publié il y a 5 heures, 7 minutes, | Denière mise à jour
le 10 octobre, 2012 à 1:21 | sous Actualité,
La Une, Nord
Kivu, Province Orientale, Régions, Sécurité.
Les
hommes du chef rebelle Manu ont attaqué le village de Bilulu, situé à 150 km au
Sud-ouest de Mambasa dans la province du Nord-Kivu, il y a trois jours. Ils ont
occupé ce village après avoir délogé les militaires des Forces armées de la RDC
(FARDC). Le bilan fait état de quatre personnes tuées et huit autres blessées,
selon les sources locales. Les autorités militaires du cinquième secteur des
FARDC basées à Butembo ont confirmé cette information. La société civile affirme
que Bilulu est le quatrième village occupé par les hommes de Manu.
Les hommes du chef rebelle Manu ont occupé le village de Bilulu vers cinq
heures du matin, heure locale, après avoir délogé les militaires des FARDC.
Certaines sources locales parlent de deux officiers militaires de FARDC et deux
civils tués pendant les affrontements.
D’autres sources indépendantes ajoutent que huit civils ont été grièvement blessés à la suite des tortures et plusieurs cases ont été incendiées.
Selon la société civile locale, ces miliciens occupent actuellement plusieurs villages notamment Bilulu et Lubumbashi dans le Nord-Kivu, ainsi que Njibe et Ehihe en Province orientale.
Les autorités militaires du 5ème secteur basé à Butembo confirment l’attaque et la mort d’un capitaine des FARDC.
La veille de cette attaque, ces rebelles avaient tués un ancien major des FARDC connu sous le nom de Mangamanga et ses deux gardes corps à Mangapela dans le secteur Pangoy dans la Province Orientale.
Lire aussi sur rradiookapi.net :
D’autres sources indépendantes ajoutent que huit civils ont été grièvement blessés à la suite des tortures et plusieurs cases ont été incendiées.
Selon la société civile locale, ces miliciens occupent actuellement plusieurs villages notamment Bilulu et Lubumbashi dans le Nord-Kivu, ainsi que Njibe et Ehihe en Province orientale.
Les autorités militaires du 5ème secteur basé à Butembo confirment l’attaque et la mort d’un capitaine des FARDC.
La veille de cette attaque, ces rebelles avaient tués un ancien major des FARDC connu sous le nom de Mangamanga et ses deux gardes corps à Mangapela dans le secteur Pangoy dans la Province Orientale.
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