publié il y a 9 heures, 47 minutes, | Denière mise à jour le 4 octobre, 2013 à 8:11 | sous Revue de presse.
Mots clés: concertations nationales, gouvernement d'union nationale
Des
participants aux concertations nationales ouvertes le 7/09/2013 à
Kinshasa, par le Président Joseph Kabila. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
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D’après le confrère, les perspectives d’un gouvernement d’ouverture se dessinent de plus en plus.
Le journal renseigne notamment que le groupe thématique conflits communautaires, paix et réconciliation a pratiquement annoncé les couleurs de la naissance d’un gouvernement d’ouverture. « Il est donc important que pour la mise en œuvre efficace de différentes recommandations contenues dans ce rapport, l’architecture gouvernementale reflète les préoccupations, défis et enjeux relatifs à la réconciliation et à la cohésion nationales », indique la conclusion du rapport de cette thématique lue par son co-modérateur Thomas Luhaka.
A en croire le quotidien, la lecture de ce paragraphe a fait l’objet des acclamations nourries dans la salle des congrès du Palais du peuple. Ce qui témoigne à suffisance que les concertateurs attendent de pied ferme la mise en place d’un gouvernement d’union nationale, commente Forum des As.
Dans son éditorial, La Prospérité s’intéresse également à la formation d’un gouvernement d’union nationale. Les grandes manœuvres d’atterrissage viennent d’être amorcées par le duo Kengo-Minaku, rapporte le journal.
De façon générale, indique le journal, les conclusions présentées le jeudi sont plus ou moins acceptées par l’ensemble des délégués en plénière.
Seulement, souligne la Prospérité, le spectre de la formation d’un gouvernement d’union nationale ou «gouvernement consensuel » continue à hanter les esprits de plusieurs membres de l’Opposition politique voire de la Société civile.
Revenant sur la polémique au sujet de l’arrivée des familles rwandophones à Rutshuru, Le Potentiel relaie la position du gouvernement congolais qui demande des explications au Rwanda et au HCR.
«Nous demandons au Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés de nous éclairer sur cet événement parce que nous n’avons pas été informés. Il n’est pas concevable qu’un mouvement de retour [des réfugiés] s’opère, sans qu’aucun [des signataires de l’Accord tripartite RDC-Rwanda-UNHCR] ne soit au courant. Or, le gouvernement congolais n’a pas été tenu au courant», a déclaré Lambert Mende, porte-parole du gouvernement.
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