dimanche 9 décembre 2012

MONSIEUR ROGER MEECE

"CÉDER L'AÉROPORT DE GOMA"
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"C'EST RECRÉER LES CONDITIONS D'AFFRONTEMENTS

DU "GÉNÉRAL ROMÉO DALLAIRE" À KIGALI"

C'ÉTAIT LE 6 AVRIL 1994


Pour réussir, Kagamé faira assassiner les soldats de la "MONUSCO"

Il l'a fait aux "dix Para belges" et imputera ce massacre aux FARDC

La Belgique a ment et évite de dire la vérité aux Belges sur ce crime

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Tous les génocides en RDC repose sur ces trois bandits

Ces gens ont comploté pour nous arracher le Congo par la guerre

LE "M-23" C'EST KABILA, KAGAMÉ, MUSEVENI

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Hymne à l'Immortelle RDC


(Cliquez "Indépendance cha cha" en lingala et en créole

par les "Antillais de Tabou Combo", amis du Congo)



OBJET : IL FAUT CHASSER DU POUVOIR JOSEPH KABILA

ÉLOIGNER KAGAMÉ ET MUSEVENI DE LA MONUSCO

PRÉVENIR L'UNION AFRICAINE D'UNE GUERRE

ENTRE LE CONGO ET SES VOISINS QUI TUENT EN RDC


PRÉAMBULE


Dans un autre communiqué publié ce même jeudi, la Nouvelle société civile congolaise et la Coalition des organisations de la société civile de la RDC indiquent que « ce qui se passe actuellement à Kampala ne concerne pas la population congolaise ». « Quel est le cahier de charge et quel est l’agenda des uns et des autres ? », s’interroge Jonas Tshombela, coordonateur de la Nouvelle société civile congolaise. « Nous sommes hostiles aux discussions qui sont organisées dans l’opacité totale », affirme-t-il. Ces organisations protestent contre l’organisation du dialogue entre le gouvernement et la rébellion du M23 en Ouganda « qui est cité noir sur blanc dans différents rapports comme apportant un soutien » à ces rebelles. « Le Rwanda comme l’Ouganda sont des pays dans lesquels nous ne pouvons pas tenir ce genre de dialogue. Pour nous, ce sont des pays agresseurs », dénonce Jonas Tshombela. La RDC, l’Onu ainsi que plusieurs organisations accusent le Rwanda et l’Ouganda de soutenir la rébellion du M23. Dans un rapport confidentiel publié au début de cette semaine dans la presse, des experts des Nations unies accusent ces deux pays d’avoir soutenu ces rebelles lors de la prise de la ville de Goma le 20 novembre dernier. Source : John Bompengo, de Radio-Okapi.


I. LE STRATAGÈME DE RÉÉDITION DU COUP CONTRE

LES DIX PARACOMMANDOS BELGES DE KIGALI


Monsieur le Représentant des Nations-Unies en RDC,


Paix à leurs âmes ces braves paracommandos belges

sacrifiés par l'intrigue, la cupidité des mauvais belges

baseline JOSEPH KABILA, c'est le "TRAÎTRE PRINCIPAL DANS LA TRAGÉDIE CONGOLAISE" et la déliquescence de la RDC, il faut le chasser et vite. Pour cela, il faut refuser tout texte que les pays agresseurs, Rwanda et Ouganda, lui ont obligé de signer avec un Rwandais comme Congolais, "Jean-Marie Runiga". Demandez son CV, je vous le crie voilà près d'un mois. Le M-23 est un instrument de chantage et de banditisme violent de Kigali pour changer les frontières de la RDC et pour exterminer les Congolais qui sont déjà moins nombreux qu'avant touts ces guerres. Qui plus est, l'OMS a constaté avec les décès multiples au Congo due à la guerre, le taux de natalité des Congolais est inférieur à celui des décès. Vérifiez ce que je vous dis dans les Rapports de l'OMS ou d'une Agence correspondante de Santé Publique internationale. Sinon, j'ouvrirai moi-même ce dossier classé dans mes filières. Car, si l'OMS ou une agence analogue n'ont pas ce signalement, mes documents vont devoir le prouver sur la base de cette évidence communiquée avec ou sans elle par les "ONGs" en RDC comme "Human Right Watch" ou "IRC".


Troisième lettre tiré de mon livre destinée à

Mr. Ramazani Baya Ambassadeur en France

pour avertir la CNS et le Prés. Mobutu qu'une

guerre était en se préparation contre le Zaïre

baseline Cette lettre, convoyée par "DHL", qui est réponse de son Excellence Monsieur l'Ambassadeur Ramazani Baya se résume comme suit :


"Monsieur, j'accuse réception de votre lettre datée du 25 août et du 15 août 1993, adressée au Maréchal Mobutu Sese seko, Président de la République du Zaïre. Je vous informe que ces documents ont été transmis à son Auguste destinataire ainsi qu'aux autorités compétentes à Kinshasa. Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de ma considération distinguée." - Ramazani Baya, Ambassadeur.


Quant aux autorités de la Conférence Nationale Souveraine que Monsieur Ramazani Baya appelle comme étant celles de Kinshasa, celles-ci ne m'avaient jamais répondues. J'ai pris en compte leur silence comme étant une indifférence, mais j'avais la certitude que j'ai fait mon devoir. Et le contenu de ce que je leur communiquait subsidiarement à la question de la sécurité nationale, se résumait en ces termes :


Cet enfant espère tout de la MONUSCO et ne pas se voir fracasser la tête par

le M-23, les enfants sont des êtres chers à l'ONU aussi, sinon pourquoi l'UNICEF

baselinebaseline Nous évoluons à reculons vers une Antiquité moderne qui s’érige à nos yeux avec les gadgets électroniques. La Préhistoire se refait pour nous avec les matériaux que la somme des efforts de l’homme a produit pour s’évader des âges de l’usage des pierres. Toutes les conditions sont réunies pour qu’on nous assujettisse sans résistance aux rôles de service et qu’on nous retourne sans efforts de bataille à l’état de la traite et de l’esclavage par n’importe quel peuple fort. Les nouveaux Christophe Colomb qui savent explorer et exploiter l’état pitoyable de l’Afrique actuelle sauront mettre la main pour recommencer la conquête d’un continent sans maître. Ils pourront être Chinois, Japonais, Européens ou Américains car le temps nouveau a produit chez ces peuples une force économique dont nous avons besoin pour survivre étant donné que nous avons faim et que nous sommes sans ressources.

  1. Toutes les conditions sont réunies pour que règnent prospères les maladies, la famine, l’ignorance et les maux de toutes sortes dans nos familles et sur l’ensemble du territoire national ;
  2. Toutes les conditions sont réunies pour permettre à l’Étranger de nous envahir comme au siècle passé après la Conférence de Berlin qui a avalisé notre tutelle sous la botte des puissances coloniales ;
  3. Toutes les conditions sont réunies pour nous voir évoluer dans une société sans systèmes des valeurs et sans système de gouvernement ;
  4. Toutes les conditions sont réunies pour maintenir à perpétuité notre Belle Jeunesse au chômage sans fin, alors que les courbes statistiques de sa croissance ne font qu’enregistrer chaque jour une augmentation sans pareille. En termes clairs, les enfants qui naissent aujourd’hui sont assurés d’un chômage garanti demain ;
  5. Toutes les conditions sont réunies pour ne plus nous voir jamais nous relever économiquement. Notre dette extérieure est tellement colossale qu’il nous faut être assistés par la solidarité et l’entraide internationale pour que nous nous en sortions. Partant, ce sont les nouveaux accords à renégocier qui nous attendent ;
  6. Toutes les conditions sont réunies pour que nous n’arrivions plus jamais aux élections tant législatives que présidentielles, vu l’imbroglio au sein duquel se démènent les instituteurs de la transition et le pouvoir exécutif qui règne sans mandat grâce au sursis des réformes en cours ;
  7. Toutes les conditions sont réunies pour que l’on nous impose un Chef de l’État à partir de l’extérieur. La pression que fait la Belgique, celle que déploie le Parlement européen à Strasbourg, les allergies de Washington vis-à-vis de Kinshasa et la toux du monde financier et capitaliste en provenance du FOND MONÉTAIRE INTERNATIONAL et de la Banque MONDIALE sont un atout majeur d’ingérence dans nos affaires. Il aura suffit que tous se mettent d’accord pour que nous soyons occupés par les troupes des NATIONS-UNIES ou d’une de ces puissances.
Les constats sont pléthore, je ne pourrai pas les énumérer tous. Je suis convaincu d’une chose: qu’avant le désastre, ensemble nous pouvons prévenir l’hécatombe et éviter un éventuel holocauste qui peut surgir quand certains fanatiques de la vengeance ethnique organisent des pogroms purificateurs. Source : Djamba Yohé, à son Excellence Monsieur Ramazani Baya, le 15 août 1993, Ottawa.
Les psychopathes supportés par la Communauté
internationale qui s'accommode de leur cruauté
Kagamé, Museveni sont des pupilles de Idi Amin
baseline Cet avertissement, vieille de 19 ans, s'est avéré. C'est cela que nous vivons aujourd'hui, le Congo est sous la gouvernance et les caprices du chef de l'État rwandais et des complaisances politiques du gouvernement du Rwanda par tous ses crimes renvoyés aux seuls Congolais comme responsables. Mais à côté de cela, les forces extérieures aussi tirent les ficelles et incarcèrent la souveraineté nationale du Congo. la République Démocratique du Congo est dirigée par un inconnu sans compétence et celui-ci élimine toute l'élite du pays en soumettant la nation et son peuple à vivre les pires conditions de l'infrahumanité. Il s'ensuit que je continue mon constat sur ce ton, mais avec les arguments de l'actualité formulé comme se présente la suite à ce paragraphe.
Aujourd'hui, à la suite des invasions barbares en lien avec cette histoire au fil des ans, il appert que le Rwanda et l'Ouganda ont très mal ressenti le fait qu'ils aient été démasqué et chassé par les Instances internationales de Goma. Pour refaire une autre incursion dans cette ville qui est infiltrée tous les jours par les M-23 comme des paysans et des gens d'affaire, le coup que "Paul Kagamé" veut rééditer, c'es assassiner purement et simplement les soldats de la "MONUSCO" dont plusieurs sont déjà morts par les armes de ses bandits noyés dans le paysage congolais. La prémonition est un don qui m'accompagne plus souvent.
Je ne suis pas prophète, mais la lecture à vue de la situation met en place dans mes anticipations des événements, le langage d'une intuition révélatrice. N'importe qui peut avec ses facultés de prévention, voire cela. Il y a un document du 15 août 1993 dans lequel j'avais prévenu la "Conférence Nationale Souveraine" et le gouvernement zaïrois d'alors de la guerre que l'on allait nous faire et également de l'imposition d'un chef étranger à la tête de l'État congolais. Le témoin le plus crédible est Monsieur Ramazani Baya, alors Ambassadeur du Zaïre, en France. Je ne veux que l'on pense que je revendique la qualité de médium, je vois seulement d'après les repères que mes éducateurs m'ont enseigné pour lire les signes du temps.


De ce fait, je préviens "Monsieur Roger Meece" d'éviter qu'il ne lui arrive les erreurs du "Général Dallaire" à Goma. Il n'y a pas des gens de bonne volonté entre Paul Kagamé, Yoweri Museveni et Joseph Kabila pour l'aider à bien accomplir sa tâche, ces gens sont dans la région des "Grands-Lacs" pour déranger tout le monde, surtout l'ordre universelle de la raison pratique et l'ordre institutionnelle de la RDC. Il est important pour le Représentant des "Nations-Unies" en RDC de voir plus loin que ce qui se passe à ses yeux. L'homme qui a perçu ces dangers parmi les Envoyés des Nations-Unies qui se succèdent au Congo dans les années '60, c'est le Ghanéen, Robert Gardiner, il a fermé la porte à toutes les velléités d'une quelconque collaboration avec ceux qui ont proclamé la "Sécession au Katanga". En 1961, les responsables de l'ONU au Katanga ont coupé tout contact avec le régime qui mettait en péril la vie de leurs hommes en armes.

Ce sont ces hommes, dont le Gal. James Kabarebe,
qui créent la guerre, la mort en RDC pour Kagamé
baselinebaseline En effet, Monsieur Robert Gardiner savait que ce n'était pas les Katangais qui sont à la base de la rupture avec Kinshasa, mais la "Belgique informelle" par l'"Union Minière du Haut-Katanga". Anticipant les conséquences d'un piège qui se refermerait sur les troupes de l'ONU, Robert Gardiner, après avoir suivi comment "Dag Hammarskjöld" est mort n'a pas voulu entrer dans l'histoire avec des controverses. Cette prudence ne doit pas qu'être un récit d'une époque. Vous, Monsieur Roger Meece, vous êtes confronté à la même situation que vos prédécesseurs au Congo. Les États-Unis, l'ONU n'étaient pas loin du théâtre de l'actualité congolaise, mais à Washington on a été prudent et on a aussi évité d'autres assassinats comme celui de "Patrice E. Lumumba" quoi que la CIA ait été impliquée.


En un mot, sur cette prémonition, je vous informe tout simplement que Paul Kagamé et Yoweri Museveni ont un plan macabre pour compromettre la "MONUSCO" et hâter l'arrivée de la soi-disant "Force Neutre" qui est l'émanation de leur perfidie. Seriez-vous disposé à perdre le lustre de votre dignité dans l'histoire du Congo et des Grands-Lacs ? En tout cas, en faisant assassiner les 10 paracommandos belges, Paul Kagamé a obtenu le départ de la "MINUAR", donc des Belges et de tous les autres contingents qui étaient au Rwanda. Et dès le départ de ces troupes, les massacres se sont amplifiés de plus belle. L'ONU a la responsabilité de prévenir ces crimes, elle a déjà échoué en RDC, mais elle peut réussir à bloquer les crimes planifiés par des cruelles créatures que sont le tandem des Présidents rwandais et ougandais. Vous avez plus des "Rapports que je ne vous en fournit, ouvrez l'œil, oubliez mes critiques que j'adresse au leadership de la MONUSCO en RDC, je suis journaliste de formation et de vocation.


II. L'AÉROPORT D'ÉLISABETHVILLE ÉTAIT ENTRE LES MAINS DE L'ONU

LE SOUVENIR DE RALPH BUNCH ET L'ACTION DE ROBERT GARDINER


Monsieur le Représentant des Nations-Unies en RDC


Godefroid Munongo avec Ralph Bunch, le représentant

américain de l' ONU sous Dag Hammarskjöld, en 1960

à l'aéroport d'Élisabethville que R. Gardner remplacera

baseline Dès lors, toutes les représentations des autorités katangaises à son siège étaient tout simplement ignoré. Vous voyez sur le photo ci-dessus, "Godefroid Munongo", Ministre de l'Intérieur de la Province du Katanga qui tente de faire changer d'avis Robert Gardiner, ce Délégué des Nations-Unis. À la surprise de son hôte, c'est cet homme qui a ordonné d'attaquer les mercenaires et la Gendarmerie Katangaises. Évidemment, "Robert Gardiner" avait le soutien du "Président John F. Kennedy" et du Congrès Américain au cours d'une époque qui est secoué par la Guerre Froide et la montée d'une escalade militaire entre Washington et Moscou dans le couloir du 17 ième parallèle, d'abord avec la guerre de Corée (1950-1953) et "la guerre du Vietnam" (1954) qui a seulement fini en 1975 bien plus tard après la mort de John F. Kennedy. Les successeurs de celui-ci étaient tous pris par ces dossiers, mais ils n'ont pas perdu la face en Afrique comme c'est le cas aujourd'hui dans la politique étrangère américaine dans la région des Grands-Lacs et en Afrique subsaharienne.


Avant d'avancer dans le sujet, même si j'en donne quelques aperçu liminaires en relation avec les paragraphes à venir, je m'empresse de dire anticipativement que la cession de l'aéroport de Goma à trois forces militaires toutes hostiles entre-elles pour des raisons d'accommodement des revendications est un précédent fâcheux que la "MONUSCO" est en train d'intégrer dans son mandat. La MONUSCO n'est pas l'arbitre ou l'exécutrice de préemption des adversités en présence. Le rôle de l'ONU n'est pas de préserver la paix avec des demi mesures, mais c'est d'assumer ce risque avec tout le poids du devoir et des obligations qu'elle impose au "Casques Bleus" comme c'était au Katanga, en 1960. Je reviens sur ce chapitre bientôt. Ceci me renvoie à me poser la question du pourquoi même de la négociation prévue à Kampala quand c'est ce pays-là et le Rwanda qui sont les auteurs des crimes contre l'humanité perpétrés au Congo avec le concours de leurs armées et de leurs bandits armés, le M-23, une création hybride d'une fausse rébellion.


