lundi 12 mars 2012

Sarkozi en Cote d'Ivoire: COUPS D'ETAT FRANCAIS CONTRE GBAGBO EN NOV 2004 ET AVRIL 2011

SCOOP MARS 2012Françafrique : France moisie !NOUVEL OBS.COM 12.03.12 Génocide rwandais : les lourds secrets du capitaine Barril
[...] Tel le furet de la fable, l'ex-super gendarme de l'Elysée apparait partout dans ce dossier toujours très sensible. Ventes d'armes, renseignement, intox . Il a en effet servi de taupe, puis de mercenaire et enfin d'agent d'influence au profit des chefs hutus (génocidaires,nldr). Il a pesé de tout son poids dans l'enquête judiciaire, jusqu'à brandir de fausses preuves et intervenir dans le cours de la procédure, en suggérant le nom d'un expert étroitement lié à la famille Habyarimana. Une question, en revanche, ne lui a jamais été posée : où était-il le soir de l'attentat contre l'avion du président rwandais ?[...]

AGORAVOX 13.02.12 La France et le génocide rwandais
SURVIE 01.02.12 Barril de poudre
L'ex-gendarme du GIGN, Paul Barril, a été omniprésent dans le dossier rwandais. D'après Patrick de Saint-Exupéry, « il est le pivot d'une toile d'araignée entre l'Elysée de Mitterrand et les extrémistes qui commettront le génocide ». Depuis 1989, Paul Barril travaillait pour la sécurité du président Habyarimana.[...]

MEDIAPART 12.01.12 Rwanda : le «rapport Trévidic» concorde avec les analyses de plusieurs services de renseignements En désignant comme probables auteurs les ultras du régime hutu (armés et soutenus par la France, ndlr), il concorde aussi avec les analyses faites de longue date, mais ignorées en France, par les services de renseignements de plusieurs pays.[...]

NUIT RWANDAISE 12.01.12 L'attentat contre Habyarimana : l'armée française incriminée


SCOOP PRESSAFRIQUE 2005Rwandagate : quand le GIGN fait des révélations
[...] Depuis longtemps, le juge Bruguière s'est attelé à démontrer que le FPR est responsable de l'attentat. Aucune enquête officielle internationale n'a cependant été diligentée jusqu'ici. Celle du juge français est révélée à point nommé. De nombreuses voix mettent en cause la responsabilité française ». Thèse corroborée par Colette Braeckman dans le Soir (« L'avion rwandais abattu par deux Français ? »; Le Soir , du 17 juin 1994) [...]

PRESSAFRIQUE 12.10.2005
Quand Le Monde devient correspondant du juge Bruguière
[...] Pour Gérard Prunier ( Rwanda, le génocide , Ed. Dagorno) « Les FAR ne sont dotées que d'un seul type de missiles, les anti-char français "Milan", très efficaces contre les véhicules au sol mais totalement inutile contre un avion en vol. Les missiles utilisés dans l'attentat sont soit des "Stingers", de fabrication américaine, soit plus vraisemblablement, des SAM7, de fabrication russe ou les modèles plus sophistiqués SAM-16, que l'on trouve facilement sur le marché des armes international. Les deux, d'un emploi relativement facile, demandent cependant un opérateur entraîné et le personnel des FAR ne sait tirer que des "Milan". D'où la possible nécessité d'engager des techniciens extérieurs (Jean-François Dupaquier évoquait l'utilisation de roquettes RPG dans un article de l'Evènement du Jeudi ). » (p.266).



