publié il y a 1 heure, 52 minutes, | Denière mise à jour le 4 février, 2013 à 3:15 |
Le Médecin chef du service de cancérologie à l’Hôpital général de Kinshasa, docteur Mankoy Bajoko, déclare ce lundi 4 février qu’il est difficile de disposer de statistiques sur le cancer en RDC à cause de l’absence d’un programme national officiel de lutte contre la maladie. Il s’exprimait en l’occasion de la célébration de la journée mondiale de lutte contre cette maladie.
Selon le docteur Mankoy, il est difficile de faire un état de lieu du cancer dans le pays. Ce qui rendrait difficile la lutte contre la maladie.
«Dans d’autres pays, il y a un registre national de cancer. Ce qui permet de déterminer le nombre de cas de cancer pour que le ministère de la Santé publique prenne des dispositions adéquates », indique-t-il. Le médecin ne dispose que des chiffres de son hôpital qui reçoit en moyenne cinq malades de cancer chaque jour.
Parlant du traitement de la maladie, il explique que les hôpitaux congolais recouraient à quatre types de soin:
La chirurgie : traitement par intervention manuelle et instrumentale
La chimiothérapie : traitement par des substances chimiques
La radiothérapie : traitement par rayons X
L’hormonothérapie : traitement par des hormones
Par ailleurs, le Docteur Mankoy regrette que les malades se rendent généralement dans les hôpitaux lorsque leur cancer a atteint un stade avancé.
« Quand vous constatez qu’il y a une boule sur la peau qui sort sur votre corps ou si vous constatez que vous avez une plaie et cette plaie persiste malgré tout le traitement, il faut immédiatement consulter le médecin », affirme-t-il.
Le thème choisi cette année pour la journée mondiale contre le cancer est: « Dissiper les mythes, les préjugés et les idées fausses sur le cancer ». L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015, si aucune mesure n’est prise.
Vous pouvez écouter l’intégralité de l’entretien que le docteur Mankoy a accordé à Radio Okapi.
Selon le docteur Mankoy, il est difficile de faire un état de lieu du cancer dans le pays. Ce qui rendrait difficile la lutte contre la maladie.
«Dans d’autres pays, il y a un registre national de cancer. Ce qui permet de déterminer le nombre de cas de cancer pour que le ministère de la Santé publique prenne des dispositions adéquates », indique-t-il. Le médecin ne dispose que des chiffres de son hôpital qui reçoit en moyenne cinq malades de cancer chaque jour.
Parlant du traitement de la maladie, il explique que les hôpitaux congolais recouraient à quatre types de soin:
La chirurgie : traitement par intervention manuelle et instrumentale
La chimiothérapie : traitement par des substances chimiques
La radiothérapie : traitement par rayons X
L’hormonothérapie : traitement par des hormones
Par ailleurs, le Docteur Mankoy regrette que les malades se rendent généralement dans les hôpitaux lorsque leur cancer a atteint un stade avancé.
« Quand vous constatez qu’il y a une boule sur la peau qui sort sur votre corps ou si vous constatez que vous avez une plaie et cette plaie persiste malgré tout le traitement, il faut immédiatement consulter le médecin », affirme-t-il.
Le thème choisi cette année pour la journée mondiale contre le cancer est: « Dissiper les mythes, les préjugés et les idées fausses sur le cancer ». L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015, si aucune mesure n’est prise.
Vous pouvez écouter l’intégralité de l’entretien que le docteur Mankoy a accordé à Radio Okapi.
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