Pourquoi négocier à Kampala, l'un des centres névralgiques de la criminalité partagée avec Kigali en République Démocratique du Congo. Kigali n'est-elle pas la Préfecture générale du crime organisé en RDC, le bureau politique de la mort consacrée des Congolais. En me rabattant sur l'allégorie du "Jugement dernier" à la venue du "Christ-Roi", je ne vois pas Jésus en colère contre les pécheurs aller tenir le procès téléologique des damnés en enfer. Ce n'est pas là-bas que le "Tribunal Suprême" de la fin du monde va siéger même si certains vont aller brûler en enfer chez "le Démon". Le "Jugement dernier" se passera là où Dieu a prévu de juger les vivants et les morts selon son emplacement surnaturel.


Il en va de même pour la RDC. Les problèmes des Congolais et de la paix au Congo n'ont pas pour plate-forme de résolution Kampala, car cette ville-là, c'est l'enfer pour les Rdéciens. Paul Kagamé et Yoweri Museveni complotent contre le Congo à partir de leurs deux capitales. Pourquoi aller négocier à Kampala chez ces avatars du mal qui conjuguent le verbe diriger avec tuer les êtres humains. En somme, ce qui va se discuter là-bas est complètement en dehors de la maîtrise de la responsabilité des Congolais, car le "M-23" et son "banditisme à main armée" vont horrifier les Délégués à épouser leurs vues, sinon ils seront décapités avec la faucille du mal ougandais comme l'avaient été les "Martyrs de l'Ouganda" exterminés dans le feu par les "Rois des Buganda" au XIX ième siècle.


Non loin de nous, les politiciens opposants au régime de "Idi Amin Dada" sont tués. Et, peu après, c'est l'Évêque anglican "Mgr Janani Luwum" qui est assassiné à son tour avec deux Ministres de de son gouvernement dans Kampala. Nous sommes au milieu des années '70. Kagamé et Museveni ont eu pour professeur des crimes contre l'humanité "Idi Amin Dada", ils étaient des miliciens dans ses escadrons de la mort. Aujourd'hui, cette école a proliféré en déversant en RDC, les élèves des générations successives de la cruauté. Car, celle-ci a été hérité par les fidèles de Idi Amin Dada, en l'occurrence Paul Kagamé et Yoweri Museveni. De ce qui précède à la lumière de ce déballement de la personnalité de Kagamé et Museveni relativement aux "Négociations de Kampala", la vérité, c'est que le M-23 répond d'un agenda caché de Kigali. Encore une fois, c'est Paul Kagamé qui agit dans cette fausse rébellion. En somme, Paul Kagamé réclame de la Communauté internationale des pouvoirs et l'exercice de l'autorité de tutelle sur la RDC par les revendications qui sont de l'ordre que j'étale dans ce libellé ci-dessous :


Le M-23, donc "Paul Kagamé", veut :

  1. L'aéroport entre de Goma entre ses mains et son contrôle sous le voile du M-23 ;
  2. Positionner son armée sous l'uniforme de M-23, des FARDC de sa mouvance et de la MONUSCO ;
  3. Commander la MONUSCO et Diriger la RDC par des artifices des mensonges ayant trait à la sécurité du Rwanda sans vraiment démontrer l'évidence de cette ambition ;
  4. Disposer la Région des Grands-Lacs comme son propre Empire afin de Régner comme un Monarque sur des sujets conquis, lesquels sont d'abord des Congolais qu'il haï avec la plus noire des mépris ;
  5. Exterminer les Congolais qui sont toujours à ses genoux par Joseph Kabila son acolyte et son ancien sergent dans les hordes du Front Patriotique Rwandais qui venait de l'Ouganda.

