vendredi 21 septembre 2012

RDC: L'ESPAGNE EST À NOS CÔTÉS DEPUIS 2008



Le Commandant espagnol de la MONUC, le Général Vicente Diaz de Villegas a démissionné parce que Paul Kagamé l'a menacé de mort. En effet, celui-ci voyait en lui un agent rapproché du "Juge Baltazar Garzon" qui a inculpé le Président Rwandais de crime de guerre et de crime contre l'humanité tout en le poursuivant pour la mort des religieux de son pays tués au Rwanda mystérieusement. L'ONU sait pertinemment bien pourquoi ce Général de haute facture militaire est parti. Loin d'être une question de l'insuffisance des équipements, la MONUC n'a pas non plus aimé cet homme à cause de ses implications dans divers trafics au Congo par ses membres, tant du corps des Forces armées que du personnel civil. Le départ du Général Vicente Diaz de Villegas Officier de prestige est un bon débarras pour la MONUC et pour Kigali. La rébellion au Congo peut finir très vite, l'ONU a freiné la guerre des Six jours et celle du Yom Kippour, elle a croisé les fers avec les Gendarmes katangais. La vérité dans tout ça, c'est le manque de volonté d'en finir avec l'agression rwando-ougandais qui paie les compagnies multinationales du G-8, c'est tout.

L'ONU sait que ces hommes des Forces Spéciales du Rwanda

nous tuent, mais elle s'en fout. Accusons l'ONU à la TPI/CPI

Nous, Congolais, devons constamment relire l'histoire de notre pays et le rôle qu'il a joué dans le monde. Il s'agit de connaître son importance dans les grandes dates d'ancrage de l'histoire universelle. Mon idée là-dessus n'est pas de faire lire à mes compatriotes d'innombrables pages d'encyclopédies, mais de se situer aux carrefours majeurs des transitions qui ont marqué la marche du temps dans notre existence négro-africaine et du genre humain tout court. Sur ce point, je n'aurai que l'époque de la Renaissance pour susciter la curiosité de la plupart d'entre-nous, Congolais, car cette époque est riche en renseignement de notre actualité. Certes, la Renaissance est arrivée un siècle après le passage de Diego Câo au Royaume Kongo, il n'en est pas moins vrai que c'est-à-partir de la rencontre avec cet portugais que l'on ne peut plus nier notre rôle dans la politique internationale et de l'Église à Rome. Cela signifie que nous sommes parmi ces peuples à qui l'on ne peut nier la voix au chapitre des décisions qui changent l'Afrique et qui signalent le Continent noir dans les grands forums, car qu'on le veuille ou non, nous savons de quoi nous allons dire et faire étant donné que nous possédons l'expertise de notre passé.

À partir de la Renaissance, au moment où l'Europe déménage une partie de sa population vers les Amériques, nous ne sommes pas absents, nous sommes là, mais notre condition de voyageur est renversée par le scandale de notre mise en cale comme esclaves. C'est cette répétition là que les Occidentaux ont tenté de refaire au début de la décennie '90 avec la mise à feu de l'Afrique et particulièrement là où les richesses minières et les essences forestières sont pléthores. Disons à l'ONU notre désarroi au monde entier qui est râle-le-bol. Moi, je m'exprime déjà ainsi à notre propre corps défendant :

"Nous devons contester la tendance de prendre toujours à partie les Congolais, car c'est sur eux que l'on dépose les accusations de toutes les fautes, à savoir les viols commis par les autres. Bien plus, il s'ajoute à cela les exactions et les désordres d'origine étrangère provoqués par Laurent Nkundabatuare et, aujourd'hui le M-23, par des coups de feu qu'ils tirent sur Goma et ses environs".
C'est n'est pas normal que nous soyons toujours ce peuple que l'on renvoie à faire ses devoirs en exagérant les exigences pour nous qualifier à la justice à laquelle nous avons droit parce que c'Est nous qui sommes agressés sans répit. Refusons la reconduite de l'amnistie accordée automatiquement aux bandits qui massacrent en RDC à chaque dérive meurtrière du Rwanda en sol congolais. Par l'histoire la relecture de l'histoire, mes chers compatriotes, nous nous placerons en situation de rappeler aux États-Unis, à l'Europe occidentale, au Commonwealth et au monde entier que c'est le Congo qui fut le nerf de la victoire des Alliés et le chantier de la reconstruction de l'Europe tout en étant la matrice de la gestation des Nations-Unies. Le monde entier par le Congo a pu trouver les ressources qu'il avait besoin pour se remettre en santé économique après 1914 et 1945.

L'Association des malfaiteurs au grand complet contre la RDC

L'ONU, l'Union Européenne, la super-puissance des États-Unis d'aujourd'hui résultent toute de la santé économique et financière de l'implication congolaise dans la restauration de leur ordre dirigeant. Nous, Congolais, ne méritons pas que notre nature et notre intégrité physiques soient persécutées uniquement parce qu'on nous considère comme les obstacles à l'érection d'une prospérité malhonnête que les puissances et leurs mercenaires veulent réaliser à tout prix en décidant de notre destruction. Nous avons, pour tous les préjudices subies, le devoir d'assigner la Maison Blanche de l'Administration Clinton au Congrès des États-Unis et qu'en conséquence logique à toutes les souffrances infra-humaines nous infligées par l'entremetteur de nos peines, le président rwandais, Paul Kagamé, l'Exécutif de cette Nation s'excuse pour le martyr que ses dirigeants nous ont imposés.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire