La question des Banyamulenge est un phénomène politique né depuis Bisengimana Rwema ancien directeur du cabinet du Maréchal Mobutu.
Cette question n'est pas maîtrisée à l'Ouest de la RDC. Elle concerne les Kivutiens et ceux de la Province Orientale.
A l'Est de la RDC, sont des victimes de cette question Banyamulenge et maîtrisent bien cette fausse création. Cette question trouvera la solution pas avec Kabila mais à la chute des régimes Kagame et Kabila.
c'est à ce moment qu'Une justice obligatoire tant demandée sera possible pour toutes les massacres et tueries perpétrées par ces tusti en RDC.
Ces réfugiée Rwandais de 1959 et 1961 qui fuyaient les guerres tribales entre Hutu-Tusti. Selon la loi congolaise ils restent jusqu'à ce jour des réfugiés rwandais comme ceux de 1994 et ceux du Burundi.
Ils doivent régulariser leur situation légale en RDC sans tarder. Ils ont été bien accueillis par les autochtones mais n'ont pas été reconnaissant.
La justice sera un préalable pour leur intégration, pour ceux qui ont participer aux rébellion, aux tueries massacres...
Kinshasa, 30/06/2004 / Politique
Les banyamulenge qui se trouvent à Minembwe rejettent le prétexte de génocide utilisé par le Rwanda de Kagame pour attaquer et occuper le territoire Est de la Rd.Congo
La communauté banyamulenge de Minembwe dans le Sud Kivu accuse le président Rwandais Paul Kagame de se servir du prétexte de leur génocide pour justifier la présence rwandaise en Rdc et piller les richesses de ce pays, ont fait remarquer à Kinshasa, les membres de la Commission Vérité et Réconciliation, lors de la restitution de leur séjour ŕ Minembwe.
Selon les membres de cette commission, les Banyamulenge ont fait cette révélation devant la délégation de la Commission Vérité et Réconciliation (Cvr) qui a séjourné dans cette localité du 21 au 22 juin 2004.
Dans un documentaire que vient de réaliser cette institution citoyenne de la transition et qui a été projeté dans le cadre de la restitution de sa mission le mardi 29 juin au Grand Hôtel Kinshasa, ils affirment qu’il n’y a pas de conflit entre les principales ethnies de cette contrée.
Les Banyamulenge, les Babembe, les Bavira, les Bafiiru, les Bashi, les Bayindu, les Barega, les Babangubangu sont en parfaite harmonie, disent-ils.
Cette séance de restitution était présidée par Mgr Dr Jean-Luc Kuye Ndondo Wa Mulemera qui a conduit personnellement cette délégation. Elle a connu la participation d’autres dirigeants et membres des institutions citoyennes de la transition, de la société civile, des ambassadeurs des pays accrédités en Rdc ainsi que des représentants de la Monuc.
La Haute Autorité des Médias (Ham), la Commission Electorale Indépendante(Cei), la Commission d’Ethique ont été respectivement représentées par leurs présidents MM Modeste Mutinga, Mbadu wa Mbadu et M. l’abbé Malu Malu.
Les Banyamulenge de Minembwe se désolidarisent du Général Nkundabatware et du Colonel Jules Mutebusi car, disent-ils «l’affaire de ces deux individus ne concerne pas toute la communauté banyamulenge parce qu’ils sont en train de servir la cause des puissances étrangčres notamment du Rwanda ». Ils accusent le Rcd d’acheter les consciences de certains banyamulenge pour servir ses intérêts.
Selon le président de la Cvr, le Commandant Pacifique Masunzu affirme que « ceux qui font la guerre contre la nation en brandissant le nom des Banyamulenge roulent pour les pays voisins et non pour quelqu’un d’autre et moins encore pour les Banyamulenge ».
C’est pourquoi, en tant que nationalistes, les membres de cette communauté, ont pris les armes avec en tęte le Commandant Masunzu, par le biais des Forces de résistance congolaises (Frc), pour combattre aux côtés des Forces armées de la Rdc (Fardc) afin de chasser les insurgés de Bukavu, Kamanyola, Uvira et de la Ruzizi.
Ils indiquent en outre que sur instigation du président Paul Kagame, les soldats de l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) ont à plusieurs reprises attenté à la vie du Commandant Masunzu. Ce dernier a expliqué que l’Apr s’était déployée en 2002 ŕ Minembwe pour attaquer ses troupes parce qu’il a refusé de se rallier ŕ l’idéologie des pays voisins. Il y a eu plusieurs dégâts : morts d’hommes, pillages, vols et viols.
Il ajoute que des avions de l’Apr atterrissaient chaque jour à Minembwe pour transporter les biens volés à la population.
Affirmant leur attachement à la paix, les Banyamulenge demandent au gouvernement de leur apporter le soutien car, disent ils, ils ont été plusieurs fois la cible privilégiée des pays voisins qui ont perpétré des pillages et des viols.
