lundi 22 avril 2013

La RDC refuse de signer un accord sur le statut des réfugiés rwandais

 kagame se croit terriblement plus malin que tous, il cherche à ce que les réfugiés hutu rwandais qui compose 80% de la population rwandaise cèssent d'être refugiés à l'étranger et de ne plus révandiquer aucun retour chez eux ou de retourner chez comme étrangers.

Les plans diaboliques du régime tusti de kigali ne finissent jamais et ne rameneront pas du tout la paix au Rwanda et dans le grand lac. Tant que kagame et son régime resteront au pouvoir.

Ce régime monoéthnique de kigali pourtant fabrique constamment des refugiés que Kagamé appele des "congolais rwandophones" qui ne connaissent aucune langue de la RDC et ne font même pas partis de 450 tribus qui composent la population congolaise. Kagame utilise ces pseudo-réfugiés congolais, il leurs donne des armes pour conquerir le Kivu, il les envois au Kivu pour aller revandiquer des terres qui appartiennent aux kivutiens.

(Radio Okapi 22/04/2013)

Le gouvernement Congolais a refusé le 18 avril à Pretoria de signer un accord sur la cessation de statut des réfugiés rwandais vivant sur son sol. Le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, qui a participé pour le compte de la RDC à une réunion ministérielle sur le sujet, a déclaré dimanche 21 avril à Goma, que la RDC craint que le Rwanda ne puisse affirmer un jour qu’il n’y a plus de réfugié en RDC. Et que ces personnes revendiquent automatiquement la nationalité congolaise.

La réunion ministérielle de Pretoria a été organisée par le Haut-commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR). Elle a réuni des représentants du Burundi, de la République démocratique du Congo, du Kenya, du Malawi, du Mozambique, du Congo, du Rwanda, de l’Afrique du Sud, de l’Ouganda, de la Zambie et du Zimbabwe.

Elle portait sur la clause de cessation du statut des réfugiés rwandais vivant en RDC. Une disposition de la Convention de 1951 sur le statut des réfugiés et de la Convention de l’OUA de 1969 régissant les aspects propres aux problèmes des réfugiés en Afrique. Cette clause permet de mettre fin au statut de réfugiés lorsque des changements à la fois fondamentaux et durables ont eu lieu dans le pays d’origine et que les circonstances qui ont entraîné la fuite des réfugiés n’existent plus.

La cessation du statut des réfugiés rwandais doit entrer en application le 30 juin 2013. La stratégie mise en place par le HCR prévoit qu’à cette date, les réfugiés rwandais qui avaient fui leur pays avant le 31 décembre 1998 perdent leur statut de réfugié parce que la situation qui les avait conduits en exil a changé au Rwanda.

La RDC n’est pas opposée à la signature de cette clause de cessation du statut de réfugié mais pose des préalables. Selon Julien Paluku, il faut d’abord réorganiser tous les réfugiés rwandais présents sur le territoire congolais dans les camps, les identifier et les enregistrer.


« La gestion des réfugiés rwandais en RDC ne se fait pas de la même manière que ça se fait dans d’autres pays. Comme il n’y a pas de camp de réfugiés [rwandais en RDC, ndlr], si on signe cette clause, on ne saura pas à qui elle est destinée », explique le gouverneur du Nord-Kivu.

selon lui, si cette première étape est accomplie, il faudra ensuite obtenir de ces réfugiés leur intention de rentrer au Rwanda. Si ces étapes ne sont pas franchies et que la RDC signe tout de même cette clause de cessation, estime Julien Paluku, le Rwanda peut à tout moment cesser de considérer ces personnes qui se trouveraient encore sur le territoire congolais comme ses ressortissants.


« Si on accède à cette clause de cessation avec le Rwanda, à un moment donné, le Rwanda peut dire donc il n’y a plus de réfugié rwandais dans notre pays et que donc tous ceux qui s’y retrouvent risquent d’être globalement pris d’office comme des Congolais alors que la nationalité congolaise ne peut pas s’acquérir de manière collective », affirme-t-il.

Le gouvernement congolais exige en outre l’évaluation de l’accord tripartite RDC-Rwanda-HCR signé en 2010 sur le retour des réfugiés. Cet accord définit les modalités pratiques du rapatriement des réfugiés rwandais vivant en RDC.

De son côté, le Rwanda estime que les conditions qui avaient conduit ses citoyens à s’exiler n’existent plus. Pour Kigali, il n’y a plus de raisons pour que ces réfugiés continuent de rester dans les pays d’asile.

