L'Abbé Apollinaire Malu Malu n'a pas aidé, il a
même
failli être
récipiendaire du Prix Sakharov à Bruxelles
Un Congolais, fut-il d'origine rwandaise hutu-tutsi ou twa, selon les
descriptions d'identifications ethniques ne tuent pas un Congolais et ne se
confie pas à un chef étranger pour faire valoir ses droits. Un Congolais est
assez fier pour ne pas descendre aussi bas que cela. Et tous les Rwandais, que
je sache, d'après la convivialité qui a marqué les relations congolo-rwandaises
du passé, puisque le présent est assassiné par Paul Kagamé, n'ont jamais eu des
prédispositions anti-congolaises conduisant au génocide de nos concitoyens.
C'est à partir de 1996, avec l'AFDL, qui est une œuvre démoniaque du
tandem Kagamé-Museveni et
manufacturée pour leur homme de paille, Laurent
Désiré Kabila, que les liens de cordialité traditionnels se sont
coupés entre les Rwandais et les Congolais. Les nouveaux venus au pouvoir, en
provenance de l'Ouganda, ont monté les enchères des relations ordinaires pour
les mettre au niveau du chantage et du mépris
militaro-stratégique. Le Rwanda, avec
Paul Kagamé s'est fait un bœuf
devant le Congo. Or, les Congolais ont été éduqués depuis leur bas âge de ne
jamais persécuter le Rwandais et cela fut même inscrit dans la Charte coloniale et le livre de civisme en usage
dans les écoles congolaises.
Or que voit-on de la part de Kigali
? C'est le Rwanda du FPR qui a initié une politique raciste, ségrégationniste
et nihiliste à l'encontre des valeurs partagées ensemble et court-circuitant en
même temps les affinités forgées par la courroie de transmission de la mutualité
congolo-rwandaise. Ce faisant, même les assises de la CEPGL se sont vues condamnées, démontées et
confisquées à leur mission. La réalité de cette haine visible du pouvoir de
Kigali contre Kinshasa, ce sont la multiplication des foyers de tensions, des
conflits et des guerres larvées qui n'ont d'effets que l'émergence des drames
humanitaires sans fin. C'est ici que l'on découvre l'origine des intentions
haineuses du CNDP. Un Congolais
vrai ne peut pas infliger ces cruautés récurrentes à ses compatriotes, peu
importe d'où il provient au sein de la République. Le
civisme, l'éthique et l'attachement à la Nation interdit à tout Congolais de
haïr les siens, de les maltraiter et de les humilier en les
déplaçant comme du cheptel humain d'esclaves dirigés par les caravaniers vers
Nyangwe et Zanzibar, ces marchés des négriers du
"Coke en Stock".
Ceci dit, le profil
ethnologique du personnage qui joue au Ghengis
Khan avec les Congolais et sa fiche d'identité ne sont pas
un secret pour la MONUC ni pour la
Communauté internationale. Laurent
Nkundabatuare est un dossier de la CPI, du TPI, de l'Interpol,
des ONGs, des Juges français et espagnol, Jean-Louis
Bruguière et Baltazar
Gazon. Tous, Institutions, juristes et policiers ont déjà
enquêté sur lui, les uns pour les charger de peine pénitentiaires proportionnels
à ses méfaits et d'autres pour se documenter sur sa personne autour des
massacres commis à Kisangani, à Bukavu, à Goma, à Kanyabanionga et à bien
d'autres endroit. Bien entendu, il est dans le collimateur avec son
compère, Jules Mutebusi. De mon
côté, je dispose des informations dignes de foi de ce personnage, car mes
sources ne sont pas éloignées de celles de ces grandes Organisations
internationales de Police et des enquêtes criminelles. Par ailleurs, je connais
les relations congolaises de Nkundabatuare à l'Université de
Kisangani.
En complément de ce que
j'affirme ci-haut, il y a aussi un autre Congolais qui a fait la même démarche
et qui ramène à l'évidence ma certitude sur la non-congolité de Laurent
Nkundabatuare :
"Nkundabatware n'est pas Congolais ! Mêmes les Occidentaux eux-mêmes le disent
tout haut! Sam Killey, un grand journaliste d'investigation Britannique a
déclaré au cours d'une séance tenu au Parlement de Londres que Nkundabatware est
un officier Tutsi Rwandais de l'APR. Il n'est pas Congolais! Son collègue
Jonathan Clayton vient de révéler dans un article publié dans le quotidien
Britannique The Times le 31 octobre 2008 (page 45) que Nkundabatware [tout comme
Ruberwa] est né au Rwanda et qu'il joue le rôle de "proxi" pour Paul Kagamé afin
d'annexer l'est du Congo au Rwanda. En dépit de toutes ces preuves, il n'y a que
Joseph Kabila qui continue de considérer Nkundabatware comme "un fils égaré".
Source : Antoine Lokongo, le 31 octobre
2008.
Soudard, Nkundabataure déménage les familles congolaises à son gré et ne
s'empêche pas de lancer des défis insolents aux troupes de la MONUC. Ceci s'est
passé aux portes de Goma, le 29 octobre 2008. Pourtant, quoi qu'il clame être
fils de chef coutumier congolais, Nkundabatuare n'en est pas un. Cet homme
profondément, Kagaméen au casier judiciaire chargé et haïssant
de toute son âme et de toutes ses forces la RDC n'est pas un Tutsi congolais comme on le présente dans les
médias, il est rwandais. Toute la famille
de ce généralide et sa descendance la plus proche habite au Rwanda. Que l'on se
permette délibérément cette enquête pour vérifier mes allégations, on en
reviendra édifié. Quand se tairont les armes, la vérité sortira au grand jour.
À cause de cette vérité-là, il est important de ne plus donner à ce tueur à gage
la visibilité congolaise coiffée du titre de Tutsi congolais, Nkundabatuare
est bel et bien un sujet rwandais.
Depuis
le 29 octobre, TV-5, dans son
journal télévisé a commencé par nommer ce tueur comme Tutsi-rwandais.
Nkundabatuare ne va pas devoir se sortir du bourbier des drames qu'il a
provoquée à grande échelle en évoquant la sécurité unilatérale des Tutsis au
détriment de celle de tous, l'infraction est individuelle et ne poursuit que son
auteur. Ce qu'il faut retenir de cette petite histoire, c'est le fait
que Nkundabatuare n'est pas Tutsi congolais, il est
rwandais. Pour le reste, c'est de la falsification tout court.
Dans la décision que nous devons prendre, il faut que nos journalistes et nos
communicateurs arrêtent de coiffer ce tueur de la nationalité congolaise.
Nkundabatuare est un soldat de l'Armée rwandaise qu'il sert avec ses multiples
agressions.
Congolaises,
Congolais,
Peuple du Vendredi
Saint
VOICI VENU LE
TEMPS DU SURSAUT PATRIOTIQUE
Le temps de la mise en demeure de "Paul
Kagamé" a sonné, car c'est lui le Diable dans la bouteille qui
agite la RDC à sa guise et à sa complaisance. Il n'est point nécessaire de
chercher à le disculper puisque le temps de porter le fardeau de la preuve est
révolu. Les rapports de l'ONU ont montré hors de tout doute que, sous le
couvert de protéger les frontières rwandaises contre les incursions des milices
armées interhamwe, la vérité est que la guerre dans l'Ituri et le Kivu étaient
des expéditions des vols, des viols, des pillages sur tous les genres vivants, à
savoir le Congolais, la Congolaise, les animaux et la nature.
Assez, c'est assez, c'est
maintenant que l'histoire, dans les événements courants nous donne la
permission de répondre par l'épée à l'espadon de l'ennemi, à la machette et aux
balles qui vident le Kivu et la RDC. "Plus de six
millions des Congolais morts est un bilan hideux". Notons, en
passant que le Rwanda a tué dans toutes les provinces de la RDC et il s'est
permis un raid audacieux au dessus du ciel congolais, le 2 août 1998, pour finir
par priver de l'électricité, la RDC, le Congo Brazzaville, l'Angola, l'Afrique
du Sud, la Namibie et le Gabon en assiégeant le barrage de Inga.
Le but de toutes ces
guerres, en dehors des intérêts des compagnies multinationales nord-américaines
et européennes, au sein desquelles se retrouvent des anciens premier ministres
du Canada, de Grande Bretagne, de l'Australie, de la Nouvelle Zélande et des
gros canons de l'Administration des Secrétariats d'états des États-Unis, Paul
Kagamé veut par l'instabilisation de la République Démocratique du Congo
disposer du Nord-Kivu comme Léopold II avait pour possession l'État Indépendant
du Congo. En fait, à quoi veut-il en venir dans l'immédiat
:
-
Créer un État rwandophone, un Nkundaland à défaut d'une annexion pure et simple ;
-
Obliger la RDC de négocier avec Laurent Nkundabutuare pour imposer les desireratum de Kigali en vue de garantir les ambitions de Kigali sur le Nord-Kivu ;
-
Obliger Kinshasa de renvoyer loin les FARDC afin que la zone de la Vallée de Ruzizi devienne une zone tribale comme en Afghanistan ;
-
Intégrer le Nord-Kivu dans une sorte de Confédération tribalo-ethnique au sein de laquelle le Rwanda et le centre du leadership de la Région des Grands-Lacs au détriment de la RDC, alors que c'est une zone pour l'intérêt de tous ;
-
Laisser un testament qui incite les fanatiques de la notion d'eugénisme et de racisme dont il se prévaut à créer un jour un pays indépendant soustrait du territoire congolais le long de la corniche de Rutshuru, Masisi, Goma et Kalehe, promontoire frontalier de la Vallée de Ruzizi.
C'est maintenant l'heure du combat
final et décisif qui a sonné et de partout que l'on entende le clairon dans le
cœur des Congolais fâchés. Sans tarder, revêtons notre curasse comme Gédéon,
portons notre équipement de guerre, passons de la tempérance à l'offensive, car
le canon de l'ennemi tonne en son cratère, mettons fin à son irruption en
renvoyons KO les dirigeants de Kigali et de Kampala, contaminés par le démon qui
défie Dieu, à travers sa créature, les Congolais, comme au temps où Lucifer a irrité le Créateur de toutes les puissances visibles et
invisibles. Voici, peuple congolais venu le temps
du sursaut patriotique et paraphrasons
"la Marseillaise" en disant : "Allons z'enfants de la Patrie le jour de gloire est
arrivé". La tyrannie a assez duré, nous avons gagné la bataille
contre le mensonge, la propagande et la calomnie, c'est à notre tour de gagner
la guerre sur le terrain dès que le premier coup de feu nous sera tiré par ceux
qui nous ont menés une vie de chien avec leurs parrains qui les rétribuaient nos
femmes, nos filles et nos enfants.
Une guerre ne se fait pas
sans mode opératoire, la nôtre serait une résistance populaire et citoyenne.
Elle devra être un refus d'être des victimes à perpétuité de la barbarie de la
philosophie de Paul Kagamé et son
intime cannibale d'ami, l'ogre Yoweri
Museveni. Nous devons être prêts à riposter avec tout ce que
nous disposons pour nous défendre. Quand l'ONU ne nous défend pas, nous devons
prendre l'ultime résolution nous-mêmes d'être les boucliers de notre peuple. Ce
faisant, lorsque les envahisseurs surviendront en nous surprenant démunis, ce
que nous devrons faire doit emprunter ces artifices d'auto-défense
:
-
Il faut d'abord Créer les conditions pour créer le contexte du consensus congolais contre la rébellion et réunir les conditions pour passer à l'offensive contre les rebelles sans contre-ordre hiérarchique ;
-
Destituer Joseph Kabila, car c'est lui qui gangrène la fin des rébellions, l'odyssée de Budja Mabe est la parfaite illustre de cela,
-
Changer des techniques de combat en abandonnant les méthodes classiques des États-Majors et des Écoles de guerre, utiliser les armes naturelles par l'usage du règne animal contre l'ennemi. Les Romains ont utilisé les oies comme radars et les rats comme missiles. Les Congolais peuvent utiliser dans leur infanterie populaire des serpents, des abeilles et les matshatsha des bambous (les manionia ya shimbala) etc ;
-
Encercler les rebelles par la ceinturage des zones qu'ils occupent avec le concours de la population qui connaît très bien les contours du relief de son patelin. Après tout, celle-ci doit regagner au plus vite sa localité et son habitat ;
-
Constituer des phalanges qui créent les conditions pour les embuscades surprises contre les forces d'occupation et empêcher toute mobilité de ses hordes ;
-
Créer des réseaux secrets de communication et de transmission des ordres d'auto-défense ;
-
Tendre des pièges traditionnels sur les pistes qu'empruntent les tueurs qui égorgent les Congolais ;