LE SOIR 11.01.12 Rwandagate : le mystère du super gendarme français

AFP 26.10.11 Des soldats français accusés de viols (lors du génocide) au Rwanda par de nouveaux témoignages

LE MONDE 04.10.11
La guerre coloniale du Cameroun a bien eu lieu
A moins d'un improbable coup de théâtre, Paul Biya, 78 ans, président du Cameroun depuis 1982, sera "réélu" pour un nouveau septennat le 9 octobre prochain. Malgré les fraudes électorales, les journalistes emprisonnés, les opposants menacés et une corruption omniprésente, il aura droit aux félicitations de Paris, comme cela a toujours été le cas depuis trente ans. Paul Biya est arrivé au pouvoir sans jamais avoir été élu, ni s'être jamais présenté à la moindre élection. Il a simplement été désigné par son prédécesseur Ahmadou Ahidjo, qui gouverna lui aussi son pays d'une main de fer. A l'origine de ce demi-siècle de dictature, on trouve une guerre. Une terrible guerre coloniale menée par l'armée française, une guerre cachée et encore taboue aujourd'hui, qu'il nous appartient à nous, Camerounais comme Français, de regarder en face.[...]Qui ira au Cameroun pour dire - simplement dire - une réalité historique : la France y a mené une guerre ? Cette démarche impliquera sans doute de reconnaître que cette guerre a enfanté une dictature implacable, c'est-à-dire une autre forme de guerre, permanente, contre un peuple entier. Mais à l'heure où les dirigeants français prétendent promouvoir la démocratie dans le monde arabe, ne serait-il pas cohérent de reconnaître la responsabilité majeure de la "patrie des droits de l'homme" dans la guerre qui a embrasé le Cameroun et y a installé depuis cinq décennies une dictature sanglante typique de la Françafrique ?SURVIE 08.09.11
France-Rwanda : Le Business dans les Grands Lacs contre une amnistie mutuelle de crimes imprescriptibles ? Alliée du régime Habyarimana malgré les signaux précurseurs du génocide, la France a soutenu en 1994 le Gouvernement Intérimaire Rwandais (GIR), Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, allant alors jusqu'à recevoir en plein génocide, son homologue du GIR. La France a continué des livraisons d'armes jusqu'en juin 1994 alors que l'ONU a voté l'embargo le 17 mai.Elle a également permis la fuite des génocidaires au Zaïre et les a réarmés. Depuis 1994 la France reste une terre d'asile pour les présumés génocidaires, qui ne sont toujours pas poursuivis avec l'opiniâtreté nécessaire. Aucun procès n'a eu lieu sur notre sol. Dans ces dossiers de présumés génocidaires, comme dans celui qu'instruit le juge Trévidic sur l'attentat du 6 avril 1994 ou dans l'examen des plaintes déposées contre des militaires de l'opération Turquoise pour complicité de génocide, les autorités françaises de l'époque ont beaucoup à craindre[...]

REFLEXION 18.07.11 APRES SES CRIMES EN ALGERIE : La France accusée de crime contre l'humanité au Rwanda
SURVIE 11.07.11
Rwanda : Report de l'audition des trois plaignantes contre l'armée française [...] Ces auditions ont été reportées par l'absence du juge Frédéric Digne pour des raisons de santé. Les trois plaignantes devront donc revenir en France dans quelques mois pour une nouvelle audition.[...]
FRANCE INFO 29.06.11
Rwanda : des militaires français accusés de viols
CEC 17.06.11
L'Etat français dissimule des preuves de complicité dans le génocide des Tutsi au Rwanda Page 4 de ce document N°018/3°RPIMa/EM/CD -115 du 27 avril 1994 il est écrit : «La communication : Les médias ont étés très présents dès le deuxième jour de l'opération. Le COMOPS a facilité leur travail en leur faisant deux points de presse quotidiens et en les aidants dans leurs déplacements mais avec un souci permanent de ne pas leur montrer des soldats français limitant l'accès aux centres de regroupement aux seuls étrangers sur le territoire du Rwanda (Directive N° 008/DEF/EMA du 10 avril [1994]) ou n'intervenant pas pour faire cesser des massacres dont ils étaient les témoins proches. Il est toutefois permis de noter le désintérêt du correspondant du Figaro pour l'action des éléments français, au profit du seul détachement belge. »
SLATE.FR 14.06.11«Les soldats français ne furent pas les "Waffen SS" du Rwanda»Le général Didier Tauzin, en mission au Rwanda avant et pendant le génocide de 1994, veut défendre l'honneur de la France et ses soldats. BILLETS D'AFRIQUE 08.06.11 Dix-sept ans après le génocide au Rwanda, l'omerta française toujours de mise
L'HUMANITE 07.06.11L' implication française dans le génocide tutsiCEC 23.04.11RFI jette l'éponge : Jacques Morel opposé à Didier Tauzin ne sera pas diffusé