Face aux réticences de la RDC, la signature de la clause de cessation du statut des réfugiés rwandais a été reportée à plus tard.

Le génocide au Rwanda en 1994 et les affrontements armés au nord-ouest de ce pays en 1997 et 1998 ont généré plus de 3,5 millions de réfugiés rwandais. La plupart des ces réfugiés sont rentrés au Rwanda.

Certains d’entre eux vivent encore en RDC. D’après le ministre congolais de l’Intérieur cité par Digital Congo, les chiffres provisoires indiquent qu’environ 127 537 réfugiés vivent sur le territoire congolais.

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jeudi 11 avril 2013

Vikosi vya Umoja wa Mataifa nchini DRCongo vimesema havitishwi na kampeni chafu za waasi wa M23

Vikosi vya MONUSCO
Vikosi vya MONUSCO

Vikosi vya Umoja wa Mataifa vinavyolinda amani nchini jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo MONUSCO, vimesema kwamba haivitishwi na vitisho vinavyo tolewa na kundi la wapiganaji waasi wa M23 mashariki mwa jamuhuri ya Kidemokrasia ya DRCongo, ya kwamba watawashambulia wanajeshi wa kikosi maalum cha Umoja huo kitachotumwa hivi karibuni mashariki mwa DRCongo  kupambana na waasi.

Akizungumza na vyombo vya habari jijini Kinshasa, msemaji wa Monusco Manodje Mounoubai amesema kwamba hawatishiki na kampeni za uchochezi zinazo endeshwa na viongozi wa kundi hilo na kwamba wapo tayari kwa mapambano.
Waasi wa kundi la M23 wamekuwa wakitowa vitisho kwa majeshi ya Tanzania, Malawi na Afrika Kusini yanayo tarajiwa kuwa sehemu ya kikosi maalum cha Umoja wa Mataifa UN kitachokuwa na jukumu la kupambana na makundi ya waasi wanaoyumbisha usalama mashariki mwa DRCongo.
Kikosi maalum cha Umoja wa Mataifa kitachopelekwa mashariki mwa DRCongo kinaendelea na maandalizi yake ambapo msemaji wa kikosi hicho felix Prosper Bass naye akadokeza kuwa mipango yote imekamilika na kwamba uchochezi wa kundi la waasi wa M23 dhidhi yao hauna maana yoyote.

mercredi 10 avril 2013

RDC : un film de Thierry Michel sur le gouverneur du Katanga fait polémique

10 avril 2013
 
Le réalisateur belge Thierry Michel, le 10 juillet 2012 à Bruxelles ©AFP
 
BRUXELLES (AFP) - (AFP)

Le réalisateur belge Thierry Michel, auteur notamment de "Mobutu, roi du Zaïre" en 1999, a déclenché une nouvelle polémique en République démocratique du Congo (RDC) en consacrant son dernier documentaire au puissant gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi.

"L’irrésistible ascension de Moïse Katumbi" sera présenté en avant-première au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles le 15 avril, avant d’être mis à l’affiche, le 24 avril, dans un cinéma de la capitale belge où vit une importante communauté congolaise.

Une sortie est également envisagée en septembre en France, mais il y a peu de chances que le film, le dixième de Thierry Michel consacré à l’ex-Congo belge, soit projeté en RDC.

"Qui oserait le présenter" au Congo, s’interrogeait cette semaine à Bruxelles le réalisateur belge, "persona non grata" en RDC depuis qu’il a consacré, en 2012, un film à Floribert Chebeya, militant des droits de l’homme congolais tué en juin 2010 après avoir été convoqué par la police de Kinshasa.

Déjà acteur majeur d’un autre documentaire de Thierry Michel sorti en 2009, "Katanga Business", Moïse Katumbi est cette fois le personnage central du film, qui retrace la fulgurante carrière de ce fils d’un juif séfarade ayant fui l’Europe nazie et d’une Congolaise, devenu à près de 50 ans l’homme d’affaires le plus riche de RDC.
Dans une interview à l’hebdomadaire Jeune Afrique, le "héros" du documentaire a dénoncé les "contre-vérités" du film, de possibles "manipulations" et des "informations qui n’auraient pas été vérifiées".

Depuis, les deux hommes se sont revus."J’ai été très heureux de cette rencontre à Bruxelles dans une atmosphère constructive qui a permis, me semble-t-il, d’éclaircir certains malentendus", écrit Thierry Michel dans une lettre où il répond aux critiques de Moïse Katumbi.
Thierry Michel s’inquiète néanmoins d’être menacé, ainsi que "ceux qui travaillent sur le film" ou "s’obstinent à le diffuser" par un groupe de "Jeunes Katangais" se présentant comme des partisans du gouverneur.

Gouverneur élu depuis 2006 de la province du Katanga (sud-est), dont le sous-sol regorge de minerais, Moïse Katumbi est aussi un homme qui compte dans le camp du président Joseph Kabila, dont il est à la fois "l’allié et le rival", au point que beaucoup voient en lui un possible futur président de la RDC, analyse Thierry Michel.
Dans son documentaire qui couvre six années, l’auteur de "Congo River" dresse de ce "tycoon" africain un portrait en clair-obscur.On le voit surveiller des travaux de réhabilitation du désastreux réseau routier congolais ou tancer des douaniers laxistes.

Thierry Michel donne aussi la parole à des opposants critiquant son populisme et à des "creuseurs", ces mineurs à la sauvette expulsés de leurs chantiers malgré les promesses du gouverneur, ou encore la destruction de la propriété d’un de ses rivaux par des supporteurs du club de football dirigé par Moïse Katumbi, le Tout-puissant Mazembe.

"C’est un personnage complexe, un grand équilibriste", résume le réalisateur belge, qui se défend d’avoir produit un documentaire "à charge".

Difficiles discussions Kinshasa et M23

  FOCUS SUR L'ACTUALITÉ

(BBC Afrique 10/04/2013)


Lambert Mendé a exigé le désarmement du M23 alors que doivent reprendre les discussions à Kampala.

Les deux parties tentent de relancer les négociations qui coincent notamment sur la question du désarmement et de la dissolution du M23. Le dialogue s'était enlisé il y a quelques semaines après l'éclatement en deux factions de la rébellion, et la décision de l'ONU de déployer une force spéciale d'intervention pour neutraliser les groupes armés dans l’est de la République Démocratique du Congo.

Le M23 occupe une partie du Nord–Kivu depuis avril 2012.

Le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mendé a déclaré à la BBC qu’il attendait que le M23 " constate sa dissolution ".Il dit s’appuyer sur la loi congolaise et une résolution des Nations

Unies qui classent le M23 sur la liste des mouvements " hors la loi ".

Le porte-parole du Mouvement du 23 Mars Bertrand BISIMWA a de son côté déclaré sur la BBC que les négociations de Kampala n'aboutiront pas, si des troupes onusiennes sont envoyées dans l’est

de la RDC pour les combattre. Il a ajouté que le gouvernement " doit choisir entre la guerre et les négociations ".

Cette nouvelle phase de négociations s’annonce donc très difficile pour le médiateur de ces pourparlers, le ministre ougandais de la défense Crispus Kiyonga.


Dernière mise à jour: 10 avril, 2013 - 05:41 GMT
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Le député Diomi Ndongala arrêté par la police


(Radio Okapi 10/04/2013)


Le député national Eugène Diomi Ndongala a été arrêté lundi 8 avril par la police et auditionné au parquet de la République. Il est poursuivi dans une affaire de viol sur deux mineures. Selon son épouse, la police n’a présenté aucun mandat pour emmener le député, qu’elle aurait en outre brutalisé et blessé au bras. L’Assemblée nationale a levé il y a trois mois son immunité pour permettre au Procureur général de la République de le poursuivre.

Patricia Ndongala, l’épouse de Diomi Ndongala, a expliqué que son mari a été enlevé vers 22h00 à l’hôtel Cana, dans la commune de la Gombe.

«Un groupe de policiers, menés par le colonel Kanyama lui-même, a brutalisé l’agent Mamba qui est à la porte, les filles qui sont à la réception. Mon mari demande ce qui se passe, il est agressé physiquement, blessé au bras. Sans qu’ils ne présentent un document quelconque, ils l’ont emmené vers une destination inconnue. Et cela, en terme juridique, ne s’appelle pas arrestation. C’est un enlèvement», a-t-elle expliqué.

Le Procureur général de la République accuse le député Diomi Ndongala d’avoir violé deux mineures dans les locaux de ses bureaux en juin 2012. Il avait demandé à l’Assemblée nationale d’ôter l’immunité au député afin de permettre à la justice de le poursuivre.

Bien avant cette demande de levée de son immunité, le député Diomi Ndongala était porté disparu. Il a été retrouvé vivant en octobre 2012. Ses famille biologique et politique ont toujours soutenu que l’opposant avait été enlevé et détenu par les services secrets à cause de ses prises de position en faveur d’Etienne Tshisekedi, l’un des candidats malheureux de la présidentielle de 2011 qui conteste la réélection de Joseph Kabila.

Après son apparition, Diomi Ndiongala, avait à son tour intenté un procès devant le Tribunal de grande instance de Matete au présumé père des deux filles qu’il aurait violées. Il les accuse d’imputation dommageable et d’association de malfaiteurs.

Pour Eugène Diomi Ndongala, il s’agit d’une bande organisée qui aurait saccagé le siège de son parti politique pour attenter à sa vie.

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mardi 9 avril 2013

Kenya: Kenyatta prête serment

Dernière mise à jour: 9 avril, 2013 - 14:18 GMT
Uhuru Kenyatta prête serment, le 9 avril à Nairobi, tandis que son épouse (à droite) tient une bible sur laquelle il pose sa main.
Uhuru Kenyatta, le nouveau président kenyan, sous le coup d’une inculpation de la Cour pénale internationale, a prêté serment ce mardi lors d’une cérémonie d’investiture à Nairobi.
"Moi, Uhuru Kenyatta, conscient du poids des responsabilités qui m'incombent en tant que président de la République du Kenya, je jure fidélité et allégeance à la République du Kenya", a déclaré Uhuru Kenyatta sous les acclamations de quelque 60.000 de ses partisans dans le stade de Kasarani.
La cérémonie s’est déroulée est présence de nombreux chefs d’Etat africains, dont Jacob Zuma (Afrique du Sud), Joseph Kabila (RDC), Goodluck Jonathan (Nigeria), Paul Kagamé (Rwanda) et Salva Kiir (Soudan du Sud).
Le président ougandais Yoweri Museveni a félicité lors d’un discours le Kenya pour avoir "rejeté le chantage" de la CPI.
"Ils utilisent maintenant la CPI pour mettre en place les dirigeants de leur choix en Afrique et éliminer ceux qu'ils n'aiment pas", a estimé Yoweri Museveni sous les applaudissements de la foule.
Uhuru Kenyatta et son colistier William Ruto ont été inculpés par la CPI pour leurs rôles présumés dans les violences post-électorales au Kenya il y a 5 ans, posant un problème aux dirigeants occidentaux dans leurs rapports avec le nouveau chef de l’Etat kényan.
Ces dirigeants vont tenter de concilier leur intention de maintenir un contact minimum avec une personne inculpée par la CPI, et leur volonté de forger des liens plus étroits avec le Kenya, perçu comme un allié essentiel dans la lutte contre l’islamisme dans la régionn.

Jeune et riche

Agé de 51 ans, Uhuru Kenyatta devient le plus jeune président kenyan.
La bible sur laquelle il a posé la main était la même que celle sur laquelle son père, Jomo Kenyatta, avait prêté serment en 1964 en tant que premier président du Kenya.
Il est l'héritier d’une des plus grandes fortunes du pays.
Près de 60.000 partisans étaient venu saluer l'investiture du nouveau président.

Sans évoquer nommément la CPI, Uhuru Kenyatta a estimé dans son premier discours de président que "aucun pays ou groupe de pays ne devrait avoir le contrôle ou le monopole des institutions internationales ou de l'interprétation des traités internationaux".
"Sous ma présidence, le Kenya s'efforcera de respecter ses obligations internationales, tant qu'elles sont fondées sur le principe du respect mutuel et de la réciprocité", a-t-il ajouté.

Kenyatta et Ruto se sont engagé à coopérer avec la CPI à La Haie.
Les diplomates occidentaux ont indiqué qu’ils adopteraient une ligne “pragmatique” avec le gouvernement de Kenyatta.
L’ambassadeur américain au Kenya a d’ors et déjà rencontré Kenyatta la semaine dernière.

