"CÉDER L'AÉROPORT DE GOMA"
"C'EST RECRÉER LES CONDITIONS D'AFFRONTEMENTS
DU "GÉNÉRAL ROMÉO DALLAIRE" À
KIGALI"
C'ÉTAIT LE 6 AVRIL 1994
Pour réussir, Kagamé faira
assassiner les soldats de la "MONUSCO"
Il l'a fait aux "dix Para belges" et imputera ce massacre aux FARDC
La Belgique a ment et évite de dire la vérité aux Belges sur
ce crime
Tous les génocides en RDC
repose sur ces trois bandits
Ces gens ont comploté pour nous arracher le
Congo par la guerre
LE "M-23" C'EST KABILA,
KAGAMÉ, MUSEVENI
**********************************
Hymne à
l'Immortelle RDC
(Cliquez "Indépendance cha cha" en lingala et en
créole
par les "Antillais de Tabou Combo", amis du
Congo)
OBJET : IL FAUT CHASSER DU POUVOIR
JOSEPH KABILA
ÉLOIGNER KAGAMÉ ET
MUSEVENI DE LA MONUSCO
PRÉVENIR L'UNION AFRICAINE
D'UNE GUERRE
ENTRE LE CONGO ET SES
VOISINS QUI TUENT EN RDC
PRÉAMBULE
Dans un autre communiqué publié ce même jeudi,
la Nouvelle société civile congolaise et la Coalition des organisations de la
société civile de la RDC indiquent que « ce qui se passe actuellement à Kampala
ne concerne pas la population congolaise ». « Quel est le cahier de charge et quel est l’agenda
des uns et des autres ? », s’interroge Jonas Tshombela, coordonateur de la
Nouvelle société civile congolaise. « Nous sommes hostiles aux discussions qui
sont organisées dans l’opacité totale », affirme-t-il. Ces organisations protestent
contre l’organisation du
dialogue entre le gouvernement et la rébellion du M23 en Ouganda « qui est cité noir
sur blanc dans différents rapports comme apportant un soutien » à ces rebelles.
« Le Rwanda comme l’Ouganda
sont des pays dans lesquels nous ne pouvons pas tenir ce genre de dialogue. Pour
nous, ce sont des pays agresseurs », dénonce Jonas Tshombela. La RDC, l’Onu ainsi que plusieurs organisations accusent le Rwanda
et l’Ouganda de soutenir la rébellion du M23.
Dans un
rapport confidentiel publié au début de cette semaine dans la
presse, des experts des Nations unies
accusent ces deux pays d’avoir soutenu ces rebelles lors de la prise de la ville
de Goma le 20 novembre dernier. Source : John Bompengo, de
Radio-Okapi.
I. LE STRATAGÈME
DE RÉÉDITION DU COUP CONTRE
LES DIX
PARACOMMANDOS BELGES DE KIGALI
Monsieur le Représentant des
Nations-Unies en RDC,
Paix à leurs âmes ces braves
paracommandos belges
sacrifiés par l'intrigue, la cupidité
des mauvais belges
JOSEPH KABILA, c'est
le "TRAÎTRE PRINCIPAL DANS LA TRAGÉDIE
CONGOLAISE" et la déliquescence de la RDC,
il faut le chasser et vite. Pour cela, il faut refuser tout texte que les pays
agresseurs, Rwanda et Ouganda, lui ont obligé de signer avec un Rwandais comme
Congolais, "Jean-Marie Runiga".
Demandez son CV, je vous le crie voilà près d'un mois. Le M-23
est un instrument de chantage et de banditisme violent de Kigali pour changer
les frontières de la RDC et pour exterminer les Congolais qui sont déjà moins
nombreux qu'avant touts ces guerres. Qui plus est, l'OMS a constaté avec les
décès multiples au Congo due à la guerre, le taux de natalité des Congolais est
inférieur à celui des décès. Vérifiez ce que je vous dis dans les
Rapports de l'OMS ou d'une Agence correspondante de Santé
Publique internationale. Sinon, j'ouvrirai moi-même ce dossier classé dans mes
filières. Car, si l'OMS ou une agence analogue n'ont pas ce signalement, mes
documents vont devoir le prouver sur la base de cette évidence communiquée avec
ou sans elle par les "ONGs" en RDC
comme "Human Right Watch" ou
"IRC".
Troisième lettre tiré de mon livre
destinée à
Mr. Ramazani Baya Ambassadeur en
France
pour avertir la CNS et le Prés. Mobutu
qu'une
guerre était en se
préparation contre le
Zaïre
Cette lettre, convoyée par "DHL",
qui est réponse de son Excellence Monsieur l'Ambassadeur Ramazani
Baya se résume comme suit :
"Monsieur, j'accuse
réception de votre lettre datée du 25 août et du 15 août 1993, adressée au
Maréchal Mobutu Sese seko, Président de la République du Zaïre. Je vous informe
que ces documents ont été transmis à son Auguste destinataire ainsi qu'aux
autorités compétentes à Kinshasa. Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de ma
considération distinguée." - Ramazani Baya,
Ambassadeur.
Quant aux autorités de la Conférence
Nationale Souveraine que Monsieur Ramazani Baya appelle comme étant celles
de Kinshasa, celles-ci ne m'avaient jamais répondues. J'ai pris en compte leur
silence comme étant une indifférence, mais j'avais la certitude que j'ai fait
mon devoir. Et le contenu de ce que je leur communiquait subsidiarement à la
question de la sécurité nationale, se résumait en ces termes :
Cet enfant espère tout de la MONUSCO et
ne pas se voir fracasser la
tête par
le M-23, les enfants sont des êtres
chers à l'ONU aussi, sinon pourquoi l'UNICEF
Nous évoluons à reculons vers une Antiquité moderne qui s’érige à nos
yeux avec les gadgets électroniques. La Préhistoire se refait pour
nous avec les matériaux que la somme des efforts de l’homme a produit pour
s’évader des âges de l’usage des pierres. Toutes les
conditions sont réunies pour qu’on nous assujettisse sans résistance aux rôles
de service et qu’on nous retourne sans efforts de bataille à l’état de la traite
et de l’esclavage par n’importe quel peuple fort. Les nouveaux Christophe
Colomb qui savent explorer et exploiter l’état pitoyable de l’Afrique
actuelle sauront mettre la main pour recommencer la conquête d’un
continent sans maître. Ils pourront être Chinois, Japonais, Européens ou
Américains car le temps nouveau a produit chez ces peuples une force
économique dont nous avons besoin pour survivre étant donné que nous avons
faim et que nous sommes sans
ressources.
- Toutes les conditions sont réunies pour que règnent prospères les maladies, la famine, l’ignorance et les maux de toutes sortes dans nos familles et sur l’ensemble du territoire national ;
- Toutes les conditions sont réunies pour permettre à l’Étranger de nous envahir comme au siècle passé après la Conférence de Berlin qui a avalisé notre tutelle sous la botte des puissances coloniales ;
- Toutes les conditions sont réunies pour nous voir évoluer dans une société sans systèmes des valeurs et sans système de gouvernement ;
- Toutes les conditions sont réunies pour maintenir à perpétuité notre Belle Jeunesse au chômage sans fin, alors que les courbes statistiques de sa croissance ne font qu’enregistrer chaque jour une augmentation sans pareille. En termes clairs, les enfants qui naissent aujourd’hui sont assurés d’un chômage garanti demain ;
- Toutes les conditions sont réunies pour ne plus nous voir jamais nous relever économiquement. Notre dette extérieure est tellement colossale qu’il nous faut être assistés par la solidarité et l’entraide internationale pour que nous nous en sortions. Partant, ce sont les nouveaux accords à renégocier qui nous attendent ;
- Toutes les conditions sont réunies pour que nous n’arrivions plus jamais aux élections tant législatives que présidentielles, vu l’imbroglio au sein duquel se démènent les instituteurs de la transition et le pouvoir exécutif qui règne sans mandat grâce au sursis des réformes en cours ;
- Toutes les conditions sont réunies pour que l’on nous impose un Chef de l’État à partir de l’extérieur. La pression que fait la Belgique, celle que déploie le Parlement européen à Strasbourg, les allergies de Washington vis-à-vis de Kinshasa et la toux du monde financier et capitaliste en provenance du FOND MONÉTAIRE INTERNATIONAL et de la Banque MONDIALE sont un atout majeur d’ingérence dans nos affaires. Il aura suffit que tous se mettent d’accord pour que nous soyons occupés par les troupes des NATIONS-UNIES ou d’une de ces puissances.
Les
constats sont pléthore, je ne pourrai pas les énumérer tous. Je suis convaincu
d’une chose: qu’avant le désastre, ensemble nous pouvons prévenir
l’hécatombe et éviter un éventuel holocauste qui peut surgir quand
certains fanatiques de la vengeance ethnique organisent des pogroms
purificateurs. Source : Djamba Yohé, à son Excellence
Monsieur Ramazani Baya, le 15 août 1993,
Ottawa.
Les psychopathes supportés par
la Communauté
internationale qui
s'accommode de leur cruauté
Kagamé, Museveni sont
des pupilles de Idi Amin
Cet avertissement, vieille de 19 ans, s'est avéré. C'est cela que nous vivons
aujourd'hui, le Congo est sous la gouvernance et les caprices du chef de l'État
rwandais et des complaisances politiques du gouvernement du Rwanda par tous ses
crimes renvoyés aux seuls Congolais comme responsables. Mais à côté de
cela, les forces extérieures aussi tirent les ficelles et incarcèrent la
souveraineté nationale du Congo. la République Démocratique du Congo est
dirigée par un inconnu sans compétence et celui-ci élimine toute l'élite du pays
en soumettant la nation et son peuple à vivre les pires conditions de
l'infrahumanité. Il s'ensuit que je continue mon constat sur ce ton, mais avec
les arguments de l'actualité formulé comme se présente la suite à ce
paragraphe.
Aujourd'hui, à la suite des invasions
barbares en lien avec cette histoire au fil des ans, il appert que le
Rwanda et l'Ouganda ont très mal ressenti le fait qu'ils aient
été démasqué et chassé par les Instances internationales de Goma. Pour refaire
une autre incursion dans cette ville qui est infiltrée tous les jours par les
M-23 comme des paysans et des gens d'affaire, le coup que "Paul Kagamé" veut rééditer, c'es assassiner
purement et simplement les soldats de la "MONUSCO" dont plusieurs sont déjà morts par les
armes de ses bandits noyés dans le paysage congolais. La prémonition est un don
qui m'accompagne plus souvent.
Je ne suis pas prophète, mais la lecture à
vue de la situation met en place dans mes anticipations des événements, le
langage d'une intuition révélatrice. N'importe qui peut avec ses facultés de
prévention, voire cela. Il y a un document du 15 août 1993 dans lequel j'avais
prévenu la "Conférence Nationale
Souveraine" et le gouvernement zaïrois d'alors de la guerre que
l'on allait nous faire et également de l'imposition d'un chef étranger à la tête
de l'État congolais. Le témoin le plus crédible est Monsieur Ramazani Baya, alors Ambassadeur du Zaïre, en
France. Je ne veux que l'on pense que je revendique la qualité de médium, je
vois seulement d'après les repères que mes éducateurs m'ont enseigné pour lire
les signes du temps.
De ce fait, je préviens "Monsieur Roger
Meece" d'éviter qu'il ne lui arrive les erreurs du "Général Dallaire" à Goma. Il n'y a pas des gens
de bonne volonté entre Paul Kagamé,
Yoweri Museveni et Joseph Kabila pour l'aider à bien accomplir sa
tâche, ces gens sont dans la région des "Grands-Lacs" pour déranger tout le monde, surtout
l'ordre universelle de la raison pratique et l'ordre institutionnelle de la
RDC. Il est important pour le Représentant des "Nations-Unies" en RDC de voir
plus loin que ce qui se passe à ses yeux. L'homme qui a perçu ces dangers parmi
les Envoyés des Nations-Unies qui se succèdent au Congo dans les années '60,
c'est le Ghanéen, Robert Gardiner,
il a fermé la porte à toutes les velléités d'une quelconque collaboration avec
ceux qui ont proclamé la "Sécession au
Katanga". En 1961, les responsables de l'ONU au Katanga ont
coupé tout contact avec le régime qui mettait en péril la vie de leurs hommes en
armes.
