Le complexe gazier d'In Amenas est situé dans le sud-est algérien, à environ 100 km de la frontière libyenne.
Reuters/Kjetil Alsvik/Statoil via Scanpix
Mercredi 16 janvier au matin, un commando islamiste d'une vingtaine d'hommes s'introduit dans le vaste complexe gazier d'In Amenas, dans le sud-est algérien. Une quarantaine d'employés occidentaux, et au moins 150 Algériens, sont retenus en otages sur le site, encerclé par l'armée algérienne. Les ravisseurs, qui se revendiquent de l'ex-membre d'Aqmi Mokhtar Belmokhtar, demandent aux militaires de quitter la zone. Ils exigent notamment « la fin de l'agression française au Mali ». Ce jeudi, l'Algérie a mené une opération militaire d'envergure. Une partie du site a été maîtrisée il y aurait de nombreux morts.
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23h59 : Les pays dont des ressortissants ont été pris en otage avec des centaines de locaux redoutent un bilan très lourd de l'assaut des forces algériennes contre le commando islamiste. Aucun bilan officiel n’a filtré. Les informations sont toujours parcellaires, l'opération n'est pas encore terminée.
23h48 : Washington n’avait pas été mis au courant à l'avance de l'opération militaire algérienne contre le site gazier.
23h40 : Tokyo annonce que trois otages japonais retenus par les islamistes sur le site avaient été mis « en sûreté », et que 14 autres étaient toujours portés manquants.
23h15 : Le ministre des Affaires étrangères italien Giulio Terzi condamne un « ignoble acte de terrorisme » en Algérie et confirme son engagement à combattre « toute forme d'extrémisme et de violence ».
22h25 : L’agence officielle APS rapporte que les forces de sécurité encerclent toujours l'usine du complexe gazier. L’assaut de l’armée n'a permis que de maîtriser une partie du site. Seul le lieu où vivaient les travailleurs et où se trouvait la majorité des otages, est neutralisé, précise-t-elle.
22h10 : Trente otages, dont au moins sept ressortissants étrangers ont été tués lors de l'assaut donné par l'armée algérienne, annonce une source de la sécurité algérienne. Huit Algériens, deux Japonais, deux Britanniques et un Français figureraient parmi les otages tués
21h50 : La réaction militaire algérienne a été rapide, sans concertation avec les pays concernés par les otages étrangers présents sur le site. L'invité de RFI ce jeudi soir, Kamel Daoud, éditorialiste du Quotidien d’Oran, parle « d'amateurisme » de la part des autorités. En revanche, cette prise totale est selon lui un succès médiatique pour Mokhtar Belmokhtar et son groupe.
Kamel Daoud parle également de la « crainte d'un retour du terrorisme sur le sol algérien » après les années de plomb. Pour lui, les Algériens vivent la situation dans une très grande solitude puisqu’il n’y a aucune information.
21h00 : Le groupe d'islamistes qui a attaqué le site gazier d’In Amenas venait de Libye, annonce le ministre de l'Intérieur algérien Dahou Ould Kablia
20h05 : Notre correspondante à Alger donne les dernières informations dont elle dispose sur l’antenne de RFI : l’assaut donné par les forces spéciales de l'armée algérienne contre les preneurs d'otages est terminé, a annoncé le ministre algérien de la Communication. Il y a des victimes, à la fois chez les jihadistes et chez les otages. Le ministre de la Défense annoncera le nombre de victimes plus tard dans la soirée. Des sources concordantes laissent entendre que le bilan est important. On sait pour l’instant que 600 travailleurs algériens et quatre étrangers ont été mis en sécurité et que 30 travailleurs algériens avaient réussi à s’échapper plus tôt dans la journée.
19h47 : l’agence algérienne APS annonce la fin de l’opération spéciale des forces de sécurité algériennes sur le site gazier.
19h15 : Ci-dessous, le témoignage d'un employé algérien du site gazier, qui a pu partir mercredi. Il a été relâché avec d'autres par les terroristes et a souhaité garder l'anonymat. RFI a pu le joindre ce jeudi soir. Il raconte d'abord comment les choses ont commencé mercredi à l'aube.
18h 35 : Notre correspondante en Algérie, Leila Beratto, fait le point sur la situation, en direct sur l’antenne de RFI : On ne sait toujours pas combien il y a de morts et de blessés. On sait que 600 travailleurs algériens et 4 otages étrangers ont été libérés - deux Britanniques, un Kenyan et un Français - pendant l'assaut. Des échanges de tirs ont eu lieu, des hélicoptères ont bombardé un convoi de voitures.
18h08 : L’opération militaire est toujours en cours, a annoncé jeudi soir à la télévision le ministre algérien de la Communication Mohamed Saïd.
17h55 : Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a exprimé « sa profonde préoccupation » sur le déroulement de l'opération militaire et a appelé Alger à cesser immédiatement son action.
17h30 : La prise d'otages en Algérie « semble se dénouer dans des conditions dramatiques », a déclaré François Hollande ce jeudi en fin d'après-midi devant des responsables économiques et sociaux réunis à l'Elysée. Il a précisé que les autorités algériennes l'informaient régulièrement de la situation et a réaffirmé ne rien regretter de l'engagement de la France au Mali.
17h18 : Selon la chaîne d’information saoudienne Al-Arabiya, l’assaut du site gazier est terminé. Les officiels algériens s’exprimeront à 19h, heure locale.
16h00 : Londres regrette de ne pas avoir été informé au préalable par l’Algérie de l'intervention militaire sur le site gazier et d’assister impuissant au dénouement brutal de cette prise d’otages. Une fois l'opération lancée, le Premier ministre britannique David Cameron a exprimé à son homologue Abdelmalek Sellal son extrême préoccupation face à cette situation « très grave et sérieuse ». Londres avait proposé mercredi d’apporter son soutien pour dénouer la crise, une offre refusée par Alger. Les autorités britanniques avaient également souhaité que des négociations puissent être maintenues aussi longtemps que possible. Au lieu de cela, une intervention armée a été décidée et menée à peine 24 heures après la prise d’otages.
15h14 : L’APS annonce la libération par l’armée de 600 otages algériens.
15h00 : Notre correspondante en Algérie, Leila Beratto, fait le point sur la situation en direct sur l’antenne de RFI :
« La seule chose dont nous sommes sûrs, c’est que les Algériens ont rompu les négociations avec les ravisseurs. En début d’après-midi, l’armée algérienne a bombardé une colonne de véhicules des ravisseurs qui tentaient de s’échapper d'In Amenas, c’était la quatrième tentative de fuite des preneurs d’otages. Ils tentaient d’emmener avec eux cinq otages mais ont été repoussés. L’Algérie était d’accord pour négocier avec les ravisseurs à condition que ceux-ci ne touchent pas aux otages, qu'ils les laissent dans la base. Ils pouvaient à cette condition quitter le pays. Mais comme ils ne l’ont pas respectée, les négociations ont été rompues ».
14h50 : Dans un communiqué, BP affirme évacuer d’Algérie une partie de ses travailleurs non essentiels.
14h27 : Dans un tweet, Leila Beratto affirme que quatre otages étrangers auraient été libérés sur le site de In Amenas. Et selon l’Agence de presse (APS) officielle algérienne il y aurait deux Britanniques, un Kenyan et un Français. Dublin confirme pour sa part la libération d’un de ses ressortissants.
14h24 : Après Londres, la France et la Norvège confirment qu’une opération est en cours en Algérie.
14h18 : Selon notre correspondante en Algérie, Leila Beratto, les ressortissants étrangers seraient évacués des plateformes pétrolières dans la région de In Amenas.
14h15 : La situation reste confuse sur le site de la prise d’otage alors que l’armée algérienne mène actuellement une opération militaire. Selon l’agence ANI, un ravisseur affirme détenir encore au moins deux Américains, trois Belges, un Japonais et un Britannique.
13h58 : Selon une source algérienne citée par l’agence Reuters, 180 otages algériens auraient réussi à s’enfuir alors que des personnes seraient toujours détenues sur le site.
13h49 : Le Royaume-Uni confirme qu'une opération de l'armée algérienne est en cours sur le site de la prise d'otages.
