Un rebelle du M23 dans la zone de
Bunagana le 21 juillet 2012.
REUTERS/James
Akena
Un rebelle du M23 dans la zone de
Bunagana le 21 juillet 2012.
REUTERS/James
Akena
Les présidents du Rwanda et de RDC, Paul Kagamé et Joseph Kabila se sont tous les deux exprimés à la tribune de l’ONU ce mardi 25 septembre 2012. Mais chacun a évité de parler du conflit qui les divise au Kivu.
Avec notre correspondant à New York, Karim
Lebhour
On attendait une passe d’armes sur la question du Kivu à la tribune de l’ONU entre les présidents Paul Kagamé et Joseph Kabila, mais les deux hommes ont soigneusement évité de s’adresser l’un à l’autre.
Le président rwandais s’est contenté d’un discours très général sur la résolution des conflits. Paul Kagamé n’a pas évoqué la situation au Congo, ni les relations tendues avec l’ONU après le rapport d’experts qui accuse Kigali de soutenir les rebelles du M23.
Joseph Kabila de son côté a parlé des «ennemis de la paix» et de leurs «soutiens extérieurs» qui agissent au Kivu, mais il s’est bien gardé de prononcer le nom du Rwanda.
Paul Kagamé et Joseph Kabila se verront jeudi pour un mini-sommet sur la RDC à l’initiative de Ban Ki-moon. Le secrétaire général veut profiter de la présence des deux présidents à New York pour les faire s’asseoir à la même table et dialoguer.
On attendait une passe d’armes sur la question du Kivu à la tribune de l’ONU entre les présidents Paul Kagamé et Joseph Kabila, mais les deux hommes ont soigneusement évité de s’adresser l’un à l’autre.
Le président rwandais s’est contenté d’un discours très général sur la résolution des conflits. Paul Kagamé n’a pas évoqué la situation au Congo, ni les relations tendues avec l’ONU après le rapport d’experts qui accuse Kigali de soutenir les rebelles du M23.
Joseph Kabila de son côté a parlé des «ennemis de la paix» et de leurs «soutiens extérieurs» qui agissent au Kivu, mais il s’est bien gardé de prononcer le nom du Rwanda.
Paul Kagamé et Joseph Kabila se verront jeudi pour un mini-sommet sur la RDC à l’initiative de Ban Ki-moon. Le secrétaire général veut profiter de la présence des deux présidents à New York pour les faire s’asseoir à la même table et dialoguer.
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