Ce sont ces hommes, dont le Gal. James Kabarebe,
qui créent la guerre, la mort en RDC
pour Kagamé
En effet, Monsieur Robert Gardiner
savait que ce n'était pas les Katangais qui sont à la base de la rupture avec
Kinshasa, mais la "Belgique informelle" par l'"Union
Minière du Haut-Katanga". Anticipant les conséquences d'un
piège qui se refermerait sur les troupes de l'ONU, Robert Gardiner, après avoir
suivi comment "Dag Hammarskjöld" est
mort n'a pas voulu entrer dans l'histoire avec des controverses. Cette prudence
ne doit pas qu'être un récit d'une époque. Vous, Monsieur Roger Meece, vous êtes confronté à la
même situation que vos prédécesseurs au Congo. Les États-Unis, l'ONU n'étaient
pas loin du théâtre de l'actualité congolaise, mais à Washington on a été
prudent et on a aussi évité d'autres assassinats comme celui de "Patrice E. Lumumba" quoi que la CIA ait
été impliquée.
En un mot, sur cette prémonition, je vous
informe tout simplement que Paul Kagamé et Yoweri
Museveni ont un plan macabre pour compromettre la "MONUSCO" et hâter l'arrivée de la soi-disant
"Force Neutre" qui est l'émanation
de leur perfidie. Seriez-vous disposé à perdre le lustre de votre dignité dans
l'histoire du Congo et des Grands-Lacs ? En tout cas, en faisant assassiner les
10 paracommandos belges, Paul Kagamé
a obtenu le départ de la "MINUAR",
donc des Belges et de tous les autres contingents qui étaient au Rwanda. Et dès
le départ de ces troupes, les massacres se sont amplifiés de plus belle. L'ONU
a la responsabilité de prévenir ces crimes, elle a déjà échoué en RDC, mais elle
peut réussir à bloquer les crimes planifiés par des cruelles créatures que sont
le tandem des Présidents rwandais et ougandais. Vous avez plus des "Rapports
que je ne vous en fournit, ouvrez l'œil, oubliez mes critiques que j'adresse au
leadership de la MONUSCO en RDC, je
suis journaliste de formation et de vocation.
II. L'AÉROPORT
D'ÉLISABETHVILLE ÉTAIT ENTRE LES MAINS DE L'ONU
LE SOUVENIR DE
RALPH BUNCH ET L'ACTION DE ROBERT GARDINER
Monsieur le Représentant des
Nations-Unies en RDC
Godefroid
Munongo avec Ralph Bunch, le
représentant
américain de
l' ONU sous Dag Hammarskjöld,
en 1960
à l'aéroport d'Élisabethville que R.
Gardner remplacera
Dès lors, toutes les représentations des autorités katangaises à son siège
étaient tout simplement ignoré. Vous voyez sur le photo ci-dessus,
"Godefroid Munongo", Ministre de
l'Intérieur de la Province du Katanga qui tente de faire changer d'avis Robert
Gardiner, ce Délégué des Nations-Unis. À la surprise de son hôte, c'est cet
homme qui a ordonné d'attaquer les mercenaires et la Gendarmerie Katangaises.
Évidemment, "Robert Gardiner" avait
le soutien du "Président John F.
Kennedy" et du Congrès Américain au cours d'une époque qui est
secoué par la Guerre Froide et la montée d'une escalade militaire entre
Washington et Moscou dans le couloir du 17
ième parallèle, d'abord avec la guerre de Corée (1950-1953) et "la guerre du Vietnam" (1954) qui a seulement fini
en 1975 bien plus tard après la mort de John F.
Kennedy. Les successeurs de celui-ci étaient tous pris par ces
dossiers, mais ils n'ont pas perdu la face en Afrique comme c'est le cas
aujourd'hui dans la politique étrangère américaine dans la région des
Grands-Lacs et en Afrique subsaharienne.
Avant d'avancer dans le sujet, même si j'en
donne quelques aperçu liminaires en relation avec les paragraphes à venir, je
m'empresse de dire anticipativement que la cession de l'aéroport de Goma à trois
forces militaires toutes hostiles entre-elles pour des raisons d'accommodement
des revendications est un précédent fâcheux que la "MONUSCO" est en train d'intégrer dans son
mandat. La MONUSCO n'est pas
l'arbitre ou l'exécutrice de préemption des adversités en présence. Le
rôle de l'ONU n'est pas de préserver
la paix avec des demi mesures, mais c'est d'assumer ce risque avec tout le poids
du devoir et des obligations qu'elle impose au "Casques Bleus" comme c'était au Katanga, en
1960. Je reviens sur ce chapitre bientôt. Ceci me renvoie à me poser la
question du pourquoi même de la négociation prévue à Kampala quand c'est ce
pays-là et le Rwanda qui sont les auteurs des crimes contre l'humanité perpétrés
au Congo avec le concours de leurs armées et de leurs bandits armés, le M-23,
une création hybride d'une fausse rébellion.
Pourquoi
négocier à Kampala, l'un des centres névralgiques de la criminalité partagée
avec Kigali en République Démocratique du Congo. Kigali n'est-elle pas la
Préfecture générale du crime organisé en RDC, le bureau politique de la mort
consacrée des Congolais. En me rabattant sur l'allégorie du "Jugement dernier" à la venue du "Christ-Roi", je ne vois pas Jésus en colère
contre les pécheurs aller tenir le procès téléologique des damnés en enfer. Ce
n'est pas là-bas que le "Tribunal
Suprême" de la fin du monde va siéger même si certains
vont aller brûler en enfer chez "le Démon". Le "Jugement dernier" se passera là où Dieu a
prévu de juger les vivants et les morts selon son emplacement
surnaturel.
Il en va
de même pour la RDC. Les problèmes
des Congolais et de la paix au Congo n'ont pas pour plate-forme de
résolution Kampala, car cette ville-là, c'est l'enfer pour les Rdéciens.
Paul Kagamé et Yoweri Museveni complotent contre le Congo à
partir de leurs deux capitales. Pourquoi aller négocier à Kampala chez ces
avatars du mal qui conjuguent le verbe diriger avec tuer les êtres humains. En
somme, ce qui va se discuter là-bas est complètement en dehors de la maîtrise
de la responsabilité des Congolais, car le "M-23" et son "banditisme à main armée" vont horrifier les
Délégués à épouser leurs vues, sinon ils seront décapités avec la faucille
du mal ougandais comme l'avaient été les "Martyrs de
l'Ouganda" exterminés dans le feu par les "Rois des Buganda" au XIX ième
siècle.
Non loin de nous, les politiciens opposants
au régime de "Idi Amin Dada" sont
tués. Et, peu après, c'est l'Évêque anglican "Mgr
Janani Luwum" qui est assassiné à son tour avec deux Ministres
de de son gouvernement dans Kampala. Nous sommes au milieu des années '70.
Kagamé et Museveni ont eu pour professeur des crimes contre
l'humanité "Idi Amin Dada", ils étaient des miliciens dans ses
escadrons de la mort. Aujourd'hui, cette école a proliféré en déversant en RDC,
les élèves des générations successives de la cruauté. Car, celle-ci a été
hérité par les fidèles de Idi Amin Dada, en l'occurrence Paul
Kagamé et Yoweri Museveni. De ce qui précède à la
lumière de ce déballement de la personnalité de Kagamé et Museveni
relativement aux "Négociations de Kampala", la vérité, c'est que le
M-23 répond d'un agenda caché de
Kigali. Encore une fois, c'est Paul Kagamé qui agit dans cette fausse
rébellion. En somme, Paul Kagamé réclame de la Communauté internationale des
pouvoirs et l'exercice de l'autorité de tutelle sur la RDC par les
revendications qui sont de l'ordre que j'étale dans ce libellé ci-dessous
:
Le M-23, donc "Paul Kagamé", veut
:
-
L'aéroport entre de Goma entre ses mains et son contrôle sous le voile du M-23 ;
-
Positionner son armée sous l'uniforme de M-23, des FARDC de sa mouvance et de la MONUSCO ;
-
Commander la MONUSCO et Diriger la RDC par des artifices des mensonges ayant trait à la sécurité du Rwanda sans vraiment démontrer l'évidence de cette ambition ;
-
Disposer la Région des Grands-Lacs comme son propre Empire afin de Régner comme un Monarque sur des sujets conquis, lesquels sont d'abord des Congolais qu'il haï avec la plus noire des mépris ;
-
Exterminer les Congolais qui sont toujours à ses genoux par Joseph Kabila son acolyte et son ancien sergent dans les hordes du Front Patriotique Rwandais qui venait de l'Ouganda.
Ce qui va
devenir la faute stratégiques de la "MONUSCO",
insufflée par la pression de "Paul
Kagamé" via son subordonné "Joseph
Kabila" acculé par ses échecs militaires est perceptible. C'est
l'ébauche d'une solution décriée qui se rédige à Kampala pour contenter le
M-23 en lui accordant la co-gestion de l'aéroport de Goma.