En Savoir Plus

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Caf-C1: Mazembe étrille Mochudi chiefs (6-0)

avril 7, 2013, | Denière mise à jour le 8 avril, 2013 à 8:05 | sous Sport. Mots clés: , , ,

Les joeurs de Mazembe se sont retrouvés seuls sur le terrain dimanche 18 novembre alors qu'ils devraient rencontrer V club en match remis de la 20e journée de la Division I/ Photo TP Mazembe
TP MAZEMBE
Les joeurs de Mazembe se sont retrouvés seuls sur le terrain dimanche 18 novembre alors qu'ils devraient rencontrer V club en match remis de la 20e journée de la Division I/ Photo TP Mazembe





















Le TP Mazembe de Lubumbashi est qualifié pour les 8e de finale de la Ligue des champions africaine, après sa large victoire (6-0) devant Mochudi chiefs de Gaborone (Botswana). Au match aller, Mazembe avait déjà gagné par un but à zéro. Le prochain adversaire des Congolais s’appelle Orlando Pirates de l’Afrique du Sud qui a éliminé Zanaco de la Zambie (3-0,2-1).
A la mi-temps, Mazembe a inscrit trois buts grâce à un doublé de Kalaba (8e et 37e) et un pénalty converti par Trésor Mputu à la 17e minute.
Les Botswanais n’ont obtenu qu’un seul corner à la première mi-temps. Mazembe a dominé la partie dans tous les compartiments. Toutes les balles passaient par Ilongo Ngasanya qui a animé le milieu de terrain.
Après les 45 premières minutes, les poulains de Lamine Ndiaye mènent par trois buts à zéro.
Au retour des vestiaires, le rythme du match ne change pas. Mazembe continue de dominer son adversaire. Le coach de Mochudi effectue trois changements qui ne produisent rien.
C’est plutôt Mazembe qui profite des erreurs de la défense de Mochudi pour marquer trois autre buts par Samanta, Mputu et Nkulukuta (88e).
Mazembe passe aux 8e de finale et rencontrera Orlando Pirates. Le match est prévu pour le week-end du 19, 20 et 21 avril.
La RDC ne compte plus qu’un seul représentant dans cette compétition après l’élimination de V club samedi 6 avril par Zamalek d’Egypte (0-1, 0-0).
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Kenya: yaliotokea kwa uchaguzi

 9 Aprili, 2013 - Saa 11:07 GMT

Kenya wiki hii

 9 Aprili, 2013 - Saa 11:07 GMT

Hukumu ya uchaguzi wa Kenya yasubiriwa

 30 Machi, 2013 - Saa 10:48 GMT
Mahakama ya juu kabisa ya Kenya leo itatoa uamuzi juu ya kesi ambayo inapinga ushindi wa Uhuru Kenyatta kwenye uchaguzi wa awali mwezi March.
Raila Odinga
Mawakili wa mpinzani wa Bwana Kenyatta, Raila Odinga walimaliza kutoa hoja zao ambapo kila upande ukisisitiza kuwa una ushahidi wa kutosha.
Lakini sasa wanasubiriwa majaji sita ambao wamekuwa wakisikiliza kesi hiyo kutoa uamuzi wao.
Raila Odinga alikwenda mahakamani akidai kuwa uchaguzi uliofanywa tarehe 4 March ulikumbwa na dosari nyingi na huenda Bwana Kenyatta hakutimiza kipengee cha katiba, ambacho kinamtaka rais awe amepata zaidi ya asili-mia-hamsini ya kura.
Uamuzi wa mahakama hiyo ya juu ya Kenya ni ya mwisho, na kulingana na katiba ya nchi, hauwezi kubatilishwa.

Taarifa zinazohusiana

Kenya

 9 Aprili, 2013 - Saa 11:07 GMT
  • Maelfu ya watu wamejaa uwanja wa Kasarani viungani mwa mji wa Nairobi kushuhudia sherehe za kuapishwa kwa Uhuru Kenyatta
    dakika 34 zilizopita
  • Rais mya wa Kenya aapishwa chini ya katiba mpya na miaka mitano baada ya kufanyika uchaguzi uliokumbwa na ghasia
    1 saa dakika 27 zilizopita
  • Rais mteule wa Kenya, Uhuru Kenyatta, asema katika ujumbe wa Pasaka ataka Wakenya waombe amani
    31.03.13
  • Nchini Kenya kumeanza kutulia Jumapili baada ya ghasia kidogo za Jumamosi usiku kufuatia uamuzi wa mahakama kumpa ushindi Kenyatta
    31.03.13
  • Waziri Mkuu wa Uingereza amepeleka salamu za hongera kwa rais mteule wa Kenya pamoja na wananchi
    30.03.13
  • Mahakama ya juu zaidi nchini Kenya imeamua kuwa rais mteule Uhuru Kenyatta ndiye rais halali wa Kenya kwani alichaguliwa kwa njia huru
    30.03.13
  • Polisi wamedhibiti usalama kote nchini Kenya huku uamuzi wa mahakama ya juu zaidi kuhusu kesi ya uchaguzi ukisubiriwa
    30.03.13
  • Mahakama Makuu ya Kenya yasubiriwa kutoa uamuzi juu ya matokeo ya uchaguzi wa rais wa awali mwezi wa March
    30.03.13
  • Takriban watu 7 wameuawa nchini Kenya baada ya genge la majambazi kuvamia ukumbi mmoja wa kuchezea kamari mjini Malindi pwani mwa Kenya.
    28.03.13
  • Carl Pistorius huenda akakabiliwa na kosa la mauaji ya mwanamke mmoja katika ajali ya barabarani karibu na Johannesburg.

