Dernière mise à jour: 2 novembre, 2012 - 18:22 GMT
L'Ouganda doit savoir qu'un pays membre de l'ONU ne peut pas jouer àla fois ACTEUR DE LA PAIX et AGRESSEUR des pays voisins, violeur de la loi internationale sur l'embargos d'armes aux pseudorebelles du M23 en RDC. L'Ouganda et le Rwanda comettent du crime dans leur soutiens de Bosco Ntaganda recherché par le CPI.
Museveni au lieu de t'agiter et faire des tapages médiatiques, tu dois te répentir et présenter tes éxcuses devant l'ONU envers la RDC. C'est plus digne, simple et respéctueux.
Museveni doit savoir que l'Ouganda n'est pas le seul pays capable de fournir une force armée Onusienne en Somalie. MUSEVENI tu n'as qu'à dégagé, t'es Dictateur et t'as comis bcp des crimes chez toi et ailleurs.
L’Ouganda met ses menaces à exécution. Kampala annonce qu'il va
retirer ses soldats de toutes les opérations de paix auxquelles il participe,
dont la Somalie.
C'est le ministre de la Sûreté qui l'a annoncé, évoquant un décret
présidentiel.L'Ouganda voit rouge depuis des fuites d'un rapport de l'ONU qui l'accuse de soutenir la rébellion du M23 dans l'est de la RDC.
Le ministre de la sécurité Muruli Mukasa a déclaré que la décision du président Museveni était irréversible.
Un ministre doit aller à New York pour expliquer la position de l'Ouganda aux Nations unies.
En octobre dernier, un groupe d’experts onusiens, avait accusé l'Ouganda et le Rwanda de soutenir le mouvement rebelle M23, commandé par Bosco Ntaganda, inculpé par la Cour pénale internationale de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Des accusations démenties par les autorités ougandaises.
"Nous allons retirer nos troupes engagées en Somalie, en République centrafricaine et en République démocratique du Congo et les consacrer à notre propre sécurité", affirmé le ministre lors d'une conférence de presse à Kampala.
Le contingent ougandais représente un tiers des effectifs de la force de maintien de la paix conjointe Nations unies, Union africaine, qui est déployée en Somalie.
Il a joué un rôle déterminant dans les récents succès de l’Amisom, notamment la prise de contrôle de la région du port de Kismayo.
"Nous ne resterons pas un jour de plus quand nous recevrons l'ordre de nous retirer", a affirmé Félix Kulayigye, porte-parole des Forces populaires de défense ougandaises, UPDF.
Un retrait soudain d'une partie des troupes de l’Amisom risquerait de compromettre les progrès en matière de sécurité notamment dans la capitale Mogadiscio.
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