C'est là la ligne rouge que la MONUSCO ne doit pas franchir. L'aéroport de Goma
doit rester entre les mains de l'ONU et à défaut, même faible, dans les seules
mains des FARDC. On ne donne jamais un aéroport à des groupes armées des
combattants illégaux. Un aéroport est une plaque tournante des trafics de
contrebande de toutes sortes. Au Katanga, en 1961, le contrôle de l'aéroport
d'Élisabethville était complètement sous le Commandement de
l'ONU-Congo.
La voiture de mon père en
cette là, 1960, modèle 1956
donnée à
l'ONU après avoir servi à ramasser les
morts
de la guerre de sécession rendu au CICR à
Élisabethville
Il faut éviter cette erreur fatale, les M-23 ne sont
pas les "Vis-à-Vis" du gouvernement de la RDC, mais les compagnons du banditisme
de"Joseph Kabila". Il vaut mieux dans ces conditions, même si la MONUSCO avance
à pas pesant en arrière des FARDC, tolérer les Casques bleus avec amertume
plutôt que d'aller chercher l'armée de l'hideux Museveni qui traite des
Congolais comme le peuple le plus imbécile du monde. Réfléchissons sur la nature
du pays que nous voulons bâtir et questionnons-nous. Source
: Djamba Yohé dans "Conférence de Kampala, une farce chez un cannibale" le 7
décembre 2012.
J'avais huit sept ans à Élisabethville quand j'ai
assisté à une menace analogue de paix dans la Capitale congolaise du cuivre.
Les soldats de l'armée belges et les troupes du Katanga occupaient l'aéroport
avec l'intention de la garder pour de bon. Or, après les "Accords signés aux
Nations-Unies" par Lumumba pour l'envoi des Casques Bleus au Congo, envahi d'une
part par les troupes belges et obstrué d'autre part par la Gendarmerie
Katangaise, il fut difficile à ce que les soldats de l'ONU arrivent au Katanga
et s'y installent. Dans l'entre-temps, pour refuser toute surprise désagréable,
celle de voir poser les avions de l'ONU se poser sur la piste de l'aérodrome à
l'improviste, le gouvernement Katangais avait donné l'ordre d'obstruer la plaine
d'aviation. Il y avait sur la piste d'atterrissage des tonneaux, des pneus en
mauvais état et toutes sortes d'obstacle devant empêcher l'atterrissage d'un
avion qui n'a pas l'autorisation de la régie des voies aériennes de la
place.
Pour faire évoluer la situation dans le sens de
prendre le contrôle de l'aéroport, le Conseil de Sécurité de l'ONU avait décidé
à l'unanimité, le 8 août 1960 à ce que les troupes de l'ONU entrent au Katanga.
Cette décision n'était pas facilité pour être exécutée, mais à l'ONU on devina
un autre scénario. C'est le Secrétaire Général, "Monsieur Dag Hammarskjöld" qui décide de venir au
Congo en passant par Léopoldville pour se rendre à Élisabethville. Ce fut un
stratagème, car le Katanga n'aurait jamais pu refuser à cette personnalité-là
d'atterrir dans sa capitale. Mr Ralph
Bunch, américain, représentant des nations-Unies au Congo, fit
des représentations pour avertir les autorités katangaises à ne pas empêcher le
Secrétaire Général de l'ONU à prendre pied sur sol d'Élisabethville. Aussitôt
que l'avion de ce dernier fut signalé dans le ciel de l'aéroport, les voies
d'entrée furent ouverte pour que l'aéronef atterrisse sans problème, c'était le
13 août 1960.
Or, dans cet atterrissage, "Dag Hammarskjöld" avait tout un plan de guerre
qui ne pouvait pas échouer. Je veux dire le plan B. Dès que son avion se posa,
son escorte composée des soldats suédois de l'ONU avertit la tour de contrôle de
la Luano, nom de la plaine d'aviation de Lubumbashi, que ce n'était pas un seul
avion qui atterrissait, mais bien une série d'avions avec à leur bord, le
soldats de l'ONU venu s'installer au Katanga. La garde belge et katangaise de
l'aéroport fut surprise et ne fit rien pour empêcher ces avions de descendre du
ciel. Dès lors, on vit sortir plusieurs militaires habillés en Casques Bleus.