13h30 : Notre correspondante à Alger indique que l'armée algérienne a bombardé une colonne de véhicules qui tentait de s'échapper du site.
13h15 : Selon l'ANI, l'agence de presse mauritanienne qui publie les communiqués des preneurs d'otages, l'assaut de l'armée algérienne aurait causé la mort d'une trentaine d'otages et de 15 ravisseurs.
13h : Parmi les 41 ressortissants occidentaux retenus prisonniers, 25 se sont évadés, selon des sources proches des services de sécurités algériens (agence Reuters). Il y aurait deux Japonais parmi eux. Le groupe de captifs compte des Français, un Irlandais, un Autrichien, 13 Novégiens et des Japonais.
12h30 : Le groupe d'otages algériens qui s'est échappé a été récupéré par des hélicoptères de l'armée algérienne qui survolent la base d'In Amenas, rapporte notre correspondante à Alger Leila Berrato. Des coups de feu et des bombardements auraient eu lieu, faisant des blessés, sans qu'aucune de ces informations ne puisse être vérifiées. Ces dires proviennent soit de médias algériens qui ne citent pas leurs sources, soit de l'agence mauritanienne citée plus bas, qui relaie les communiqués des ravisseurs.
12h10 : « Il y a des Français sur ce site » gazier, confirme François Hollande. Mais « la situation est confuse et je suis en contact avec les autorités algériennes pour que l'issue la meilleure puisse être trouvée », rappelle le chef de l'Etat lors d'une conférence de presse à l'Elysée, aux côtés du Premier ministre portugais Pedro Coelho. L'extrême prudence prévaut à l'Elysée.
12h : Des hélicoptères de l'armée algérienne seraient en train de pilonner le site, selon un communiqué de la brigade de Mokhtar Belmokhtar, publié il y a un peu plus d'une heure sur le site Agence Nouakchott d'Information (ANI). Ces bombardements auraient blessés deux otages japonais. Les ravisseurs menacent de tuer les otages si l'armée algérienne refuse de se retirer. Le ministre de l'Intérieur algérien, Dahou Ould Kablia, a confirmé que les forces de sécurité algérienne avaient été renforcées autour de l'entrée du site où sont retenus les otages selon lui.
10h57 : Selon des médias algériens, 15 otages étrangers, dont un couple de Français, sont parvenus à s'enfuir. Le patron de la chaîne Ennahar a indiqué à l'AFP qu'elle citait une « source officielle ». L'ambassade de France ne s'est pas prononcée et Paris n'a pas encore confirmé ou infirmé la présence de ressortissants français parmi les otages.
10h37 : Les autorités françaises ont « une confiance totale » en la capacité des autorités algériennes à résoudre la prise d'otages, a déclaré jeudi le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Depuis mercredi, plusieurs chancelleries concernées par les évènements en Algérie ont également réagi.
10h14 : Trente otages algériens, parmi les 150 présents dans la base (plusieurs centaines selon certaines sources), seraient parvenus à s'enfuir du complexe gazier d'In Amenas.
23h59 : Les pays dont des ressortissants ont été pris en otage avec des centaines de locaux redoutent un bilan très lourd de l'assaut des forces algériennes contre le commando islamiste. Aucun bilan officiel n’a filtré. Les informations sont toujours parcellaires, l'opération n'est pas encore terminée.
23h48 : Washington n’avait pas été mis au courant à l'avance de l'opération militaire algérienne contre le site gazier.
23h40 : Tokyo annonce que trois otages japonais retenus par les islamistes sur le site avaient été mis « en sûreté », et que 14 autres étaient toujours portés manquants.
23h15 : Le ministre des Affaires étrangères italien Giulio Terzi condamne un « ignoble acte de terrorisme » en Algérie et confirme son engagement à combattre « toute forme d'extrémisme et de violence ».
22h25 : L’agence officielle APS rapporte que les forces de sécurité encerclent toujours l'usine du complexe gazier. L’assaut de l’armée n'a permis que de maîtriser une partie du site. Seul le lieu où vivaient les travailleurs et où se trouvait la majorité des otages, est neutralisé, précise-t-elle.
