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C’est ce 6 septembre que «se tient à Johannesburg la dernière session du procès de six agresseurs présumés de l’ancien chef d’état-major rwandais Faustin Kayumba Nyamwasa», rapporte RFI.
Après cette phase, le procès ne reprendra que l'année prochaine.
Que s'est-il donc passé?
Le général Faustin Kayumba Nyamwasa, ancien proche du président rwandais Paul Kagame, a échappé à un double attentat contre sa personne en Afrique du Sud où il vit en exil.
En juin 2010, il est blessé par balles devant sa résidence à Johannesburg.
Sur son lit d’hôpital, il échappe de justesse à une deuxième tentative d'assassinat. Ses agresseurs (trois Rwandais et trois Tanzaniens) sont arrêtés par la police sud-africaine.
Depuis, le procès de ces agresseurs ne lèvent pas le voile sur les commanditaires de ceux qui en veulent à l’ancien général de l’armée rwandaise. Dans l'ombre, certaines silhouettes se profilent sans qu'on ne puisse véritablement identifier la tête pensante de ce qui ressemble à un acharnement sur Faustin Kayumba.
Quelques jours après cet épisode, le rédacteur en chef du journal rwandais Umuvugizi qui enquêtait sur l’affaire de la tentative d’assassinat du général Faustin Kayumba est tué à Kigali.
L’ancien général «assureque le président Paul Kagame est derrière les agressions contre sa personne», poursuit RFI.
Pour avoir été l’un des fondateurs du Front patriotique rwandais, le parti de Paul Kagame qui a renversé le régime de l’ancien président rwandais Juvénal Habyarimana en 1994, le général déchu soutient que «c’est le même type d’attaques dont ont été victimes d’autres réfugiés Rwandais en RDC, en Tanzanie..., qui se sont élevés pour critiquer le gouvernement du Rwanda».
Le général Faustin Kayumba Nyamwasa, passé dans l’opposition depuis sa prise de distance avec le régime de Kigali, est recherché par la justice internationale et par la justice rwandaise à la suite de son implication supposée dans le massacredes hutus dans des camps des réfugiés dans l’est de la RD Congo.
Lu sur RFI
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En juin 2010, il est blessé par balles devant sa résidence à Johannesburg.
Sur son lit d’hôpital, il échappe de justesse à une deuxième tentative d'assassinat. Ses agresseurs (trois Rwandais et trois Tanzaniens) sont arrêtés par la police sud-africaine.
Depuis, le procès de ces agresseurs ne lèvent pas le voile sur les commanditaires de ceux qui en veulent à l’ancien général de l’armée rwandaise. Dans l'ombre, certaines silhouettes se profilent sans qu'on ne puisse véritablement identifier la tête pensante de ce qui ressemble à un acharnement sur Faustin Kayumba.
Quelques jours après cet épisode, le rédacteur en chef du journal rwandais Umuvugizi qui enquêtait sur l’affaire de la tentative d’assassinat du général Faustin Kayumba est tué à Kigali.
L’ancien général «assureque le président Paul Kagame est derrière les agressions contre sa personne», poursuit RFI.
Pour avoir été l’un des fondateurs du Front patriotique rwandais, le parti de Paul Kagame qui a renversé le régime de l’ancien président rwandais Juvénal Habyarimana en 1994, le général déchu soutient que «c’est le même type d’attaques dont ont été victimes d’autres réfugiés Rwandais en RDC, en Tanzanie..., qui se sont élevés pour critiquer le gouvernement du Rwanda».
Le général Faustin Kayumba Nyamwasa, passé dans l’opposition depuis sa prise de distance avec le régime de Kigali, est recherché par la justice internationale et par la justice rwandaise à la suite de son implication supposée dans le massacredes hutus dans des camps des réfugiés dans l’est de la RD Congo.
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