Uchaguzi Kenya ulikuwa huru na wa haki

 30 Machi, 2013 - Saa 14:37 GMT
Willy Mutunga rais wa mahakama ya juu zaidi Kenya
Mahakama ya juu zaidi nchini Kenya, imeamua kuwa rais mteule Uhuru Kenyatta atasalia kuwa rais mpya wa Kenya baada ya kusema kuwa uchaguzi ulifanywa kwa njia huru na ya haki.
Uchaguzi wenyewe ulifanyika tarehe nne mwezi Machi, ambapo hesabu ya kura ilimpa ushindi Kenyatta kwa zaidi ya laki nane.
Rais wa mahakama hiyo jaji mkuu Willy Mutunga alisema kuwa mahakama imekubali kwa kauli moja kuwa uchaguzi ulifanywa kwa njia ya huru na wazi na kuwa Kenyatta na mgombea mwenza wake walichaguliwa kihalali.
Uamuzi huu una maana kuwa Uhuru Kenyatta ndiye ataapishwa kama rais mpya wa Kenya tarehe tisa mwezi ujao
Kesi hiyo iliwasilishwa katika mahakama ya juu zaidi na mpinzani mkuu wa Kenyatta, Raila Odinga baada ya uchaguzi uliofanyika mapema mwezi huu.
Matokeo rasmi yalionyesha kuwa Uhuru alishinda uchaguzi kwa kumpiku Raila kwa asilimia 50.07 huku Raila akipata asilimia 43.28. Matokeo haya yalizuia kufanyika kwa duuru ya pili ya uchaguzi kwa kura 8,100.
Bwana Odinga aliishutumu tume huru ya uchaguzi na mipaka kwa kuhujumu matokeo ya uchaguzi ili kumpa ushindi Uhuru Kenyatta.
Uchaguzi wa urais, wabunge na wajumbe wengine wa serikali, ulifanyika tarehe nne mwezi Machi, ukiwa wa kwanza tangu uchaguzi uliokumbwa na ghasia mwaka 2007 na kusababisha vifo vya watu zaidi ya elfu moja.
Bwana Kenyatta na mgombea mwenza wake ,William Ruto,wanakabiliwa na kesi katika mahakama ya jinai kwa kuchochea ghasia za mwaka 2007. Hata hivyo wamekanusha vikali mashtaka.
Mahakama ya juu zaidi inaweza kuthibitisha ushindi wa Kenyatta au kuubatilisha uamuzi wa wakenya na hivyo kuitisha uchaguzi mpya.
Vyovyote matokeo yatakavyokuwa kuna wale watakaoghadhabika mno.
Rais anayeondoka mamlakani, Mwai Kibaki amewataka wakenya kuwa watulivu na kukubali uamuzi wa mahakama lakini wengi wanatagemea sana idara ya mahakama ambayo imekuwa na mageuzi makubwa na ambayo sasa watu watu imani nayo.
Mawakili wa Odinga wanasema kuwa kesi yao ilihusisha madai ya kuhujumu hesabu ya kura pamoja na matatizo ya usajili wa wapiga kura na vile vile matatizo ya mitambo ya usajili wa wapiga kura.
Mnamo Ijumaa mahakama ya juu zaidi ilidurusu matokeo ya kura katika vituo 22 vya kupigia kura. Na pande zote mbili zilisema matokeo yalithibitisha misimamo yao.
Kenyatta ameutaja uchaguzi huo kama ishara ya kukuwa kwa demokrasia Kenya na ulifanywa kwa njia ya amani.
Tume ya uchaguzi, pia imesisitiza kuwa uchaguzi ulikuwa huru licha ya hitilafu za kimitambo
Wachunguzi wa kimataifa nao walisema kuwa uchaguzi ulikuwa huru na wa haki na kuwa tume huru ya uchaguzi uliendesha uchaguzi huo kwa uwazi.

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