lundi 15 février 2016

Revelation sur la journée ville morte KINSHASA, 16/02

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Journée ville morte à Kinshasa suivie à beaucoup d'endroits,.. les activités sont restées timides à d'autres, plusieurs arrestations 
https://www.facebook.com/CongolaisDR/?fref=nf&ft[tn]=kC&ft[qid]=6251664211679603539&ft[mf_story_key]=5512566750853637752&ft[ei]=AQJnHTz9os8_LN8F19ckerZkif6jSWJ19qq5Ng94QTQ6NfzWQRwxchDm-17vBFtg9ng5HB1udzyeby6voAeo3cAZcx7o2_lrXKYORzOGxwr-BpOxCiUD8RjHREWgJywP7_yCVJ_egRe5PukunJafdOvxI_cb_azTj3U41vSPsN0cVVWoy4ACHg7KJVqptEZSUOZkZpSFWvan_qHcW178b3ntSsJT6-dsbE8vnqklFfWbfz0HoMdS-WARnBVL0yb7whTbBJU2nnmkjMGank7aABKQEV0F48GmYyHkwHB3ZI4ziPguYv9pQAyD9yJHwPVaISmz-ODoNhySCIvisD2R_fvSb5Tx2LJx5wnMpaQnq8c21dXL0eCM8SFsPGAsUA6ivLZAfBYBHjcP8_PLapc_tf6K-7FhM9RWiQBYrT-jw8z1QDOQe8woPUXjo6VKAD1FXv0zGVR-pDRRV5Z8VCFsdSLY8EfUncdLNQxopb0Eo2K1gfUR7kjO7ZrS2Z8RlEYnmT_ooPaY2VTQzzq4Ia1vtuRDvgpKpHWWq4z2Lurucl4gTX9lzrTC3Uvr33bhIr1ByHze9P60FReNmm9KfcPJeJkI6ycFCVlGIHC-RNTnLhIYQwf4knIuihVv0YkJXk_1TJ47kNLnZpafczwbM0_Aw6pU_m2LhJEtNwitFkXUjN2ermmm1fjij9vm7RUmux52oeLcUJdfeuxVbJ9Pa7E9O_hGPyjjujSAaj9xtlCrIWrmUM9c5l66_rYGso4-YyAoEtnMldiqWJSdK9ddJhuDGMbJBySNFNRUt7uQ6wyo6D51fx8UHTxVSik16LvJk1wTr-ESqdNNjj4Lk3JY9v2mHu8SzwUQKbcEyxlKf25Ia1QFhwhcBKu0z57n803vKqUlnGj00E-4UaxXwef5laIsfjqSzgXx8-bOGmNVtZ8skVpn-aojfhPMxfO9-ZyheMZ0jWdezYlHO1kiw2DU1GxyBiBxahXx2xzb-wdxRUruor4VDk10NLCYcUgucWHtCuU8UYFWUmR5YFA5g35OWbkgcJNtnqHf0F6CxkmcrboEY9FeUYVG-vtPJEObb_B9OvRl8gHjuScAB--gZOQJC4TKlSChXfyBiuG7m6NyBj3XNpG5bAebCPJUUnmyj-zXOdHbHPAv3QR0tQ5CKv04Rbvq17xxnF5