de la RDC au profit des agresseurs. L'ONU s'est chargée de déshonneur.


II. LA CRUAUTÉ DE LA MONUSCO/MONUC

NOUVELLE VERSION DE VICHY EN RDC


Le Congo est loin de croire en la bonne foi de l'ONU et de la MONUSCO/MONUC. Le régime de Vichy rappelle une France occupée que dirige un Maréchal français de renom, c'est "Philippe Pétain", le "Héros de Verdum" au cours de la "Première Guerre Mondiale" de 1914-1918. Pétain, avant 1940, avait le prestige d'un dieu militaire contemporain dans l'entre-deux-guerre. Fait Maréchal par le Président "Raymond Poincaré", cette cérémonie couronna de gloire deux autres héros de la même trempe que ce premier grand conflit mondial a signale. C'était à l'Arc de Triomphe, lieu qui servira de tombe au soldat inconnu de cette même guerre a enlevé la vie, que cette élévation au Maréchal eut pour rituel. Les compagnons d'armes du Maréchal Pétain pour cette circonstance furent :

  • Le Général Foch, fait Maréchal de France ;
  • Le Général Joffre, fait Maréchal de France.

L'honneur d'être fait Maréchal à cet endroit était d'une incidence qui dépasse toute monotonie des cérémonies du Protocole d'État. L'Arc de Triomphe fut construite par "Napoléon Bonaparte" à l'époque de la "Grande Armée", nom donné à l'Armée française du XVIII ième finissant et début du XIX ième siècles commençant. Ces lauréats des Oscars de bravoure militaire avait pour trophée les chevaux blancs. Et pour commenter un peu cette prise d'Armes officielle sur un des "Mémoriaux illustres" de l'Hexagone, la pensée française sur les chapitres des guerres de France n'exhume pas à la complaisance l'époque militaire de la première moitié du XX ième siècle, la France évite la polémique et préfère garder dans la mémoire collective Foch et Joffre comme ceux des Commandants militaires qu'aucune erreur singulière d'un d'illustres militaire français aurait commis.


Le 14 juillet 1919, ont voit Pétain, Foch et Joffre, à

l'Arc de Triomphe pour célébrer ensemble la fête nat.

En fait, il s'agit de taire "Philippe Pétain" le plus souvent qu'on le peut, mais ce silence, hélas, par l'éviction de Pétain, refroidit et éteint les deux autres maréchaux, à savoir "Foch" et "Joffre". Du coup, c'est toute l'histoire de la bravoure militaire française qui en prend un coup. Cette coupure du journal du 12 novembre 1918 relate par la teneur de son article à quel niveau d'étincelante, Joffre, Foch et Pétain était superposés dans la grille des meilleurs de France. La faute de l'un d'entre-eux a soudainement poussé la presse de tout bord à moins parler de ceux qui ont fait la gloire de Douaumont, de Verdun et de Weimar. Par ce dernier nom, une ville d'Allemagne, c'est le lieu de l'incitation de l'Allemagne impériale, après la signature de l'Armistice à concéder à la République à créer sa position. Le "Reich allemand de Guillaume II" devait se dissoudre comme Empire pour faire la place à la République, celle passé à l'histoire sous le nom de "République de Weimar" et qui fut le cauchemar d'"Hitler Adolf", ennemi à cette nouvelle donne.


Donc, Philippe Pétain, avec la gloire acquise en 1918, sera hissé au firmament de la galerie des vainqueurs de la Première Guerre Mondiale, c'est cette hauteur qui lui donne une préséance d'apocalypse. En 1940, le 17 mai, "Philippe Pétain" accède, par les suite de la défaite de l'Armée française, à la position de Président d Conseil. Bien entendu, il fut rappelé pour assumer ce poste parce que l'on croyait dans son étoile de héros de la "Première Guerre Mondiale". Aussitôt investi, celui-ci signe la capitulation avec l'Allemagne, car il considère la guerre comme perdue. C'est le moins qu'on puisse dire là-dessus au sujet de la montée au pouvoir de Pétain. Mais, ce qui est dans l'ordre du continuum de ce récit de Pétain par rapport à la "MONUSCO/MONUC", visage missionnaire incarné de l'ONU en RDC, c'est l'analogie de son action politico-militaire. La "MONUSCO", depuis la "MONUC" ressemble à une armée vaincue qui obéit au doit et à l'oeil des Dirigeants rwandais qui colonisent le territoire congolais.