LE CANARD ENCHAINE 27.04.11
Cameroun, Une guerre française cachée pendant quarante ans : Référence nazie, camps de concentration à l'allemande[...] Des camps de concentrations sont édifiés. Ancien haut-commissaire (il sera plus tard ambassadeur, puis maire de Cannes), Maurice Delaunay évoque, dans ses Mémoires, celui de Bangou : "J'avais été prisonnier en Allemagne, je savais comment ça se passait ! J'avais fait un camp avec des barbelés, des miradors".[...] L'année 1960 est terrible. "Je décide d'entreprendre une véritable reconquête", écrit le Premier ministre, Michel Debré. Une note secrète (mars 1960) de l'état-major, dirigé par le général Max Briand, recommande d'"annihiler les groupes terroristes...et leurs sympathisants", ce qui autorise les massacres de masse.
SCOOP MARS 2012Françafrique : France moisie !NOUVEL OBS.COM 12.03.12 Génocide rwandais : les lourds secrets du capitaine Barril
[...] Tel le furet de la fable, l'ex-super gendarme de l'Elysée apparait partout dans ce dossier toujours très sensible. Ventes d'armes, renseignement, intox . Il a en effet servi de taupe, puis de mercenaire et enfin d'agent d'influence au profit des chefs hutus (génocidaires,nldr). Il a pesé de tout son poids dans l'enquête judiciaire, jusqu'à brandir de fausses preuves et intervenir dans le cours de la procédure, en suggérant le nom d'un expert étroitement lié à la famille Habyarimana. Une question, en revanche, ne lui a jamais été posée : où était-il le soir de l'attentat contre l'avion du président rwandais ?[...]

AGORAVOX 13.02.12 La France et le génocide rwandais
SURVIE 01.02.12 Barril de poudre
L'ex-gendarme du GIGN, Paul Barril, a été omniprésent dans le dossier rwandais. D'après Patrick de Saint-Exupéry, « il est le pivot d'une toile d'araignée entre l'Elysée de Mitterrand et les extrémistes qui commettront le génocide ». Depuis 1989, Paul Barril travaillait pour la sécurité du président Habyarimana.[...]

MEDIAPART 12.01.12 Rwanda : le «rapport Trévidic» concorde avec les analyses de plusieurs services de renseignements En désignant comme probables auteurs les ultras du régime hutu (armés et soutenus par la France, ndlr), il concorde aussi avec les analyses faites de longue date, mais ignorées en France, par les services de renseignements de plusieurs pays.[...]

NUIT RWANDAISE 12.01.12 L'attentat contre Habyarimana : l'armée française incriminée
SCOOP PRESSAFRIQUE 2005Rwandagate : quand le GIGN fait des révélations
[...] Depuis longtemps, le juge Bruguière s'est attelé à démontrer que le FPR est responsable de l'attentat. Aucune enquête officielle internationale n'a cependant été diligentée jusqu'ici. Celle du juge français est révélée à point nommé. De nombreuses voix mettent en cause la responsabilité française ». Thèse corroborée par Colette Braeckman dans le Soir (« L'avion rwandais abattu par deux Français ? »; Le Soir , du 17 juin 1994) [...]