-
Traumatiser psychologiquement les assaillants et leur lancer, par nos chefs coutumiers et nos mères, des malédictions et dire à Nkundabatuare qu'il est déjà pris dans les maillons d'un signe de malheur ;
-
Faire une guerre de résistance comme les Français l'ont faite contre l'Allemagne nazie, Kagamé en est un mégalomane qui rêve au succès de Hitler ;
-
Organiser un corps secret de commando avec tous ceux qui connaissent l'art militaire du combat de choc avec un petit nombre des combattants d'avant-garde pour des incursions de sabotage et d'attaque ;
-
Détourner les combattants illégaux des pistes vers lesquels ils se dirigent pour agresser la RDC en les égarant avec des faux signaux d'alerte ;
-
Fissurer la cohésion des troupes des brigands avec des actions incitant à la défection de leurs rangs avec l'usage des tracts, le recours à l'agitation et la profération des injures ;
-
Dégonfler la force morale des rebelles et en leur coupant les voies de ravitaillements avec les techniques de combat empruntées à nos ancêtres ;
-
Découvrir les itinéraires des entrées illicites des armées rebelles et progresser jusqu'à leurs entrepôts pour faire sauter leurs explosifs ;
-
Rechercher les faiblesses de la rébellion et prendre la résolution par l'antidote de la surprise en vue de les rétracter dans leur assurance ;
Si les autres peuples
réussissent à défendre ce qui leur appartient avec cran, les Congolais le
peuvent aussi. Notons que le Nord-Kivu est déjà occupé, le déplacement des
populations est précédé par l'occupation du terrain et la prise de possession
des parcelles que Kigali offre à ses immigrants illégaux chargé de construire
une majorité fictive pour être en position de revendiquer ce territoire lors des
velléités d'indépendance. La plupart des Banyarwanda du Congo ont été massacrés
par Laurent Nkundabatuare et le Front Patriotique rwandais lors des premières
invasions. Les Congolais de langue kinyarwanda constitue le plus grand danger
contre le régime de Kigali, car ces derniers ne voudront pas céder leurs terres
aux nouveaux venus qui ne sont là que pour servir leurs propres intérêts et la
mafia qui les a recrutés. Il n'y a plus maintenant qu'à faire un sursaut
patriotique doublé d'une décision de ne pas se laisser faire.
Le Commandant espagnol de
la MONUC, le Général Vicente Diaz de Villegas a démissionné parce que
Paul Kagamé l'a menacé de mort. En effet, celui-ci voyait en lui un agent
rapproché du "Juge Baltazar Garzon"
qui a inculpé le Président Rwandais de crime de guerre et de crime contre
l'humanité tout en le poursuivant pour la mort des religieux de son pays tués au
Rwanda mystérieusement. L'ONU sait
pertinemment bien pourquoi ce Général de haute facture militaire est parti.
Loin d'être une question de l'insuffisance des équipements, la MONUC n'a pas non plus aimé cet homme à cause de
ses implications dans divers trafics au Congo par ses membres, tant du corps des
Forces armées que du personnel civil. Le départ du Général Vicente Diaz de Villegas Officier de prestige est
un bon débarras pour la MONUC et
pour Kigali. La rébellion au Congo peut finir très vite, l'ONU a freiné la
guerre des Six jours et celle du
Yom Kippour, elle a croisé les fers
avec les Gendarmes katangais. La
vérité dans tout ça, c'est le manque de volonté d'en finir avec l'agression
rwando-ougandais qui paie les compagnies multinationales du G-8, c'est
tout.
Laurent Nkundabatuare est
protégé par les États-Unis, l'Union Européenne, l'ONU, le Rwanda qui le
ravitaille et l'Ouganda qui l'aide en attaquant la RDC par les groupes armés de
LRA en vue de distraire toutes les offensives de front que les FARDC mènent
contre le CNDP. La MONUC ne fera
jamais rien, le contingent du Pakistan qui est le plus nombreux du Corps des
Forces Armées étrangères sur place est la branche qui refuse plus que tout autre
bataillon de se battre. Pourtant, c'est la RDC qui rétribue le personnel de l'ONU au Congo
par ses charges de cotisation et ses obligations de pourvoir au salaire des
agents du Palais de verre en mission. Alors à quoi bon d'écouter encore la
MONUC, l'ONU et les intervenants opportunistes des puissances extérieures. Ne
sont-ce pas eux qui tirent les ficelles sur les massacres en RDC parce que la
mort des Congolais génèrent des milliards ? ....
Congolaises,
Congolais,
Peuple du Vendredi
Saint,
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