Chaque éternuement de Kigali somme la "MONUSCO" à envisager des ouverture de cession de souveraineté du Congo. Cela est très proche de la MONUC qui a sommé le "Général Mbuza Mabe" à quitter Bukavu. Car, que l'on ne se méprenne point, c'est la "MONUC" qui a sommé Kinshasa à muté cet officier-là du lieu de son détachement militaire. Évidemment, cette injonction n'allait pas dans les oreilles d'un sourd, elle tombait dans un autre pion de Paul Kagamé, le Président rwandais. L'auditeur de cette directive est "Joseph Kabila", qui comme Pétain va vite exécuter l'ordre venu du Rwanda. C'est pareille à l'ordre de collaboration de Pétain après la signature de la capitulation. En d'autres mots, Pétain accepte de collaborer avec l'Allemagne et exécute les décisions du III ième Reich qui soustrait à la France une frange de sa population confessionnelle de rite israélite. Dès lors, les "Juifs français sont remis aux Allemands" par le "Régime de Vichy" par "Philippe Pétain". Pendant quatre ans, soit de 1940-1944, le gouvernement du Maréchal de France va régulièrement, par des rafles et des arrestations arbitraires, livrer les Juifs de France à l'Allemagne. C'est là l'augure de l'opprobre de ce régime que n'excuse pas la conscience universelle, claire et juste aujourd'hui.


Dans ce portait, il se précise ce que les "Congolais vivent". L'ONU a délibérément sacrifié les Congolais aux récriminations rwandaises de génocide de 1994. Les Nations-Unies ont adhéré à toutes les thèses de "Paul Kagamé" celles selon lesquelles, le Congo est un danger pour la sécurité nationale du "Rwanda" son pays. Or, en vérité, c'Est le Congo qui protège tous les réfugiés rwandais de toutes les époques chaque fois que l'on se massacre entre "Hutu" et "Tutsi" au Rwanda jusqu'au tout dernier épisode du 6 avril 1994. Pris par des remords de n'avoir par intervenu lors du conflit rwando-rwandais qui n'est en rien lié au Zaïre comme à la RDC, l'"Organisation des Nations-Unies" a refusé de prendre fait et cause contre l'agression rwando-ougandaise en faveur de la RDC. Et lorsque l'ONU, admet du bout des lèvres l'agression du Congo, cela arrive plus de huit mois plus tard et ne condamne pas cette barbarie traduite physiquement sur le terrain comme une occupation du territoire congolais avec délocalisation de la population de la place.


Ceci n'est ni plus ni moins que la répétition de ce que l'Allemagne a obtenu de la France sous Pétain. Pendant près de 20 ans, c'est "Paul Kagamé" qui dicte l'agenda sécuritaire à l'ONU pour tout ce qu'elle doit faire en RDC, c'est-à-dire l'occupation du Congo, le droit de poursuite, de voler, de massacre et de déplacer les populations vers des nouveaux horizons en subventionnant, pour s'assurer des gains territoriaux, les milices criminelles. Ces combattants illégaux sont au fond des soldats mobilisés du Front Patriotique rwandais, cet ancienne rébellion venue d'Ouganda et tombeurs du régime Habyarimana. L'ONU va continuer de refuser tout idée d'intervenir pour sécuriser les Congolais dont le pays est devenue une dépouille de guerre tant par Paul Kagamé que par les sbires de sa conquête clandestine des provinces de la RDC sans "Déclaration de guerre". Les Armées du Rwanda et de l'Ouganda vont occuper le Congo pendant sept ans et n'y partiront que sur l'insistance de George W. Bush, Président des États-Unis. C'est au rythme de la nonchalance du départ telle que programmé par Kigali que les soldats rwandais ont feint de quitter le Congo, car, en vérité, ils y sont restés.