ZsAYO9lwMCuIsXdpC-kpBrvcABRXtC9XpMBYEoF0jJl6ccvTOC3jYPdglbWtTu7KO-6ik5ecnAGyGNLMV0bo_5OiPnAFNdooU9JHC_L7hf0gkHdrvybwpAlouYEY_IGdJn0GiFRn33MYhU3fI_daFBPJHmyF7NSm-W8WM7inZ0m559VoxCzQDW4Nr21croa_wi3qSAdc-IWGk-5gh9NT3StGaTVDXJKns_GL_xbVu4Se8xen7rpYxWtN35OCVJ_zWhakmkBXsPNTo4Ixn1flu65fpdkxLJht_WTS57sGQwVXPJhUBIDA23SY0q6B9y8RbSGUn3AmA9Pq4bgexlBWpOzA70gj_Knt56xDTXL_14cKb2Gf2Hp3PGnIvF-BBC6MK7VwSnTral5jvFed2Imv1WgPXs9SukLy7Cq_KV9hQM7GxiqhOp__BYgKYZMByU7VT3JS3sSzT8pf-IfXhK9zqYVxinbxO3hCM5EtrjqgdTLZbwYS7_p7NSV7QSs4UOut-G1wESn7KfuMaSKGNgqEWYV2dQqPJy2TetUkYdf9vk4DRPAQt3A8i1uS6RzBfj6jOfwumOq60aAjVqUyQj9YBUB_qxhXIoeUQC4ApXIH1szov7VZiyD1h7tLnvYDqg1gWgOYVLkSYuYxGibShkGP4J47qf6bLJA-Pj3GWnEn_GqZnWdy7OaNKZL6EI7c5PR4Z1lqzWzohGXMdwzkbkj1ig6oX5xkHuqwYCa7NQv_iRdrQlxp1aIPHmy4KsFzqTUw7PEIFBSFM798EV-se24cuhL7ztJzkBMn2GGOJTme9oPtaBC1sY7yYaBEEfx11ozDZXA_CaPAVWEMUEBmsR0K7UBNaEYJYGmOthCVQfwVsLkhRGiosy4fmjM0DS67R_wJvMkSj8ApvxIuyJJhiYxjs01LSKkvV9dDhRzoE1-vQXyu3tLn4dZJ6JJbR66ldBMSxQl1kouJPJv4ZjYH3laK7mJPBxMw18Rs7MTp_IbN8Z8KwyOZH2Fji-zMsz3i7-O9YIWKwejCJAvPCOeiCKon1dI_r7CiBmQmPgzgw5RR98LeFsDhH4KYquz1ziT2DlYJGRFj7OkTyu-FjlWtQdv_h1cVFSzWIbFpGVyL0B_Jx7CGBOWSoBclpaElscCmGaucBVjOEY8ZKdQXrFM4j2hKm8xeodDBIJ9Y48C9kVNAozDUxphv3ySKvFUzss4psRYrkB_cFzh_B3bs1gBvEHMtIN28EvwPrN-jnqHYQJC1YhkdJz4TwMtNqfLp3J75_lrKs360KPxmpj7FmFDVonSUfgRUVF-p5pEq5WYj-6Ezzffj_2DjYhL9ruU9NsK9I9T4VY4Me-eJMk-1Pphs8cRcMMJjYeRMCf1rOXHgTUHTWxBekAioRd3sU99NgydyXD9EtYsm-mSvSQ2m8wHmg1OXzZraOyfWe5SAyVHVyAbFZiOVZCxQRrfCrlLjC0vMoWzgEYwZLkXTY7IIUv7sk8DUkT_NGY-FVOfrifoMlL-iN0OoOsfWkvJvsEOMiDhjp-htN1uEOZnz34z769Ir0japxY1FWH9r9cF-toACtHeHFlCy7iUn2_wV5L8TeBLeFyp2q3xEQsHaMA9jbOauVO6Bntopk3ZZNmuX94Txo0Ahgd3TljXatLtnrsGAmuqDxlHq2miQqdBDBU0WJj8JoxXBz9gRxQZW3YmEsfRRnspvx_AT5i40puwxtK-G890Atj11ZXDtG5dT-VsDSNGBwvU95C4k4u3tBXv1flhmVEvH23oPLvtdW0dzRO7ZeRNK9ykT-Sqa_hGPcrzYnV_NcnGiaoOTlcuAJU_beJb1jDYyUK9Jprn3lTORmpmnaq1VS8tgQBzLYIarIwAIwNscJ5X2nVZ0jf-m7QCQOHmFh6tfQazEqROOCnGdkBW77qav-WPmcUFo4RE804xRYzSaQtiVpT8RJxLPYRpI7oLKFcVSLCQSesUznp4m31mNegRxhc5csVCURotD6Ihnc0XgDwLSU1duDoluk3SnNdykgns3q_5ak6GWoXCjoWbI-I-XULxJABeEW3UA02m-7MyzUGz1fpiijgiCRDP2yoM4us5ZbeBF-BBX46R13UrgRosyOFrBJi2IKYE1iB16eBPzqC2Hr572wMReApZYi6mW_zGs9tnslxKIC1cqg4IsM90F9b80cG5q1ij2ngXyWIrKyRLgKzMJf21atR0QVgTMSaVaUwWN-pAeQ3aEYi07aQJhaem6Elq_HD7q1Q4zPJBkfOfLEsh9Vhy2spFK3XsAP-d03nE79_IhtiS-GY6GLX7qPtYfo7lNHngnd9GpcECt9442N00CnrMWujLnDB04Q0Dl-9IMS-t1Lyy6Muj-jB2bnW_OBujNkHWxvHY1xMTqi1bUJU12SIFozl8ju7QqjexL09V5a0yXtcd5unQ0rsLZLNZaq5mGbqYzGAWW0Cb0j8i53liKFMYiXZ-AbknWqJXIoF_5DhuTXMWiFc8EsltxEqUOcvZpZV0tGNDIeZ-_afWLdVxS30v4kIMADi8BjX7a5x8ffbPeaOd5-hZ6aDUsxkCex_P6PiOo49opwLdguhT147DZaJFU2rxgeXNO1_gJZckYlMpYjTNX8__yQWrFaX8t2LO76jeHeCe1hRpTvAlNmJIkQQQBpN1Bd1G7HpnitNBE5MLLIriw1M4XogCZYKKz1a2j7x--PG9QLscNc7EmU8_1n1EHC39Zi42JK3LFic8U8wVu2gO1ucb9cexYNjfDYL3l3XMi8GdBBCrAG5l2n177BhkCkx2631CHEmlXXMN7LctJNIXaGrMFAsotacK35hNmHITwNcsmXtFUR-IMcyw9ilemDh81GYXXiE4VOlneZ22PZMygjq9SN_0_PlqzxrtQRWKG747AFqGrQ4E43Rnw-QWPodsLx0KqJ1lsUC1OqNZ1IS8c_jXdHTbfLgEcWBzdRm3qmh_SUYf02x5PeIQPfNEMa7SxFkkb4QC8&ft[fbfeed_location]=1&ft[insertion_position]=9&__md__=1
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Marché local de Goma et Bukavu sont restés vides