Ce qui va devenir la faute stratégiques de la "MONUSCO", insufflée par la pression de "Paul Kagamé" via son subordonné "Joseph Kabila" acculé par ses échecs militaires est perceptible. C'est l'ébauche d'une solution décriée qui se rédige à Kampala pour contenter le M-23 en lui accordant la co-gestion de l'aéroport de Goma. C'est là la ligne rouge que la MONUSCO ne doit pas franchir. L'aéroport de Goma doit rester entre les mains de l'ONU et à défaut, même faible, dans les seules mains des FARDC. On ne donne jamais un aéroport à des groupes armées des combattants illégaux. Un aéroport est une plaque tournante des trafics de contrebande de toutes sortes. Au Katanga, en 1961, le contrôle de l'aéroport d'Élisabethville était complètement sous le Commandement de l'ONU-Congo.


La voiture de mon père en cette là, 1960, modèle 1956
donnée à l'ONU après avoir servi à ramasser les morts
de la guerre de sécession rendu au CICR à Élisabethville
baseline Il faut éviter cette erreur fatale, les M-23 ne sont pas les "Vis-à-Vis" du gouvernement de la RDC, mais les compagnons du banditisme de"Joseph Kabila". Il vaut mieux dans ces conditions, même si la MONUSCO avance à pas pesant en arrière des FARDC, tolérer les Casques bleus avec amertume plutôt que d'aller chercher l'armée de l'hideux Museveni qui traite des Congolais comme le peuple le plus imbécile du monde. Réfléchissons sur la nature du pays que nous voulons bâtir et questionnons-nous. Source : Djamba Yohé dans "Conférence de Kampala, une farce chez un cannibale" le 7 décembre 2012.
J'avais huit sept ans à Élisabethville quand j'ai assisté à une menace analogue de paix dans la Capitale congolaise du cuivre. Les soldats de l'armée belges et les troupes du Katanga occupaient l'aéroport avec l'intention de la garder pour de bon. Or, après les "Accords signés aux Nations-Unies" par Lumumba pour l'envoi des Casques Bleus au Congo, envahi d'une part par les troupes belges et obstrué d'autre part par la Gendarmerie Katangaise, il fut difficile à ce que les soldats de l'ONU arrivent au Katanga et s'y installent. Dans l'entre-temps, pour refuser toute surprise désagréable, celle de voir poser les avions de l'ONU se poser sur la piste de l'aérodrome à l'improviste, le gouvernement Katangais avait donné l'ordre d'obstruer la plaine d'aviation. Il y avait sur la piste d'atterrissage des tonneaux, des pneus en mauvais état et toutes sortes d'obstacle devant empêcher l'atterrissage d'un avion qui n'a pas l'autorisation de la régie des voies aériennes de la place.
Pour faire évoluer la situation dans le sens de prendre le contrôle de l'aéroport, le Conseil de Sécurité de l'ONU avait décidé à l'unanimité, le 8 août 1960 à ce que les troupes de l'ONU entrent au Katanga. Cette décision n'était pas facilité pour être exécutée, mais à l'ONU on devina un autre scénario. C'est le Secrétaire Général, "Monsieur Dag Hammarskjöld" qui décide de venir au Congo en passant par Léopoldville pour se rendre à Élisabethville. Ce fut un stratagème, car le Katanga n'aurait jamais pu refuser à cette personnalité-là d'atterrir dans sa capitale. Mr Ralph Bunch, américain, représentant des nations-Unies au Congo, fit des représentations pour avertir les autorités katangaises à ne pas empêcher le Secrétaire Général de l'ONU à prendre pied sur sol d'Élisabethville. Aussitôt que l'avion de ce dernier fut signalé dans le ciel de l'aéroport, les voies d'entrée furent ouverte pour que l'aéronef atterrisse sans problème, c'était le 13 août 1960.