22h10 : Trente otages, dont au moins sept ressortissants étrangers ont été tués lors de l'assaut donné par l'armée algérienne, annonce une source de la sécurité algérienne. Huit Algériens, deux Japonais, deux Britanniques et un Français figureraient parmi les otages tués
21h50 : La réaction militaire algérienne a été rapide, sans concertation avec les pays concernés par les otages étrangers présents sur le site. L'invité de RFI ce jeudi soir, Kamel Daoud, éditorialiste du Quotidien d’Oran, parle « d'amateurisme » de la part des autorités. En revanche, cette prise totale est selon lui un succès médiatique pour Mokhtar Belmokhtar et son groupe.
21h00 : Le groupe d'islamistes qui a attaqué le site gazier d’In Amenas venait de Libye, annonce le ministre de l'Intérieur algérien Dahou Ould Kablia
20h05 : Notre correspondante à Alger donne les dernières informations dont elle dispose sur l’antenne de RFI : l’assaut donné par les forces spéciales de l'armée algérienne contre les preneurs d'otages est terminé, a annoncé le ministre algérien de la Communication. Il y a des victimes, à la fois chez les jihadistes et chez les otages. Le ministre de la Défense annoncera le nombre de victimes plus tard dans la soirée. Des sources concordantes laissent entendre que le bilan est important. On sait pour l’instant que 600 travailleurs algériens et quatre étrangers ont été mis en sécurité et que 30 travailleurs algériens avaient réussi à s’échapper plus tôt dans la journée.
19h47 : l’agence algérienne APS annonce la fin de l’opération spéciale des forces de sécurité algériennes sur le site gazier.
19h15 : Ci-dessous, le témoignage d'un employé algérien du site gazier, qui a pu partir mercredi. Il a été relâché avec d'autres par les terroristes et a souhaité garder l'anonymat. RFI a pu le joindre ce jeudi soir. Il raconte d'abord comment les choses ont commencé mercredi à l'aube.
18h08 : L’opération militaire est toujours en cours, a annoncé jeudi soir à la télévision le ministre algérien de la Communication Mohamed Saïd.
17h30 : La prise d'otages en Algérie « semble se dénouer dans des conditions dramatiques », a déclaré François Hollande ce jeudi en fin d'après-midi devant des responsables économiques et sociaux réunis à l'Elysée. Il a précisé que les autorités algériennes l'informaient régulièrement de la situation et a réaffirmé ne rien regretter de l'engagement de la France au Mali.
16h00 : Londres regrette de ne pas avoir été informé au préalable par l’Algérie de l'intervention militaire sur le site gazier et d’assister impuissant au dénouement brutal de cette prise d’otages. Une fois l'opération lancée, le Premier ministre britannique David Cameron a exprimé à son homologue Abdelmalek Sellal son extrême préoccupation face à cette situation « très grave et sérieuse ». Londres avait proposé mercredi d’apporter son soutien pour dénouer la crise, une offre refusée par Alger. Les autorités britanniques avaient également souhaité que des négociations puissent être maintenues aussi longtemps que possible. Au lieu de cela, une intervention armée a été décidée et menée à peine 24 heures après la prise d’otages.
15h14 : L’APS annonce la libération par l’armée de 600 otages algériens.
15h00 : Notre correspondante en Algérie, Leila Beratto, fait le point sur la situation en direct sur l’antenne de RFI :
« La seule chose dont nous sommes sûrs, c’est que les Algériens ont rompu les négociations avec les ravisseurs. En début d’après-midi, l’armée algérienne a bombardé une colonne de véhicules des ravisseurs qui tentaient de s’échapper d'In Amenas, c’était la quatrième tentative de fuite des preneurs d’otages. Ils tentaient d’emmener avec eux cinq otages mais ont été repoussés. L’Algérie était d’accord pour négocier avec les ravisseurs à condition que ceux-ci ne touchent pas aux otages, qu'ils les laissent dans la base. Ils pouvaient à cette condition quitter le pays. Mais comme ils ne l’ont pas respectée, les négociations ont été rompues ».
14h50 : Dans un communiqué, BP affirme évacuer d’Algérie une partie de ses travailleurs non essentiels.
14h27 : Dans un tweet, Leila Beratto affirme que quatre otages étrangers auraient été libérés sur le site de In Amenas. Et selon l’Agence de presse (APS) officielle algérienne il y aurait deux Britanniques, un Kenyan et un Français. Dublin confirme pour sa part la libération d’un de ses ressortissants.
14h24 : Après Londres, la France et la Norvège confirment qu’une opération est en cours en Algérie.
14h18 : Selon notre correspondante en Algérie, Leila Beratto, les ressortissants étrangers seraient évacués des plateformes pétrolières dans la région de In Amenas.
14h15 : La situation reste confuse sur le site de la prise d’otage alors que l’armée algérienne mène actuellement une opération militaire. Selon l’agence ANI, un ravisseur affirme détenir encore au moins deux Américains, trois Belges, un Japonais et un Britannique.
13h58 : Selon une source algérienne citée par l’agence Reuters, 180 otages algériens auraient réussi à s’enfuir alors que des personnes seraient toujours détenues sur le site.
13h49 : Le Royaume-Uni confirme qu'une opération de l'armée algérienne est en cours sur le site de la prise d'otages.
13h30 : Notre correspondante à Alger indique que l'armée algérienne a bombardé une colonne de véhicules qui tentait de s'échapper du site.
13h15 : Selon l'ANI, l'agence de presse mauritanienne qui publie les communiqués des preneurs d'otages, l'assaut de l'armée algérienne aurait causé la mort d'une trentaine d'otages et de 15 ravisseurs.
13h : Parmi les 41 ressortissants occidentaux retenus prisonniers, 25 se sont évadés, selon des sources proches des services de sécurités algériens (agence Reuters). Il y aurait deux Japonais parmi eux. Le groupe de captifs compte des Français, un Irlandais, un Autrichien, 13 Novégiens et des Japonais.
12h30 : Le groupe d'otages algériens qui s'est échappé a été récupéré par des hélicoptères de l'armée algérienne qui survolent la base d'In Amenas, rapporte notre correspondante à Alger Leila Berrato. Des coups de feu et des bombardements auraient eu lieu, faisant des blessés, sans qu'aucune de ces informations ne puisse être vérifiées. Ces dires proviennent soit de médias algériens qui ne citent pas leurs sources, soit de l'agence mauritanienne citée plus bas, qui relaie les communiqués des ravisseurs.
12h10 : « Il y a des Français sur ce site » gazier, confirme François Hollande. Mais « la situation est confuse et je suis en contact avec les autorités algériennes pour que l'issue la meilleure puisse être trouvée », rappelle le chef de l'Etat lors d'une conférence de presse à l'Elysée, aux côtés du Premier ministre portugais Pedro Coelho. L'extrême prudence prévaut à l'Elysée.
12h : Des hélicoptères de l'armée algérienne seraient en train de pilonner le site, selon un communiqué de la brigade de Mokhtar Belmokhtar, publié il y a un peu plus d'une heure sur le site Agence Nouakchott d'Information (ANI). Ces bombardements auraient blessés deux otages japonais. Les ravisseurs menacent de tuer les otages si l'armée algérienne refuse de se retirer. Le ministre de l'Intérieur algérien, Dahou Ould Kablia, a confirmé que les forces de sécurité algérienne avaient été renforcées autour de l'entrée du site où sont retenus les otages selon lui.
10h57 : Selon des médias algériens, 15 otages étrangers, dont un couple de Français, sont parvenus à s'enfuir. Le patron de la chaîne Ennahar a indiqué à l'AFP qu'elle citait une « source officielle ». L'ambassade de France ne s'est pas prononcée et Paris n'a pas encore confirmé ou infirmé la présence de ressortissants français parmi les otages.
10h37 : Les autorités françaises ont « une confiance totale » en la capacité des autorités algériennes à résoudre la prise d'otages, a déclaré jeudi le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Depuis mercredi, plusieurs chancelleries concernées par les évènements en Algérie ont également réagi.
10h14 : Trente otages algériens, parmi les 150 présents dans la base (plusieurs centaines selon certaines sources), seraient parvenus à s'enfuir du complexe gazier d'In Amenas.
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