mardi 17 février 2015

Katanga: 6 personnes tuées dans un conflit entre Bantous et pygmées à Sengatchimbu

 La RDC est un Etat ou c'est une jungle ?? Où l'on doit mourir tous les jour??
 
Mr Kabila nous a instauré un régime des misères impossibles, jamais vu ailleurs. Il est caractérisé par des conflits de tout genre, des guerres à répétition, des assassinats et massacres les plus odieuses, des crimes dans toutes les provinces, des noyades chaque semaine, des groupes armés et des milices partout, des détournements enracinés au plus haut sommet du pouvoir, ...

Un État catastrophique,... Nous en avons marre marre... 
KABILA doit DÉGAGER
publié il y a 39 minutes, | Denière mise à jour le 17 février, 2015 à 12:43 |

Une famille de pygmées dans un centre des  Refugiés de Dongo(RDC) à Betou(RCA) le 18/11/2009. Ph. Don John Bompengo
Une famille de pygmées dans un centre des Refugiés de Dongo(RDC) à Betou(RCA) le 18/11/2009. Ph. Don John Bompengo

Six personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées, dimanche 15 février, dans une attaque armée attribuée à une milice de la communauté pygmée dans la localité de Sengatchimbu, en territoire de Manono (Katanga). Des sources de la région renseignent que la localité de Sengatchimbu, située à 160 km au Nord-Est de Manono-centre, est devenue depuis quelques mois le théâtre des affrontements entre pygmées et bantous.
Les mêmes sources indiquent que l’accrochage entre les membres de deux communautés a duré plus d’une heure. Cette attaque survient une semaine seulement après une autre de la part  des pygmées dans le même secteur de Nyemba, en territoire de Manono.
Un employé d’une ONG internationale qui se trouvait dans ce secteur affirme qu’au cours de l’attaque du 9 février le chef de localité Sengatchimbu avait été tué avec ses quatre compagnons dans la localité Kinsunkulu.
En août 2014, trente-trois personnes, bantoues et pygmées, avaient été arrêtés à Manono dans le cadre des conflits récurrents entre les deux communautés au Nord du Katanga. Certaines d’entre elles étaient accusées d’être des instigateurs du conflit, d’autres étaient poursuivies pour incendies des maisons.
 
Ces conflits inter-communautaires engendrent les difficultés de fonctionnement des structures scolaires et sanitaires dans le territoire de Manono. Des enseignants et des infirmiers ont dû fuir certaines localités de Manono pour échapper aux violences.

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