C’est ce qu’a annoncé le porte-parole du Premier ministre. Le dispositif n’a toutefois pas réussi à empêcher l’entartrage «frites-mayo» de Charles Michel lundi lors de son intervention au Cercle de Wallonie à Namur.
«Une évaluation va être menée en interne afin de déterminer si les mesures de sécurité ne doivent pas être encore plus intenses», a souligné le porte-parole.
Ce dernier n’a pas souhaité détailler la nature des menaces de mort qui ont été adressées au Premier ministre. Il a juste expliqué qu’il ne s’agissait pas de courrier contenant des balles, contrairement à ce qu’avaient avancé certains sites.
Selon lui, l’agenda de Charles Michel n’a pas été modifié à cause de ces menaces.