Le peuple congolais avait demandé à kabila de remplacer ces tripoteurs des urnes dont le faux pasteur Mulunda le corrompu, il a réfusé et a fait fi du mépris au peuple congolais mais aujourdhui pour qu'il organise le sommet de la francophonie, il l'accepte àla demandes de la Belgique, la france et les USA pour leurs faire plaisir.
Dans ces conditions, En se posant la question on peut déduire la reponse: "QUI DIRIGE LA RDC??" Le peuple congolais a t-il une place dans la gestion de leur pays? avec kabila?
Il y a deux semaines ce qui semblait être une rumeur, sur le
remplacement du pasteur Mulunda à la tête de la commission électorale congolaise
(CENI), se confirme comme une volonté affichée de la troïka Belgique, France et
Etats Unis qui demandent des garanties pour la poursuite du processus électoral.
Selon le département d'état américain et les services de renseignements civils
belges, Ngoy Mulunda vient d'être élu vice-président au sein du forum de la
commission électorale de la SADC, en prévision de son remplacement à la tête de
la CENI. Le pasteur Jean-Paul Moka- candidat aux présidentielles congolaises de
novembre 2011 et actuellement co-médiateur avec John Agyekum Kufuor (précédent
président du Ghana)- est bel et bien présenté au président Joseph Kabila pour la
reprise du poste occupé par le pasteur Daniel Ngoy Mulunda, actuellement
président de la commission électorale nationale indépendante -CENI. Cette
information a également été indirectement confirmée par la co-médiation
elle-même, lors de sa déclaration du 24 septembre dernier en ces termes: « Pour
la composition de la CENI, la co-médiation propose- Pour la présidence (1): Un
leader ecclésiastique, politiquement modéré et internationalement connu». Enfin,
l\'ambassade de la RDCongo à Bruxelles a également officieusement fait circuler
l\'information sur ce changement programmé à la tête de cette institution, fort
décriée récemment suite à sa gestion des dernières élections présidentielles et
législatives en RDC. Passé de l\'opposition au centre depuis août 2011, selon un
article de la nouvelle chine, après l\'échec de l\'opposition de s\'unir autour
d\'Etienne Tshisekedi (candidat malheureux aux présidentielles de 2011 que Moka
proposait comme candidat consensuel de toute l\'opposition), le pasteur
Jean-Paul Moka s\'est par la suite engagé dans la résolution de la crise
électorale, à côté de l\'ex-président ghanéen John Kufuor. Interrogé au sujet de la CENI, le révérend Moka s\'est dit «surpris par cette information persistante». Il a déclaré que cette décision dépendait des seules prérogatives constitutionnelles du président Kabila et qu\'il n\'était pas encore impliqué dans un tel scénario. Selon le pasteur Moka, il n\'est «pas question de quitter la co-médiation Kufuor-Moka, sans une certitude sur la personne qui le remplacerait pour la poursuite de cette médiation à côté du président Kufuor», a t-il déclaré. Cependant il s\'est déclaré ouvert à toute discussion constructive à ce sujet avec toutes les parties concernées. L'assemblée nationale congolaise vient de juger recevable et constitutionnelle la proposition de remodelage de la CENI présentée par le gouvernement Matata. Quant à l\'opposition, elle semblerait vouloir à nouveau boycotter le vote du projet gouvernemental. Elle se dit cependant favorable au remplacement du pasteur Mulunda. La société civile classique, de son côté, soutient la nomination présumée du pasteur Moka à la présidence de la commission électorale congolaise. Christian Beaufort Agence de Presse Pan Africaine
La Pros.
(APPA du 01/10/2012)
Kinshasa, le 02/10/2012
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