Ce qui est étonnant, c'est la cruauté de la MONUSCO, celle-ci existe, car le temps que cette mission a passé en RDC, plus de 10 ans, est suffisant pour réussir à mettre fin à la tragédie de toute une nation, de tout un peuple et de sa République. Ce changement tant attendu n'est pas venu, la réalité de la RDC demeure la plus cruelle des pays que l'ONU a en urgence. Pourtant, l'ONU a vu comment la guerre a éclaté au Rwanda, comment elle est née d'une déflagration des rapports ethniques interwandaises tendues. On peut dire sans s'excuser que cette grave négligence que le Conseil de sécurité a commis en laissant jaillir la guerre au Rwanda est une erreur de mauvaise foi, de mauvaise implication dans la mission de la MINUAR. En d'autres mots, c'est un mauvais regard posé sur les Noirs par les Maîtres du monde qui a supplanté le bon sens.


Au fond, on a suscité la guerre par l'indifférence pour parvenir à saisir les tenants et les aboutissants qui ouvriraient le chemin d'entrer au Congo avec un mot d'argumentation locale. Ce stratagème donne un exutoire contre tout désaveu contre les puissances qui dirigent le monde, car ce ne sera pas les pays qui sont dans les G-8 que l'on va reprocher, mais les Africains avec leur guerre tribales qui n'ont jamais vraiment disparues. C'est bien cette intentionnalité là qui est une cruauté sans pareille. Quand on se penche pour lire les journaux de Kinshasa ou même d'ailleurs, l'opinion publique des Congolais et des autres est à peu père la même relativement au jugement fait contre la MONUSCO. En tout cas, celle-ci n'est pas vu en trin de s'interposer pour empêcher la guerre et la finir carrément. La guerre en RDC est une affaires des gros sous et "une histoire de balkanisation méticuleusement conçue", mais ne parvenant pas à se matérialiser parce que les Congolais sont très vigilant sur ce complot non-reconnue de la part de ceux qui dirigent l'ONU, des multinationales spécialisées dans les mines et les industries de vente d'armes.


On peut lire par exemple dans "Le Potentiel" cette inquiétude sous forme d'affirmation de facto de la non-implication de l'ONU dans la tragédie congolaise :


Aussi, 17500 casque-bleu sont déjà sur le territoire congolais depuis près de 10 ans, et pourtant la situation semble encore échapper à tout contrôle. L’entretien humain et logistique des forces onusiennes (MONUSCO) sur le terrain représente déjà un budget de 1,2 milliards de dollars, le plus gros des déploiements à travers le monde. Selon les critiques, l’impuissance de la mission est particulièrement au floue de son mandat. Alors qu’elle ambitionne la stabilisation de la région ainsi que la protection des civile, la MONUSCO ne s’interpose pas clairement lors des affrontements qui causent la mort de plusieurs civiles. Depuis plusieurs années, des critiques fusent de partout et certains nationaux vont jusqu’à demander le départ de la mission. Pour les observateurs locaux, le brassage des forces africaines qui doivent être déployées aux casques-bleu risque de poser le même problème, à savoir la nature du mandat. Source : "Le Potentiel", Congo (RDC) : le coût de la force neutre. [hinterland1] LA MONUSCO HORS JEU ?, le 24 janvier 2013.


Dès lors, il n'y a qu'un pas pour tout confirmer de la véracité véridique d'un Congo véritable "République de Vichy". On n'a pas besoin de faire parler les argumentaires sophistiqués d'une analyse logique complexe, la réalité saute aux yeux. Quand les journaux congolais à grand tirage s'expriment de cette sorte, eux qui ont les journalistes sur place dont la vie est exactement de suivre ce qui se passe sur le terrain, mes observation, dans ce cas d'espèce, s'avèrent fondées et digne de foi. La "MONUSCO" agit comme une organisation corrompue qui opère pour des tierces entités avec lesquelles elle est tenue à rendre service pour respecter son contrat.


III. ON NE PEUT PAS ÊTRE JUIF ET NAZI


J'ai besoin de justice pour les six millions de

morts congolais sans lieu de mémoire ni prière

D'une part, on se rend à Jérusalem pour se faire montre de son infortune et d'autre part exister agit avec une cruauté féroce et barbare contre les êtres humains qui ne sont pas de son ethnie. C'est cela qui transparaît dans la conduite du Président rwandais. Le bilan de sa conduite en RDC et celle de son armée doublée des milices dans ce pays est d'une contradiction déchirante. On ne peut pas nier qu'il n'y a pas eu génocide au Rwanda tout comme on ne peut non plus refuser de reconnaître que "Paul Kagamé" a commis un génocide au Congo. Comme on vient de le voir, le Rwanda joue sur deux tableau diamétralement opposé par leur teneur en image et en signification. D'aucuns auront remarqué que Paul Kagamé démarche pour un statut de reconnaissance qui intègre l'hécatombe de 1994 à une réalité qui s'égale à celle de la "Shoa". Cette démarche-là est impossible même si dans les deux cas, il y a eu génocide. Pourquoi les deux moments ne se valent pas ?

  1. Parce que les raisons de l'hécatombe de 1994, au Rwanda, ne se ressemblent pas dans la genèse des pogroms ayant conduits des multitudes à une fin tragique ;
  2. Parce que la "Shoa" n'est pas un génocide comme celui des "Grands-Lacs", les Juifs ont leur histoire et les Rwandais ont la leur.

Au plan de la détermination des différences, il est important de ressortir le fait que les Juifs n'étaient pas confrontés à une relation d'une altérité adverse récurrente avec la configuration de l'État allemand, la destruction des Juifs tient d'un homme, "Hitler Adolf" qui les haïssaient. Aussi, les raisons de la haine de Berlin contre ces derniers sont d'ordre idéologiques doublés de haine raciale en fonction des préjugés plusieurs fois millénaires qui remontent dans une perception de religions par rapport à leur autorité spirituelle. En fait, c'était toute l'Europe et les Amériques en partie qui étaient montées contre les Juifs dans un moment pathétique de l'histoire. La crise financière de l'Entre-deux guerre, c'est-à-dire de 1918-1940, les Juifs furent injustement accusés, je n'a i pas besoin de soulever ces griefs de mauvaise foi.


Dans les Grands-lacs, le génocide au Rwanda, bien que les causes soient à rechercher dans l'histoire de ce pays, les Rwandais étaient en guerre entre-eux depuis 1990. La guerre, dans la définition classique du terme, est un conflit de deux ou plusieurs forces qui s'affrontent entre deux fronts. Or, ce genre de belligérance dans sa virulence effective est un foyer d'offensives qui se ciblent sans cesse. Faut-il arriver au génocide pour finir une guerre ? Non, quand cela arrive, c'est qu'une entité de ces deux fronts a décidé de détruire l'autre à cause d'une charge excessive de haine. Et dès que cela arrive, le constat de cette tragédie montre que la partie qui a commis ce crime a outrepassé les lois et les règles de la guerre.


Au Congo, la réalité de ce que tout le monde convient d'appeler la "Guerre des Grands-Lacs" a été menée avec la haine de détruire le peuple congolais. D'abord, cette guerre n'a pas été précédée par une "Déclaration de guerre", la RDC s'est retrouvée occupée du jour au lendemain par le Rwanda et l'Ouganda. Et à ces premiers moments, plus d'un observateur s'est rendu compte que ce conflit-là est menée d'une manière hors-norme, donc criminelle et contre les lois de la guerre. Car, les combats se signalent avec :

  1. Le viol des femmes ;
  2. La profanation des cadavres ;
  3. Le pillage de la RDC (les rapports de l'ONU sont là) ;
  4. Les orgies et la sodomie ;
  5. Les déplacement et la délocalisation des populations ;
  6. L'Occupation du territoire ;
  7. La récurrence ininterrompues des négociations :
  8. Les exigences hors-champ du Rwanda et de l'Ouganda ;
  9. La création des milices étrangères par le Rwanda ;
  10. Le financement et l'accompagnement des combattants illégaux par les soldats rwandais et ougandais en RDC, etc.

Ces agissements ne sont pas différents des comportements nazis au cours de la "Deuxième Guerre Mondiale" menée par l'Allemagne dans les pays souverains. Toutes les conditions de conduite de la guerre décrites ci-dessus sont bel et bien les méthodes des "Nazis", car à la fin de chaque remontrance de ce comportement, "Berlin" niait ce qu'il commettait dans les "Camps de concentrations". Malgré que les combines de Paul Kagamé soit mis à nu par les "Experts des Nations-Unies", le Président rwandais nie ne pas être impliqués. Pourtant, il y "plus de cinq Rapports de spécialistes" qui dépeignent la méthode du Rwanda de piller, de tuer et d'envoyer son armée en RDC.


Si aujourd'hui on met les photos des crimes de Paul Kagamé ensemble avec celles de la "Deuxième Guerre Mondiale", on verra bien qu'il n'y a pas de différence entre ce que le "Régime de Kigali" a commis en "RDC", car elles se ressemblent en tout point de vue à celle du le "Régime Nazi". La logique de Paul Kagamé et celle d'Adolf Hitler dans l'Extermination massive des population est la même. Il devient alors inconciliable que l'on voie le Président rwandais sensible aux droit de l'homme quand cela fait son affaire et devenir ogre quand son intérêt est hors de portée de sa main. Ce que Paul Kagamé a fait au Congo ne peut pas durer plus d'un jour en "Grande Bretagne" s'il arrive qu'un homme se met à tuer à sa guise les Britanniques. Celui-ci sera tout de suite maîtrisé.


Comparer ces deux exodes, ils ne sont pas différents. Tous vont vers une destination très inconnue,

les plus faibles meurt en route de fatigue, de famine, de soif et de manque de tout vers cet inconnu

L'exode à gauche est provoqué par Paul Kagamé et l'exode à droite est provoqué par Adolf Hitler ...

Il est temps maintenant que la "Communauté internationale" fasse agir l'ONU et lui impose également les sanctions par sa mauvaise conduite "Vichyste" en RDC. L'ONU n'est pas une Organisation internationale au service d'une personne, mais une citadelle des grande question et des grands problèmes de l'humanité. Déjà, le 20 mai 2010, commentant la pétition des "52 Rabbins de Londres" qui avaient décidé de pousser les candidats aux élections en Grande Bretagne de se faire proche de la souffrance des Congolais, j'écrivais ce qui suit :


Au fait, c'est aussi pour démentir la judéité ambitionné et revendiqué du Président rwandais que les 52 Rabbins de Londres se sont convoqué pour détruire le mythe d'un faux témoignage qui rend un mauvais service à toute la Communauté juive de la planète. Le "Congrès Mondial Juif" n'a pas intérêt de garder sous sa coupole un homme maculé des sang de plus de six millions de victimes innocentes, le "Judaïsme" ne professe pas les massacres des êtres des humains. Ce désaveu est un réquisitoire plausible du rejet de "Paul Kagamé" à tout jamais afin qu'il ne mêle plus les Juifs à ses crimes qui les salissent pour rien. D'une manière sans équivoque, "Paul Kagamé" est débouté par les Juifs de toute obédience dans ses arguments et thèses fausses relative à l'éviction de son peuple par les Congolais. En tout cas, s'il faut s'en tenir au contenu poignant du plaidoyer pour la paix au Congo, le sens de discours ressort cette vérité-là. Les "52 Rabbins" viennent de dire au monde entier que le Président rwandais n'a pas des parts avec eux ni d'héritage avec leur histoire. Comment en sont ils arrivé à cette conclusion ? Source : Djamba Yohé, Fw: LES RABBINS BRITANNIQUES ET LE CONGRÈS MONDIAL JUIF DESAVOUENT L'ONU AU CONGO (2)


En tout cas, je suis fâché contre l'ONU et sa mission au Congo, la MONUSCO. Toute grande qu'elle soit, l'ONU s'est fourvoyée éhonteusement en laissant un peuple mourir devant ses bourreaux sans réagir ni agir. Or, cela n'a pas été la disposition des Congolais vis-à-vis d'elle. Tous les ans, la RDC paie ses cotisations avec les moyens de sa pauvreté pour être en règle avec les exigences de l'Institution "ONU". Qui paient cet argent de quote part au niveau de la description des contribuables des Nations-Unies ? Les pauvres citoyens congolais, ce peuple qui donne des espaces d'installations grandiose à la MONUSCO. Est-ce que c'est cela être membre de l'Organisation des Nations-Unies ?


La MONUSCO, pour tout dire, c'est le "Régime de Vichy" au service de "Paul Kagamé", c'est tout.


Djamba Yohé,

Gaston-Marie F.

Le Congolais de l'Atlantique Nord.

Ottawa, le 25 janvier 2013,

Canada.

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