Par ailleurs se disant Congolais à part entière, ils réaffirment leur soutien aux institutions qui sont mises en place à Kinshasa.
La délégation de la Cvr s’est rendue à Minembwe suite à la situation qui a prévalu récemment ŕ Bukavu et qui a été caractérisée par de graves violations des droits de l’homme.
Et cette mission s’inscrivait dans le cadre du renforcement de la réalisation de la cohabitation pacifique dans cette partie de la Rdc.
Last edited: 07/05/2006 01:05:05
Selon les membres de cette commission, les Banyamulenge ont fait cette révélation devant la délégation de la Commission Vérité et Réconciliation (Cvr) qui a séjourné dans cette localité du 21 au 22 juin 2004.
Dans un documentaire que vient de réaliser cette institution citoyenne de la transition et qui a été projeté dans le cadre de la restitution de sa mission le mardi 29 juin au Grand Hôtel Kinshasa, ils affirment qu’il n’y a pas de conflit entre les principales ethnies de cette contrée.
Les Banyamulenge, les Babembe, les Bavira, les Bafiiru, les Bashi, les Bayindu, les Barega, les Babangubangu sont en parfaite harmonie, disent-ils.
Cette séance de restitution était présidée par Mgr Dr Jean-Luc Kuye Ndondo Wa Mulemera qui a conduit personnellement cette délégation. Elle a connu la participation d’autres dirigeants et membres des institutions citoyennes de la transition, de la société civile, des ambassadeurs des pays accrédités en Rdc ainsi que des représentants de la Monuc.
La Haute Autorité des Médias (Ham), la Commission Electorale Indépendante(Cei), la Commission d’Ethique ont été respectivement représentées par leurs présidents MM Modeste Mutinga, Mbadu wa Mbadu et M. l’abbé Malu Malu.
Les Banyamulenge de Minembwe se désolidarisent du Général Nkundabatware et du Colonel Jules Mutebusi car, disent-ils «l’affaire de ces deux individus ne concerne pas toute la communauté banyamulenge parce qu’ils sont en train de servir la cause des puissances étrangčres notamment du Rwanda ». Ils accusent le Rcd d’acheter les consciences de certains banyamulenge pour servir ses intérêts.
Selon le président de la Cvr, le Commandant Pacifique Masunzu affirme que « ceux qui font la guerre contre la nation en brandissant le nom des Banyamulenge roulent pour les pays voisins et non pour quelqu’un d’autre et moins encore pour les Banyamulenge ».
C’est pourquoi, en tant que nationalistes, les membres de cette communauté, ont pris les armes avec en tęte le Commandant Masunzu, par le biais des Forces de résistance congolaises (Frc), pour combattre aux côtés des Forces armées de la Rdc (Fardc) afin de chasser les insurgés de Bukavu, Kamanyola, Uvira et de la Ruzizi.
Ils indiquent en outre que sur instigation du président Paul Kagame, les soldats de l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) ont à plusieurs reprises attenté à la vie du Commandant Masunzu. Ce dernier a expliqué que l’Apr s’était déployée en 2002 ŕ Minembwe pour attaquer ses troupes parce qu’il a refusé de se rallier ŕ l’idéologie des pays voisins. Il y a eu plusieurs dégâts : morts d’hommes, pillages, vols et viols.
Il ajoute que des avions de l’Apr atterrissaient chaque jour à Minembwe pour transporter les biens volés à la population.
Affirmant leur attachement à la paix, les Banyamulenge demandent au gouvernement de leur apporter le soutien car, disent ils, ils ont été plusieurs fois la cible privilégiée des pays voisins qui ont perpétré des pillages et des viols.
Par ailleurs se disant Congolais à part entière, ils réaffirment leur soutien aux institutions qui sont mises en place à Kinshasa.
La délégation de la Cvr s’est rendue à Minembwe suite à la situation qui a prévalu récemment ŕ Bukavu et qui a été caractérisée par de graves violations des droits de l’homme.
Et cette mission s’inscrivait dans le cadre du renforcement de la réalisation de la cohabitation pacifique dans cette partie de la Rdc.
L'affaire de Banyamurenge est un faux pretexte, une histoire fabriquée de toutes pièces. La comm banyamurenge n'existe pas en RDC, c'est une fabrication qui prendra fin avec la fin de Kagame et kabila
RépondreSupprimerLes réfugies tusti de la guerre rwandaise de 1959 et 1961 qui se trouvent dans les Kivu et en Prov.Orientale... doivent choisir soit de respecter la loi d'intégration en RDC en respectant les autochtones acceptant leur statut des réfugiés et en faisant leurs demandes de nationalité individualisée, soit le retour chez Kagame au Rwanda
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