Et quelques instants plus tard, la troupe de l'ONU était maître sur le terrain.
Les soldats belges et "les Gendarmes
Katangais" comprirent qu'ils devaient se plier et on quitté
l'aéroport pour de bon. Désormais, c'est l'ONU qui devint maître des lieux
jusqu'à la fin de la Sécession Katangaise. Le même jour, quand "Dag Hammarskjöld" partira de là, la mort va le
surprendre à la frontière du Katanga et la Rhodésie du Nord. Les spécialistes
ont cru que c'était-là la vengeance du Katanga et des mercenaires
belges.
Moïse Tschombé avec
Dag Hammarskjöld et à droite remise de l'aéroport aux
soldats
de l'ONU qui
l'occuperont sans relâche jusqu'en 1963, la fin de la Sécession
Katangaise
(Source : photos des anciens Combattants belges
ayant vécu au Katanga, en 1960)
Tout compte fait, l'ONU a fait
preuve d'une maturité de sauvegarde des lieux stratégique dans un pays en
guerre. La même logique se représente avec les mêmes paramètres aujourd'hui à
Goma. Cette histoire-là, je l'ai vécu en direct parce que j'accompagnais mon
père dans le cadre d'une éducation spéciale que je recevais de lui sur l'étude
du milieu. Mon père conduisait la voiture dont j'affiche la photo, c'était une
"Plymouth" du modèle de 1956, il
était chef de Police au Katanga.
Et aujourd'hui, je m'en souviens comme hier. C'est
cette raison-là qui m'oblige à vous communiquer, "Monsieur Roger Meece" de ne pas commettre
l'imprudence du Général canadien "Roméo
Dallaire" à Kigali avec la MINUAR. Celui-ci a laissé une partie de
l'aéroport de Kigali au FPR. Il
advint d'abord l'attentat de l'avion du Général Habyarimana, puis il éclata une
guerre aussitôt après, le 6 avril 1994. On peut tout démentir, mais la
responsabilité de l'ONU est bel et bien engagé dans le "génocide rwando-rwandais". En RDC, Paul Kagamé, manipulateur suprême, et
Yoweri Museveni, mangeur d'hommes,
sont décidés à faire échouer la mission de la MOUNUSCO qui passe à nos yeux, nous Congolais,
comme une participation à l'intrigue de l'hypothèque du Congo vers son
démembrement. Kagamé et Museveni n'étant que
des agents commis à cette conspiration.
Car, qu'on le veuille ou non, la MONUC, la MONUSCO, le Conseil de sécurité et l'ONU,
elle-même, n'ont vraiment jamais donné la preuve d'être venu en RDC pour sauver
les Congolais. Le budget de la MONUSCO de "un
Milliard" est une somme que les "Col
blanc" de l'ONU en mission en RDC se partagent sans donner des
explication à la nation congolaise. Le sort des Congolais, quant à lui, est
sous l'épée de Damoclès qui vient le visiter en agissant avec la pointe de son
estocade aiguisée au Rwanda, en Ouganda et de temps en temps du Burundi. C'est
cruel cette mission entendue sous cette perspective-là.
En ce qui concerne la "Force neutre", je vous rappelle, comme vous le
savez qu'il n'y a dans le monde, au niveau des interventions pour la paix dans
les Nations, que l'ONU. Toute autre forme qui se constitue pour faire comme
elle avec ses "Casques bleus", cette
force-là n'est pas neutre, c'est une convention sectaire de circonstance.
Partant, si l'ONU qui a le mandat de sécuriser les Congolais confie aux pays
africains ce rôle, elle ment et met dans l'insécurité les Congolais qui
attendent beaucoup de sa capacité de protéger dans la neutralité, même si cela
n'est pas encore évident en RDC. Il est faux de faire croire aux Congolais que
"les Tanzaniens, les Sud-Africains"
sont neutres. Les Tanzaniens n'aiment pas les Congolais, ils viendront tuer en
RDC pour se venger de la défaite que les Forces Armées Zaïroises leur avait
infligée avec des "avions Mirages"
dans ce qui s'entend comme "Opération Moba
1" et "Moba 2".
Faire venir le soldats de la Tanzanie, c'est récréer une occasion pour ces
militaires de se venger de leur défaite à plate-couture sur le Lac Tanganyka et
à l'intérieur de leur territoire à l'époque de "Julius Nyerere", en 1974.
Les Sud-Africains ne sont pas neutres non plus, car
"Jacob Zuma" est en conflit
d'intérêt avec la RDC. Au cours des élections présidentielles de l'année
dernière, ce Président a dépêché à Kinshasa des urnes déjà bourrées pour faire
gagner "Joseph Kabila". Par
ailleurs, les contingents sud-africains de la MONUC sont ceux qui ont le plus fait le
"Déshonneur des Casques Bleus". La
MONUSCO connaît cette histoire.
Pourquoi appeler cette sorte des militaire à la braguette facile pour
"Force Neutre" quand leur sexe ne
sont pas retenus par la neutralité obligeant leur libido à calmer ses ardeurs à
la fermeté érectile ?
Je vous prie de ne pas cautionner la remise de
l'aéroport au M-23 ni aux Force dites neutres, l'ONU, par la
MONUSCO va préparer une autre
tragédie qui va déboucher à la guerre. Paul
Kagamé, Yoweri
Museveni sont des psychopathes. À ces gens-là, on ne met jamais
la puissance de feu entre leurs mains. L'action de méfaits que Kagamé va opérer
en recevant par le M-23 et les soldats infiltrés du Front
Patriotique rwandais dans les FARDC,
ce sera d'assassiner les militaires de la MONUSCO pour imputer ce crime au soldats
congolais. Il faut s'assagir contre les crimes de Paul Kagamé et éviter ce qui
a été fait aux Paracommandos belges de la MINUAR. L'histoire dit-on se répète, mais on peut
empêcher sa répétition quand on s'oblige à faire la revue de ses imprévus par
des analogies de l'étude de l'environnement de guerre.
De toutes les façons, pour vous redire ce que je
viens de développer d'une autre façon, je vous préviens de ne pas trop vous
laisser prendre au jeu de Paul
Kagamé qui nie tout en bloc des crimes qu'il a commis et que
tout le monde voit. L'envergure que ses mentors lui ont donné l'on gonflé au
point de devenir un boulet des contraintes ses parrains. En effet, l'étendue de
de contrôle dont jouit Paul Kagamé
sur la RDC et la tutelle qu'il exerce sur Joseph Kabila sont d'une densité qu'il
faille interroger ceux dont il se réclame l'ami. Les Etats-Unis et la Grande
Bretagne passe dans toute l'Afrique pour des galerie du pouvoir singulier de
Paul Kagamé comme si leurs puissances étaient un héritage de sa famille et de
ses crimes au Congo. En tout cas, Kagamé invoque les États-Unis et la Grande Bretagne comme étant ses familiers et comme
centre de sa puissance personnelle.
Un chef de l'État étranger, fut-il des USA, malgré
l'incidence de leur leadership, ne peut pas diriger un autre État souverain et
indépendant comme sa propriété, il y a le droit international qui interdit cette
sorte d'inférence-ingérence qui dérange tous les principes de d'altérité et de
respect de des champ d'action et de compétence des autres. Il en va de même de
l'observance des Alliances signées comme gage de coopération entre deux États
amis. Or, dans la tragédie congolaise et dans l'écran de visualisation des
relations entre le Rwanda,
Washington et Londres, sinon les Nations-Unies, Paul Kagamé
paraît avoir dompté le gouvernement américain et britannique. Autrement dit,
l'édifice socio-politique du Commonwealth passe pour un instrument du règne de
Kagamé sur l'Afrique centrale et les Grands-Lacs. Et comme, il sent qu'il est
craint et dispose d'un argument contre le génocide, Paul Kagamé dispose d'une impédance qui balise les
pouvoir de tout le monde sous sa plate-forme. Il est maintenant cet Africain
qui est co-propriétaire du bloc anglo-américain de la planète. En tout cas, il
faut que l'on y pense à Washington et à Londres, sinon à la MONUSCO.
Je vous remercie, Monsieur Roger
Meece de me lire avec attention. Si vous êtes catholique, je vous
souhaite une bonne fête de l'"Immaculée
Conception", car c'est aujourd'hui, le 8 décembre, la date
universelle du Couronnement de la Vierge par la reconnaissance de sa
préservation contre le péché originelle.
Djamba Yohé,
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique
Nord,
Ottawa, le 8 décembre
2012,
Canada.
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