PRESSAFRIQUE 12.10.2005
Quand Le Monde devient correspondant du juge Bruguière
[...] Pour Gérard Prunier ( Rwanda, le génocide , Ed. Dagorno) « Les FAR ne sont dotées que d'un seul type de missiles, les anti-char français "Milan", très efficaces contre les véhicules au sol mais totalement inutile contre un avion en vol. Les missiles utilisés dans l'attentat sont soit des "Stingers", de fabrication américaine, soit plus vraisemblablement, des SAM7, de fabrication russe ou les modèles plus sophistiqués SAM-16, que l'on trouve facilement sur le marché des armes international. Les deux, d'un emploi relativement facile, demandent cependant un opérateur entraîné et le personnel des FAR ne sait tirer que des "Milan". D'où la possible nécessité d'engager des techniciens extérieurs (Jean-François Dupaquier évoquait l'utilisation de roquettes RPG dans un article de l'Evènement du Jeudi ). » (p.266).


LE SOIR 11.01.12 Rwandagate : le mystère du super gendarme français

AFP 26.10.11 Des soldats français accusés de viols (lors du génocide) au Rwanda par de nouveaux témoignages

LE MONDE 04.10.11
La guerre coloniale du Cameroun a bien eu lieu
A moins d'un improbable coup de théâtre, Paul Biya, 78 ans, président du Cameroun depuis 1982, sera "réélu" pour un nouveau septennat le 9 octobre prochain. Malgré les fraudes électorales, les journalistes emprisonnés, les opposants menacés et une corruption omniprésente, il aura droit aux félicitations de Paris, comme cela a toujours été le cas depuis trente ans. Paul Biya est arrivé au pouvoir sans jamais avoir été élu, ni s'être jamais présenté à la moindre élection. Il a simplement été désigné par son prédécesseur Ahmadou Ahidjo, qui gouverna lui aussi son pays d'une main de fer. A l'origine de ce demi-siècle de dictature, on trouve une guerre. Une terrible guerre coloniale menée par l'armée française, une guerre cachée et encore taboue aujourd'hui, qu'il nous appartient à nous, Camerounais comme Français, de regarder en face.[...]Qui ira au Cameroun pour dire - simplement dire - une réalité historique : la France y a mené une guerre ? Cette démarche impliquera sans doute de reconnaître que cette guerre a enfanté une dictature implacable, c'est-à-dire une autre forme de guerre, permanente, contre un peuple entier. Mais à l'heure où les dirigeants français prétendent promouvoir la démocratie dans le monde arabe, ne serait-il pas cohérent de reconnaître la responsabilité majeure de la "patrie des droits de l'homme" dans la guerre qui a embrasé le Cameroun et y a installé depuis cinq décennies une dictature sanglante typique de la Françafrique ?SURVIE 08.09.11
France-Rwanda : Le Business dans les Grands Lacs contre une amnistie mutuelle de crimes imprescriptibles ? Alliée du régime Habyarimana malgré les signaux précurseurs du génocide, la France a soutenu en 1994 le Gouvernement Intérimaire Rwandais (GIR), Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, allant alors jusqu'à recevoir en plein génocide, son homologue du GIR. La France a continué des livraisons d'armes jusqu'en juin 1994 alors que l'ONU a voté l'embargo le 17 mai.Elle a également permis la fuite des génocidaires au Zaïre et les a réarmés. Depuis 1994 la France reste une terre d'asile pour les présumés génocidaires, qui ne sont toujours pas poursuivis avec l'opiniâtreté nécessaire. Aucun procès n'a eu lieu sur notre sol. Dans ces dossiers de présumés génocidaires, comme dans celui qu'instruit le juge Trévidic sur l'attentat du 6 avril 1994 ou dans l'examen des plaintes déposées contre des militaires de l'opération Turquoise pour complicité de génocide, les autorités françaises de l'époque ont beaucoup à craindre[...]

REFLEXION 18.07.11 APRES SES CRIMES EN ALGERIE : La France accusée de crime contre l'humanité au Rwanda
SURVIE 11.07.11
Rwanda : Report de l'audition des trois plaignantes contre l'armée française [...] Ces auditions ont été reportées par l'absence du juge Frédéric Digne pour des raisons de santé. Les trois plaignantes devront donc revenir en France dans quelques mois pour une nouvelle audition.[...]
FRANCE INFO 29.06.11
Rwanda : des militaires français accusés de viols
CEC 17.06.11
L'Etat français dissimule des preuves de complicité dans le génocide des Tutsi au Rwanda Page 4 de ce document N°018/3°RPIMa/EM/CD -115 du 27 avril 1994 il est écrit : «La communication : Les médias ont étés très présents dès le deuxième jour de l'opération. Le COMOPS a facilité leur travail en leur faisant deux points de presse quotidiens et en les aidants dans leurs déplacements mais avec un souci permanent de ne pas leur montrer des soldats français limitant l'accès aux centres de regroupement aux seuls étrangers sur le territoire du Rwanda (Directive N° 008/DEF/EMA du 10 avril [1994]) ou n'intervenant pas pour faire cesser des massacres dont ils étaient les témoins proches. Il est toutefois permis de noter le désintérêt du correspondant du Figaro pour l'action des éléments français, au profit du seul détachement belge. »
SLATE.FR 14.06.11«Les soldats français ne furent pas les "Waffen SS" du Rwanda»Le général Didier Tauzin, en mission au Rwanda avant et pendant le génocide de 1994, veut défendre l'honneur de la France et ses soldats. BILLETS D'AFRIQUE 08.06.11 Dix-sept ans après le génocide au Rwanda, l'omerta française toujours de mise
L'HUMANITE 07.06.11L' implication française dans le génocide tutsiCEC 23.04.11RFI jette l'éponge : Jacques Morel opposé à Didier Tauzin ne sera pas diffusé


LE CANARD ENCHAINE 27.04.11
Cameroun, Une guerre française cachée pendant quarante ans : Référence nazie, camps de concentration à l'allemande[...] Des camps de concentrations sont édifiés. Ancien haut-commissaire (il sera plus tard ambassadeur, puis maire de Cannes), Maurice Delaunay évoque, dans ses Mémoires, celui de Bangou : "J'avais été prisonnier en Allemagne, je savais comment ça se passait ! J'avais fait un camp avec des barbelés, des miradors".[...] L'année 1960 est terrible. "Je décide d'entreprendre une véritable reconquête", écrit le Premier ministre, Michel Debré. Une note secrète (mars 1960) de l'état-major, dirigé par le général Max Briand, recommande d'"annihiler les groupes terroristes...et leurs sympathisants", ce qui autorise les massacres de masse.
 
SCOOP MARS 2012
COTE D'IVOIRE -
COUPS D'ETAT FRANCAIS CONTRE GBAGBO EN NOV 2004 ET AVRIL 2011
:
2004 :IMPLICATION DE LA FRANCAFRIQUE DANS LE BOMBARDEMENT DE BOUAKE AVEC LA MORT DE 9 MILITAIRES FRANCAIS/MASSACRE NEOCOLONIAL DEVANT L'HÔTEL IVOIRE - 2011 : CRIMES DE GUERRE ET COMPLICITE DE CRIMES CONTRE L'HUMANITE DE LA SARKOZIE EN CI.
Résumé : Que s'est-il vraiment passé durant la "bataille d'Abidjan" ? Pourquoi l'Elysée était prêt à tout pour chasser Laurent Gbagbo du pouvoir ? Avec quels alliés africains Nicolas Sarkozy a-t-il mis en place sa stratégie ? Qui sont réellement Dominique et Alassane Ouattara et de quels soutiens politiques et financiers bénéficient-ils ? Pourquoi Laurent Gabgbo est-il si détesté par les Européens ? Pourquoi le ministère de la Défense français semble-t-il freîner l'enquête sur l'assassinat de 9 soldats français en 2004 à Bouaké ? Que s'est-il passé dans l'affaire Guy-André Kieffer ? A l'aide de documents et de témoignages issus des services secrets et militaires français, de l'Union Européenne, de l'ONU, ce livre est la première enquête explosive sur les événements de Côte d'Ivoire.
 

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