Joseph Kabila.
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Près d’une quarantaine d’invités, des députés issus de l’opposition et de la majorité, étaient invités par le président de la RDC, Joseph Kabila dans sa ferme privée de Kingakati. L’échange a tourné autour de la situation dans le Nord-Kivu. A près plus de deux heures de discussions, la solution à la crise n'a pas été trouvée et l'inquiétude a gagné de nombreux députés.
Dans sa ferme privée de Kingakati, dans la périphérie de Kinshasa, le
président Kabila a demandé aux élus du Nord-Kivu de l’aider à résoudre la
nouvelle crise de l’est.
Née des pressions internationales exercées sur les autorités de Kinshasa pour arrêter et livrer le général Bosco Taganda à la CPI, cette crise a fait apparaître une nouvelle rébellion, le M23, qui regroupe des anciens du CNDP sous la direction du colonel Makinga.
Les revendications de ce mouvement armé reposent avant tout sur la protection de la minorité tutsie qui se dit menacée par les autres communautés de leur contrée. Les élus ou leaders de la région seraient alors appelés à s’investir, pour recréer la confiance qui pourrait amener à une cohabitation pacifique.
Sans trop définir dans cette démarche le sort du général Bosco Taganda, accusé de crimes contre l’humanité, la rencontre de Kingakati a tout de même soulevé quelques questions en rapport avec la situation sur le terrain. Faute de réponses, il y a des élus qui se sont déclarés plus inquiets et pessimistes à l’issue de la rencontre de Kingakati.
Née des pressions internationales exercées sur les autorités de Kinshasa pour arrêter et livrer le général Bosco Taganda à la CPI, cette crise a fait apparaître une nouvelle rébellion, le M23, qui regroupe des anciens du CNDP sous la direction du colonel Makinga.
Les revendications de ce mouvement armé reposent avant tout sur la protection de la minorité tutsie qui se dit menacée par les autres communautés de leur contrée. Les élus ou leaders de la région seraient alors appelés à s’investir, pour recréer la confiance qui pourrait amener à une cohabitation pacifique.
Sans trop définir dans cette démarche le sort du général Bosco Taganda, accusé de crimes contre l’humanité, la rencontre de Kingakati a tout de même soulevé quelques questions en rapport avec la situation sur le terrain. Faute de réponses, il y a des élus qui se sont déclarés plus inquiets et pessimistes à l’issue de la rencontre de Kingakati.
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