publié il y a 3 heures, 8 minutes, | Denière mise à jour le 3 novembre, 2012 à 12:42
Il a indiqué que c’est sur demande des déplacés que ces fonds ont servi à l’achat des haricots parce que le Programme alimentaire mondial (PAM) les assiste déjà en farine de mais, le riz, de l’huile végétale et du sel.
Tous en saluant ce geste de l’assemblée nationale, ces déplacés demandent le rétablissement de la paix dans leurs villages pour retourner dans leurs domiciles.
« Même si nous mangeons, nos enfants du niveau secondaire ne vont pas à l’école, d’autres sont devenus des enfants de la rue. Nous femmes, nous menons une vie très difficile dans le camp, en tout cas ce n’est pas suffisant. Car les vivres qu’on nous envoie ne suffisent pas. C’est pourquoi, nous continuons à demander la paix pour que nous puissions retrouver notre ancienne vie de chez nous », a affirmé Mme Charly Amunazo, présidente du camp des déplacés de Mugunga.
Les déplacés de Mugunga 3 vivent dans es conditions très difficiles. Ils font parfois deux mois sans assistance de rations alimentaires. Ce camp est aussi confronté aux problèmes de maladies sexuellement transmissibles, notamment le VIH/Sida.
Le camp des déplacés Mugunga 3 dispose d’un bureau de la Police nationale congolaise (PNC) avec un petit cachot pour les délinquants, d’un poste de santé avec un dépôt pharmaceutique. Selon les policiers, il y a environ deux cas de viols chaque mois dans le camp, dont certains sur mineurs.
Ces déplacés ont fui les exactions des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) au Nord-Kivu dans le territoire de Rutshuru. Les insurgés occupent depuis le mois de mai la cité Bunagna et les villages situés entre l’axe Ishasha et Kiwanja.
ilog r a �w� 0�� �ce à un montant de dix mille dollars américains débloqués par le bureau de la chambre basse.
Il a indiqué que c’est sur demande des déplacés que ces fonds ont servi à l’achat des haricots parce que le Programme alimentaire mondial (PAM) les assiste déjà en farine de mais, le riz, de l’huile végétale et du sel.
Tous en saluant ce geste de l’assemblée nationale, ces déplacés demandent le rétablissement de la paix dans leurs villages pour retourner dans leurs domiciles.
« Même si nous mangeons, nos enfants du niveau secondaire ne vont pas à l’école, d’autres sont devenus des enfants de la rue. Nous femmes, nous menons une vie très difficile dans le camp, en tout cas ce n’est pas suffisant. Car les vivres qu’on nous envoie ne suffisent pas. C’est pourquoi, nous continuons à demander la paix pour que nous puissions retrouver notre ancienne vie de chez nous », a affirmé Mme Charly Amunazo, présidente du camp des déplacés de Mugunga.
Les déplacés de Mugunga 3 vivent dans des conditions très difficiles. Ils font parfois deux mois sans assistance de rations alimentaires. Ce camp est aussi confronté aux problèmes de maladies sexuellement transmissibles, notamment le VIH/Sida.
Le camp des déplacés Mugunga 3 dispose d’un bureau de la Police nationale congolaise (PNC) avec un petit cachot pour les délinquants, d’un poste de santé avec un dépôt pharmaceutique. Selon les policiers, il y a environ deux cas de viols chaque mois dans le camp, dont certains sur mineurs.
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