JOURNEE VILLE MORTE A KINSHASA MARDI, LE 16/02.., QUE NOUS DEVONS RESPECTER TOUS

RDC:  journée ville morte  confirmée à Kinshasa et en provinces, ce 16 février,

Chers   professeurs, enseignants, étudiants, élèves, fonctionnaires, cadres, commerçants, vendeurs, chômeurs, ... 

nos droits piétinés par le régime Kabila nous obligent d'observer la journée ville morte ce 16 fevrier


Le Commissaire provincial de la Police nationale congolaise, ville de Kinshasa, le général Célestin Kanyama, lors d’une parade le 15/02/2016 à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

La Dynamique de l’opposition, le G7 et le Front anti-dialogue maintiennent leur appel à une journée «ville-morte» le 16 février en RDC. 
L’objectif est de dire non à la révision de la constitution et  oui à l’alternance au pouvoir le 20 décembre 2016, a précisé Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC). Mais le Gouvernement insiste sur le caractère ouvrable de cette journée, menaçant de sanctionner tout fonctionnaire qui s’absenterait de son lieu de travail. Il est aussi prévu un déploiement policier à travers Kinshasa pour interpeller ceux qui tenteraient d'empêcher les autres à aller travailler. 

Nous en appelons à une ville-morte et nous interpellons ici la conscience et la responsabilité collective de tout un chacun de manifester en silence en restant à la maison, pour défendre la démocratie”, a déclaré le président de l’Union pour la nation congolaise, parti membre de la plateforme Dynamique de l’opposition.
Comme autrefois le 16 février 1992, a estimé Vital Kamerhe, “aujourd’hui, la démocratie est à nouveau menacée” en RDC. Selon lui, la ville-morte vise à “dire non à la dérive dictatoriale, oui aux élections dans les délais constitutionnels. Tout cela dans le respect des lois de la République, de l’ordre public et des biens publics”.
Cependant, une certaine opinion accuse les initiateurs de cette opération d’être “ennemi de la population congolaise”, dont la majorité vit au jour le jour.  

Cette population vit au taux du jour. Mais avec quel argent? Elle est tout simplement meurtrie. Elle doit donc se battre pour que l’espoir puisse pointer à l’horizon”, a réagi le leader de l’UNC.

dimanche 14 février 2016

POURQUOI KABILA AGGRAVE UN RÉGIME DE TERREUR A KINSHASA??... Fayulu arrêté ce dimanche 14/02 à son bureau du parti

Kinshasa: l’avocat de Martin Fayulu exige la libération de son client



Martin Fayulu, juillet 2014. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’avocat du député national Martin Fayulu Madidi exige la libération de son client, arrêté dimanche 14 février au siège de son parti, dans la commune de Kasa-Vubu, à Kinshasa.
Maitre Jean Marie Kabengela Ilunga l’a dit dans un entretien accordé à Radio Okapi :
«Nous demandons sa relaxation pure et simple. Ce pays n’appartient à un individu ou un groupe d’individus. On dit mettre fin à l’arbitraire et aux intimidations».
Il a affirmé que Martin Fayulu a été «enlevé » par un officier des FARDC et emmené vers une destination inconnue pendant qu’il préparait, avec les cardes de son parti (Ecidé), la journée du 16 février.
Des partis de l’opposition appellent à une journée «ville morte » le 16 février prochain en RDC et appellent les Congolais «à rester à la maison» pour «honorer la mémoire de nos concitoyens victimes de la barbarie du 16 février 1992».
Me Jean-Marie Kabengela dit ne pas connaitre la destination où son client a été emmené :
«Nous sommes en train de le rechercher pour savoir où est-ce qu’on l’a amené entre le Camp kokolo ou la Demiap».
Radio Okapi a tenté en vain de joindre la hiérarchie de la police nationale.

vendredi 5 février 2016

RENCONTRE KATUMBI- KAMERHE- Tchisekedi


Le front de l’opposition congolaise ne désarme pas, Kabila doit partir sinon..

HUBERT LECLERCQ Publié le 


Ce mardi, dans nos colonnes, nous reprenions certains commentaires de la presse kinoise qui relevait : "Elire le président de la République à la fin de cette année comme le prescrit la Constitution congolaise, est désormais impossible". 
.


Un couperet qui tombait après une rencontre entre le gouvernement congolais, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et les bailleurs de fonds internationaux.
Un coup dur pour l’opposition congolaise qui martèle depuis de longs mois qu’il n’est pas question de laisser "glisser" le mandat du président Joseph Kabila. 
"La Constitution est claire et limpide", nous explique un membre du G7, plate-forme politique qui regroupe sept partis politiques qui ont décidé de claquer la porte de la majorité présidentielle au mois de septembre dernier. 

"La Constitution prévoit que le président de la République est élu pour 5 ans et qu’il ne peut briguer que deux mandats consécutifs. 
Le règne de Joseph Kabila doit donc s’achever le 19 décembre 2016, après la tenue de l’élection présidentielle en novembre. 
Tout le reste s’apparente à une violation de ce texte qui a été approuvé par 85 % des Congolais."
Dans les rangs de la majorité, on brandit 
"l’incapacité matérielle d’organiser ce scrutin présidentiel dans les temps", 
sur l’air du "on voudrait bien mais on ne peut point", par manque de temps, par manque d’argent.