Or, dans cet atterrissage, "Dag Hammarskjöld" avait tout un plan de guerre qui ne pouvait pas échouer. Je veux dire le plan B. Dès que son avion se posa, son escorte composée des soldats suédois de l'ONU avertit la tour de contrôle de la Luano, nom de la plaine d'aviation de Lubumbashi, que ce n'était pas un seul avion qui atterrissait, mais bien une série d'avions avec à leur bord, le soldats de l'ONU venu s'installer au Katanga. La garde belge et katangaise de l'aéroport fut surprise et ne fit rien pour empêcher ces avions de descendre du ciel. Dès lors, on vit sortir plusieurs militaires habillés en Casques Bleus. Et quelques instants plus tard, la troupe de l'ONU était maître sur le terrain. Les soldats belges et "les Gendarmes Katangais" comprirent qu'ils devaient se plier et on quitté l'aéroport pour de bon. Désormais, c'est l'ONU qui devint maître des lieux jusqu'à la fin de la Sécession Katangaise. Le même jour, quand "Dag Hammarskjöld" partira de là, la mort va le surprendre à la frontière du Katanga et la Rhodésie du Nord. Les spécialistes ont cru que c'était-là la vengeance du Katanga et des mercenaires belges.
Moïse Tschombé avec Dag Hammarskjöld et à droite remise de l'aéroport aux soldats
de l'ONU qui l'occuperont sans relâche jusqu'en 1963, la fin de la Sécession Katangaise
(Source : photos des anciens Combattants belges ayant vécu au Katanga, en 1960)
baselinebaseline Tout compte fait, l'ONU a fait preuve d'une maturité de sauvegarde des lieux stratégique dans un pays en guerre. La même logique se représente avec les mêmes paramètres aujourd'hui à Goma. Cette histoire-là, je l'ai vécu en direct parce que j'accompagnais mon père dans le cadre d'une éducation spéciale que je recevais de lui sur l'étude du milieu. Mon père conduisait la voiture dont j'affiche la photo, c'était une "Plymouth" du modèle de 1956, il était chef de Police au Katanga.
Et aujourd'hui, je m'en souviens comme hier. C'est cette raison-là qui m'oblige à vous communiquer, "Monsieur Roger Meece" de ne pas commettre l'imprudence du Général canadien "Roméo Dallaire" à Kigali avec la MINUAR. Celui-ci a laissé une partie de l'aéroport de Kigali au FPR. Il advint d'abord l'attentat de l'avion du Général Habyarimana, puis il éclata une guerre aussitôt après, le 6 avril 1994. On peut tout démentir, mais la responsabilité de l'ONU est bel et bien engagé dans le "génocide rwando-rwandais". En RDC, Paul Kagamé, manipulateur suprême, et Yoweri Museveni, mangeur d'hommes, sont décidés à faire échouer la mission de la MOUNUSCO qui passe à nos yeux, nous Congolais, comme une participation à l'intrigue de l'hypothèque du Congo vers son démembrement. Kagamé et Museveni n'étant que des agents commis à cette conspiration.
Car, qu'on le veuille ou non, la MONUC, la MONUSCO, le Conseil de sécurité et l'ONU, elle-même, n'ont vraiment jamais donné la preuve d'être venu en RDC pour sauver les Congolais. Le budget de la MONUSCO de "un Milliard" est une somme que les "Col blanc" de l'ONU en mission en RDC se partagent sans donner des explication à la nation congolaise. Le sort des Congolais, quant à lui, est sous l'épée de Damoclès qui vient le visiter en agissant avec la pointe de son estocade aiguisée au Rwanda, en Ouganda et de temps en temps du Burundi. C'est cruel cette mission entendue sous cette perspective-là.
En ce qui concerne la "Force neutre", je vous rappelle, comme vous le savez qu'il n'y a dans le monde, au niveau des interventions pour la paix dans les Nations, que l'ONU. Toute autre forme qui se constitue pour faire comme elle avec ses "Casques bleus", cette force-là n'est pas neutre, c'est une convention sectaire de circonstance. Partant, si l'ONU qui a le mandat de sécuriser les Congolais confie aux pays africains ce rôle, elle ment et met dans l'insécurité les Congolais qui attendent beaucoup de sa capacité de protéger dans la neutralité, même si cela n'est pas encore évident en RDC. Il est faux de faire croire aux Congolais que "les Tanzaniens, les Sud-Africains" sont neutres. Les Tanzaniens n'aiment pas les Congolais, ils viendront tuer en RDC pour se venger de la défaite que les Forces Armées Zaïroises leur avait infligée avec des "avions Mirages" dans ce qui s'entend comme "Opération Moba 1" et "Moba 2". Faire venir le soldats de la Tanzanie, c'est récréer une occasion pour ces militaires de se venger de leur défaite à plate-couture sur le Lac Tanganyka et à l'intérieur de leur territoire à l'époque de "Julius Nyerere", en 1974.
Les Sud-Africains ne sont pas neutres non plus, car "Jacob Zuma" est en conflit d'intérêt avec la RDC. Au cours des élections présidentielles de l'année dernière, ce Président a dépêché à Kinshasa des urnes déjà bourrées pour faire gagner "Joseph Kabila". Par ailleurs, les contingents sud-africains de la MONUC sont ceux qui ont le plus fait le "Déshonneur des Casques Bleus". La MONUSCO connaît cette histoire. Pourquoi appeler cette sorte des militaire à la braguette facile pour "Force Neutre" quand leur sexe ne sont pas retenus par la neutralité obligeant leur libido à calmer ses ardeurs à la fermeté érectile ?
Je vous prie de ne pas cautionner la remise de l'aéroport au M-23 ni aux Force dites neutres, l'ONU, par la MONUSCO va préparer une autre tragédie qui va déboucher à la guerre. Paul Kagamé, Yoweri Museveni sont des psychopathes. À ces gens-là, on ne met jamais la puissance de feu entre leurs mains. L'action de méfaits que Kagamé va opérer en recevant par le M-23 et les soldats infiltrés du Front Patriotique rwandais dans les FARDC, ce sera d'assassiner les militaires de la MONUSCO pour imputer ce crime au soldats congolais. Il faut s'assagir contre les crimes de Paul Kagamé et éviter ce qui a été fait aux Paracommandos belges de la MINUAR. L'histoire dit-on se répète, mais on peut empêcher sa répétition quand on s'oblige à faire la revue de ses imprévus par des analogies de l'étude de l'environnement de guerre.
De toutes les façons, pour vous redire ce que je viens de développer d'une autre façon, je vous préviens de ne pas trop vous laisser prendre au jeu de Paul Kagamé qui nie tout en bloc des crimes qu'il a commis et que tout le monde voit. L'envergure que ses mentors lui ont donné l'on gonflé au point de devenir un boulet des contraintes ses parrains. En effet, l'étendue de de contrôle dont jouit Paul Kagamé sur la RDC et la tutelle qu'il exerce sur Joseph Kabila sont d'une densité qu'il faille interroger ceux dont il se réclame l'ami. Les Etats-Unis et la Grande Bretagne passe dans toute l'Afrique pour des galerie du pouvoir singulier de Paul Kagamé comme si leurs puissances étaient un héritage de sa famille et de ses crimes au Congo. En tout cas, Kagamé invoque les États-Unis et la Grande Bretagne comme étant ses familiers et comme centre de sa puissance personnelle.
Un chef de l'État étranger, fut-il des USA, malgré l'incidence de leur leadership, ne peut pas diriger un autre État souverain et indépendant comme sa propriété, il y a le droit international qui interdit cette sorte d'inférence-ingérence qui dérange tous les principes de d'altérité et de respect de des champ d'action et de compétence des autres. Il en va de même de l'observance des Alliances signées comme gage de coopération entre deux États amis. Or, dans la tragédie congolaise et dans l'écran de visualisation des relations entre le Rwanda, Washington et Londres, sinon les Nations-Unies, Paul Kagamé paraît avoir dompté le gouvernement américain et britannique. Autrement dit, l'édifice socio-politique du Commonwealth passe pour un instrument du règne de Kagamé sur l'Afrique centrale et les Grands-Lacs. Et comme, il sent qu'il est craint et dispose d'un argument contre le génocide, Paul Kagamé dispose d'une impédance qui balise les pouvoir de tout le monde sous sa plate-forme. Il est maintenant cet Africain qui est co-propriétaire du bloc anglo-américain de la planète. En tout cas, il faut que l'on y pense à Washington et à Londres, sinon à la MONUSCO.
Je vous remercie, Monsieur Roger Meece de me lire avec attention. Si vous êtes catholique, je vous souhaite une bonne fête de l'"Immaculée Conception", car c'est aujourd'hui, le 8 décembre, la date universelle du Couronnement de la Vierge par la reconnaissance de sa préservation contre le péché originelle.
Djamba Yohé,
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique Nord,
Ottawa, le 8 décembre 2012,
Canada.

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