vendredi 22 décembre 2017

RDC: Pourquoi Joseph KABILA, tergiverse, brouille, tripatouille, tourne en rond, ...?? cherche un pouvoir à vie à tout prix..

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Cela car Kabila ne veut pas quitté le pouvoir, .. il faut être un idiot pour ne pas être capable de lire les cartes que joue Kabila avec son équipe. 
Plusieurs rapports et experts ont démontrés il y a plus de 7 ans que "KABILA = MOBUTU LIGHT". Comme sont prédécesseur le Maréchal,il cherche farouchement par tous ses moyens, gestes, actions, réalisations ..., même sa façon de regarder, à se maintenir au pouvoir à vie.
Kabila n'a jamais pensé comme un homme d'Etat, forger un pays respectable. Karel De Gucht l'a démontré à Kigali, qu'il y a pas d'homme d'Etat en RDC, on l'a traité non gratta en RDC.
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Des élections devaient déjà avoir lieu au plus tard en ce mois de décembre 2017, d’après l’accord pouvoir-majorité de la Saint-Sylvestre 2016.Elles ont été reportées, officiellement en raison des violences au Kasai, dans le centre de la RDC.
"Des crimes contre l’humanité au service d’un chaos organisé", accuse cette semaine la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), en visant le pouvoir.
Le processus électoral commence en terrain plus que miné.La RDC est une des priorités humanitaires des Nations unies dans le monde en 2018, avec quatre millions de déplacés internes et des centaines de milliers d’enfants en danger au Kasai, d’après les alertes des agences humanitaires.
Plus précisément, la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) recense toujours chaque mois des centaines de meurtres, viols..., oeuvre des milices ou des forces de sécurité (701 violations des droits en novembre, 704 en octobre 2017, contre 644 en septembre et 441 en août...).
La publication d’un calendrier électoral le 5 novembre, sous pression américaine, n’a pas détendu la situation politique.
Sans réponse jusqu’à présent, l’épiscopat congolais, qui a servi de médiateur pour l’accord de la Saint Sylvestre, a demandé au président Kabila de déclarer publiquement qu’il ne serait pas candidat à sa propre succession.
Les autorités interdisent et dispersent toute manifestation du Rassemblement de l’opposition, qui demande le départ de M. Kabila dès la fin de l’année."Ils (ndlr : les opposants) veulent le pouvoir sans élection", accuse une source sécuritaire.
Un "Comité laïc" annonce encore des marches pour le dimanche 31 décembre sur des mots d’ordre très généraux -"libérer l’avenir", "sauver le Congo".
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- Retard -
Très formellement, les autorités sont déjà en retard sur le calendrier présenté par la commission électorale le 5 novembre.
Le président Kabila n’a en effet pas promulgué comme prévu le 15 décembre la réforme électorale adoptée dans la douleur et la polémique par le Parlement dans la nuit du 15 au 16 décembre.
Après la réforme électorale, commence la bataille du financement des élections entre Kinshasa et ses "partenaires" internationaux dont l’Union européenne, qui conditionne son aide au rétablissement des libertés et du droit de manifester.
Des "ultimatums surannés" pour le porte-parole du gouvernement Lambert Mende qui a confirmé jeudi que le gouvernement prévoyait 500 millions de dollars -10% du budget de 2018 - pour les élections, avec notamment l’achat de "machines à voter", nouvelle source de polémique.
"L’élection aura lieu, même sans appui.Quand on organise les élections en Irlande, qu’est-ce que donne la Côte d’Ivoire ?", ironise devant l’AFP un très proche du président.
Les "partenaires" étrangers de la RDC semblent jouer un double-jeu avec M. Kabila, le président "hors mandat" comme l’appelle la presse belge.
D’un côté, les politesses diplomatiques : Bruxelles, Paris et Washington demandent le respect du calendrier électoral, promettent leur aide moyennant le respect des libertés fondamentales. 
Un haut cadre de l’ONU, Jean-Pierre Lacroix, a aussi réaffirmé la disponibilité des Nations unies "à travailler en appui à ce processus" électoral en rencontrant dimanche le président.
De l’autre, les pressions et les sanctions.L’Union européenne vient de prolonger le gel des avoirs et l’interdiction de voyager à l’encontre de 16 de personnalités congolaises dont le porte-parole du gouvernement, le ministre de l’Intérieur, le patron des renseignements.
Les Etats-Unis ont aussi annoncé jeudi des sanctions contre un homme d’affaires israélien, proche du président Kabila, Dan Gertler.
Accusé d’avoir fait perdre à l’Etat 1,3 milliard de dollars dans la vente d’actifs miniers congolais, M. Gertler a été sanctionné au nom d’une nouvelle loi qui vise "des individus qui bafouent les droits de l’homme, des cleptocrates et des acteurs corrompus".
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