"Comme si Hollande s’incrustait"
Une argumentation balayée d’un revers de la main par les mouvements citoyens qui font de plus en plus entendre leur voix dans un Congo qui vit désormais dans la crainte d’un embrasement. 
"Imaginez que le président français François Hollande, même au terme d’un seul mandat, annonce qu’il n’y a pas assez de fonds dans les caisses de l’Etat français et qu’il faudra donc passer par une prolongation de facto de son mandat avant de passer par les urnes. 
Ce serait le tollé. La France serait mise au ban des nations. Pourquoi devrions-nous accepter, au Congo, ce qui est inacceptable en Europe. 
La démocratie aurait-elle un goût différent sous les tropiques ?", s’interroge faussement notre interlocuteur de passage cette semaine aussi à Bruxelles et qui préfère s’exprimer anonymement… 
"pour ne pas donner trop de raison au pouvoir à Kinshasa de me refouler ou de me mettre à l’ombre"
Il est vrai que la tension est palpable désormais en République démocratique du Congo, particulièrement dans la capitale Kinshasa et à Lubumbashi, la cité cuprifère du Sud-Est du pays, ex-bastion de la Kabilie, devenue un des principaux foyers de la contestation au président Kabila depuis que le dernier gouverneur de la province unie, Moïse Katumbi, a claqué la porte de la majorité.
Katumbi, Kamerhe, Felix Tshisekedi unis: Pasi ya congolais pasi na nga
L’appel des trois ténors
Aujourd’hui, Moïse Katumbi est devenu un des moteurs essentiels de l’opposition, au même titre qu’un Vital Kamerhe ou Félix Tshisekedi. 
Trois hommes, réunis pour la première fois en front commun, ont décidé de lancer un appel vidéo (voir vidéo exclusive sur la libre.be) à la population congolaise pour qu’elle reste mobilisée pour le respect de la Constitution. 
Katumbi a lancé ce type de mouvement pacifiste au milieu du mois de janvier, en appelant tous les Congolais à s’arrêter deux minutes pour prier pour la paix sur le coup de midi. Un mouvement qui a le don d’énerver les autorités, incapables de mettre un agent de police ou un militaire derrière chaque "prieur" potentiel. 
Les trois ténors espèrent répéter cette mobilisation pacifiste et symbolique en invitant tous les Congolais à se saluer selon un rituel qui ne laissera aucun doute sur leur engagement pour le respect de la Constitution

Burundi : l’ONU accuse le Rwanda

  • Kagame à la une encore dans la déstabilisation du Burundi 
  • après la RDC...
  • Le chaos du Grand Lac, n'en finira jamais tant que 
  • KAGAME-KABILA-NKURUNZIZA seront au pouvoir
Selon l’agence Reuters, un rapport confidentiel du Conseil de sécurité des Nations Unies accuse le Rwanda de recruter et d’entraîner des réfugiés burundais dans le but de renverser le président Pierre Nkurunziza.
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Le rapport a été rédigé par des experts de l'ONU chargés d’évaluer les sanctions contre la République démocratique du Congo(RDC).
Ils expliquent que l’entrainement s’est déroulé dans un camp situé dans une forêt rwandaise.
Les experts affirment s’être entretenus avec 18 combattants burundais dans la province du Sud-Kivu en RDC.
L'agence de presse qui cite le rapport, souligne Reuters cite le rapport, en soulignant que ces derniers avaient tous affirmé qu’ils ont tous été recrutés en mai et juin 2015 dans le camp de réfugiés Mahama dans l'est du Rwanda.
Ils auraient été formés pendant deux mois par des instructeurs militaires, parmi lesquels des soldats rwandais.
La ministre rwandaise des affaires étrangères, Louise Mushikiwabo , a rejeté ces accusations qu'elle a qualifiées d'absurdes.
Le Burundi avait récemment accusé son voisin de chercher à le destabiliser.