vendredi 7 octobre 2016

VOICI POURQUOI, LES CONGOLAIS NOUS NE DEVONS PLUS RECULER DEVANT NOTRE DESTIN PATRIOTIQUE

KABILA s’en foute des congolais et de la communauté internationale, il monte des stratagèmes du jour au jour pour rester au pouvoir de gré ou de force, ... Kabila veut sortir au pouvoir qu'avec les armes comme Mobutu

Sud-Kivu : la société civile juge inconstitutionnel le maintien de Joseph Kabila au pouvoir après le 19 décembre

Le Président Joseph Kabila lors de son discours sur l’Etat de la nation le 14/12/2015 à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
"Peuple congolais, nous n'avons plus droit à l'erreur, après plus de 8,5 million de nos frères et sœurs morts sous un régime injuste et irresponsable, .. par tout les moyens nous devons combattre pour notre destin patriotique, bradé par le régime Kabila"

La société civile du Sud Kivu juge inconstitutionnel le maintien du président de la République, Joseph Kabila, au pouvoir après la fin de son deuxième et dernier mandant qui prend fin le 19 décembre prochain. Cette position est contenue dans une déclaration signée mardi 4 octobre à Bukavu par vingt-six organisations membres.
 
«Nous avons constaté que le mandat du président actuel prend effectivement fin le 19 décembre 2016. Et passé ce délai, aucune raison ne peut justifier sa reconduite comme chef de l’Etat d’une période intérimaire soit-elle», a affirmé le président intérimaire du bureau de coordination de la société civile, Me Patient Bashombe.
 
Les organisations de la société civile invitent aussi l’actuel président à ne pas se représenter aux prochaines élections.
«La constitution de notre pays qui est le fruit d’un large consensus national ne saurait aujourd’hui être mise en parenthèse par quelque volonté des participants au dialogue et par le fait d’un simple accord d’un dialogue politique», a ajouté Me Patient Bashombe.
 
Il appelle la majorité présidentielle et l’opposition à revoir leur consensus afin que les élections directes soient organisées le même jour.
 
Ces 26 organisations de la société civile demandent également à la Commission électorale nationale indépendante (CENI), de se servir d’un temps court pour organiser les élections présidentielles et législatives au cours de l’année 2017.
 
«Nous en tant qu’organisations de la société civile, nous voulons que la CENI revoie sa proposition de calendrier, en convoquant dans un temps record la présidentielle, les législatives nationales et provinciales en 2017», a ajouté Me Patient Bashombe.
 
Selon les estimations de la CENI, l’élection présidentielle couplée de législatives nationales et provinciales pourrait être organisée en décembre 2018.​

Lire aussi sur radiookapi.net: 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire