Le Général "Léonard Mulamba"
Léopoldville
Décembre 1965 au Mont Stanley
"Défendons la
République"
"Debout Congolais
sans capituler"
Hommage aux Congolaises et
Congolais abandonnés par l'ONU,
tués par Paul Kagamé, Yoweri Museveni,
Laurent Nkundabatuare
et commandités par les multinationales
d'Europe, d'Amérique du Nord
et d'Afrique du
Sud
Copies : Au Saint Père le Pape Benoît
XVI ;
À Sa Majesté la Reine
Élisabeth II du Royaume-Uni ;
Au Roi Albert II de Belgique
;
Au Président George Bush des
États-Unis d'Amérique ;
Au Président Nicolas Sarkozy
de France ;
Au Président Shimon Perez
d'Israël ;
Au Premier Ministre du Canada,
le Très Honorable, Stephen Harper,
Préambule :
Le spectacle de la guerre au Congo sont
des images d’un autre âge, il s’est produit des tueries des masses, des
décapitations, des mutilations, des vols des organes comme les reins dans les
camps des réfugiés, des viols des femmes et d’hommes sans oublier le pillage
systématique de tout le territoire congolais. Les Congolais, après tous les
sévices subis, n’ont pas des fosses communes, leur mort n’a pas de trace, elle
demeure mystérieuse. Les États-Unis cautionant ces exactions là, n’est pas
l’Amérique de Philadelphie ni celle des citoyens d’aujourd’hui dont on connaît
l’attachement sincère à la bannière étoilée et aux principes qui l’ont fondés.
Il est temps que le Congrès interpelle les Démocrates pour l'un usage abusif
qu'ils ont fait de la puissance de l’État quand ils étaient au
pouvoir. Source Djamba Yohé, adresse aux Présidents
George Bush et Jacques Chirac, le 24 octobbre
2006.
Congolaises,
Congolais,
Peuple du Vendredi
Saint
I. ALLONS AU COMBAT, LA GUERRE TOTALE
VIENT DE COMMENCER
Cessons d'avoir peur, la Communauté internationale nous a
abandonné depuis longtemps, elle participe à notre extinction par son silence et
son indifférence, elle nous a livrés aux bourreaux qui tuent notre race et notre
espèce, elle nous a condamnés à mort par les chaînes de la captivité humiliante
entre les serres d'un État nain. C'est ce jour de l'Halloween, en
ce 31 octobre 2008, que les dieux maudits nous aspirent dans les antres de leurs
fournaises inextinguibles à perpétuité. L'ONU, les États-Unis d'Amérique,
l'Union Européenne, l'Amérique du Nord, le monde Anglo-Saxon, la Francophonie
internationale ainsi que l'Afrique noire ne sont plus avec nous, nous Congolais
de la République Démocratique du Congo.
Au prochain coup de feu, levons-nous sans
tarder et ripostons aux tueurs en leur infligeant la mort et la peur à leur
tour. Paul Kagamé et Laurent Nkundabatuare
doivent eux aussi avoir peur, mais surtout, ils doivent nous respecter. Pour
faire face à ce défi, attaquons nos agresseurs avec toutes les armes et les
moyens de défense que nous disposons. La volonté de vaincre nous affranchira de
l'éviction et le mal qui ne cherche qu'à nous abattre avec sa faucille sera
détruit. Pour gagner une bataille décisive, l'affrontement ne requiert pas
absolument l'équité des dispositifs de combat, les hommes et les femmes
déchaussés parviennent à vaincre Goliath et ses légions. Ici, ce sont des
roitelets qui assaillent la RDC avec les gants de Gulliver. Nous sommes
capables de risposter et de repousser les assauts de ceux qui ne nous aiment pas
et qui nous détestent pour ce que nous sommes et ce que nous avons.
Il est plus que temps de nous charger de
notre auto-défense sans la cuirasse des autres, l'heure a sonné pour montrer les
muscles aiguisés de notre volonté contre la tyrannie de la rébellion commanditée
de très loin, sinon ce sera trop tard, car les massacres ont assez duré et
la mort n'a que trop été semée dans notre paysage national. Si la terre se
rassasie des victimes qui lui sont offertes en holocauste, elle nous aurait déjà
demandé d'arrêter de la nourrir pour qu'elle ait le temps de digérer les vies
qui lui ont été sacrifiées. Nous risquons au rythme des multiplications de
pogroms successifs de notre peuple, de déplacements de nos concitoyens au gré
des fuites et de la désolation des familles que l'on soumet aux exodes
infernaux, de perdre définitivement le Kivu au sens large du terme et le
Nord-Kivu au sens précis et réduit de la stratégie de la terre brûlée que
pratique le Rwanda et son homme de
crime Laurent Nkundabatuare. Kigali
a des prétentions sur la RDC, ne nous leurrons pas là-dessus. Et cette perte
sera un trophée facilement acquis tellement que cette province n'aura pas pu
résister, car elle ne pourra pas se battre faute des combattants, ils auront
tous été tués comme les Romains à Alésia, en l'an 52 avant Jésus Christ par Vercingétorix, le Roi
redoutable des Gaulois. Dans un Kivu vide, le Rwanda fera sien
cette province vidée de ses vies humaines.
Ce qui vient d'être transgressé par Laurent
Nkundabatuare au cours de ce mois d'octobre dépasse tout entendement, cet homme
sans compassion qui déplace des multitudes des Kivutiens, mérite une correction
suprême. Son crime à vaste échelle, par les offensives à répétitions contre le
peuple congolais, est suffisamment éloquent et grave pour provoquer notre
colère, le devoir de nous défendre nous oblige de l'affronter en dehors de tout
cadre de résolution de conflit, car toutes les régies des Nations-Unies, des
Grandes puissances et de la presse internationale fonctionnent à son
avantage, en particulier la MONUC. Ce matin, c'est l'armée congolaise qui est
reprochée par la MONUC à travers, Madame, la Haut Commissaire, Navi Pillay. Or, si ses contingents avaient
protégé les Congolaises et les Congolais dans le remue-ménage de Goma, cette
situation ne serait jamais arrivée. Par ailleurs, Laurent Nkundabatuare, en
dépit de son orgueil de faux vainqueur, il a le culot de défier la MONUC en lui
disant à la barbe et au nez de tous qu'elle n'est pas capable de le contenir
s'il veut envahir Goma. De cette façon, Madame de la MONUC, montre les
penchants de son organisation en prenant la part du tueur des masses. Cette
déclaration est pareille à celle de quelqu'un qui soutient
Hitler dans la solution finale.
En véritable filles et fils de la RDC, face
au rejet que nous encourons sans cesse, nous ne devons plus nous dérober en
espérant une hypothétique protection que nous assureraient l'ONU et les autres
intervenants des Organisations internationales en Instance en RDC. Ces
ambassades n'ont que trop traîné pour nous couvrir sous leurs ailes
humanitaires. Dans la Sainte Bible,
il est dit dans l'Ecclésiaste : "Il y a un temps
pour tout". Voici donc pour nous Congolais le temps de faire la
guerre quand on nous attaque, nous n'avons plus de compte à rendre à quiconque
ni à aucune autre Organisation mondiale, car les conflits du même âge, ailleurs
dans le monde, ont été résolus en un rien de temps, mais au Congo, c'est la
perpétuité des malheurs qui sied.
Je redis encore, soyons prêts
au prochain coup de feu pour aller au front sans tergiverser, demeurons ferme
dans la poursuite des bandits que nous devrons traquer jusqu'aux confins de
leurs territoires par rapport au point des rampes balistiques qui déversent les
obus de Katioucha dans notre collectivité nationale. C'est notre droit le plus
absolu de riposter contre l'agresseur, nous ne sommes pas les auteurs du
génocide au Rwanda et nous ne sommes pas des Hutus non plus. La guerre que le
Rwanda nous fait est une guerre raciste imbue de vanité et qui fait appel à
l'eugénisme et à la consanguinité. Paul Kagamé,
"sans le mandat des Tutsis", car il
faut bien reconnaître que le discours du Président rwandais sur son ethnie et
truffé d'arbitraire, clame et proclame unilatéralement à qui doit l'entendre que
les membres de sa tribu sont des êtres supérieurs, alors que tous les autres
voisins de la périphérie et même du cœur de la république rwandaise qui ne sont
pas Tutsis, sont des êtres inférieurs, des cancrelats, donc des "nienzi". Les Congolais sont affublés de tout.
Ce sont les BMW, ce sont des
paresseux, ils n'ont qu'un Général, c'est Matumona
dit Defao, cet ancien musicien de
Grand Zaïko, à
Kinshasa.
Franchement, ne nous
interrogeons plus sur ce qui nous arrive même si nous ne le savons que trop.
Elles sont devenues claires les nébulosités des convulsions de guerre. Le siège
et la prise de Goma confirment l'ultime but que s'était donné Kigali et ses
alliés qui ont ouvert des Consulats à Bukavu et à Goma. En effet, il fallait
que ces puissances s'installent dans ces villes pour que devint facile tous les
assauts pouvant décourager toutes batailles d'auto-défenses de ces chefs-lieux
ambitionnées par Kigali. Une ville au sein de laquelle habitent les Consuls des
États-Unis, de France, de Belgique, de l'Union Européenne, de Grande Bretagne,
d'Allemagne et les membres des ONGs ne peut pas faire l'objet d'insécurité
délibérément gratuite de la part d'un bandit de grand chemin, une localité ainsi
identifiée est une forteresse barricadée et infranchissable par des services
de sécurité et de surveillance.
Partant, une ville comme
Goma, avec toutes ses personnalités hôtes, qui tombe comme une mouche saoulée à
l'insecticide n'est pas un fait du hasard, il y a eu au niveau le plus élevé des
chancelleries occidentales un agrément tacite. Nkundabatuare est dans le secret
des commanditaires par son bouclier rwandais, l'assassin des Congolais à foison,
Paul Kagamé. Washington, Paris et Bruxelles étaient au courant de l'assaut et
ont laissé faire, car "un nain
spatio-temporel" comme "Laurent
Nkundabatuare" devant les grandes puissances du monde ne peut
pas se permettre une audace qui met en danger les vies des diplomates
occidentaux sans encourir des représailles graves de leur
part.
Hélas, comme maintenant le
ton entre le Rwanda et la
RDC n'est plus qu'un son de
cacophonie animé par celui qui croit avoir avalé le géant État-Nation de
l'Afrique centrale, j'ai cité le Congo, plus rien, aujourd'hui et maintenant,
n'oblige les Congolais à observer les interdits de la coutume congolo-rwandaise,
aucune attache ne tient plus les Congolais à être des amoureux à sens unique en
face d'un frère devenu Caïn, ici c'est Paul Kagamé et sa
Cour. Dans le Nouveau
Testament, il est dit clairement par le Christ : "Soyez doux comme des colombes et prudents comme des
serpents"; et le même Auteur messianique ajoute dans d'autres
enseignements de sa doctrine : "Qui n'assemble pas
avec moi disperse".
Effectivement, doux comme
des colombes, les Congolais l'ont été et le sont encore, mais prudent comme des
serpents, c'est ce que nous devons apprendre à être, c'est à cela que nous
devons tendre pour juguler les méfaits de la conduite de Kigali au Kivu,
désormais. Un serpent est un animal très habile et agile qui veille prudemment
à sa sécurité. Pour nous jeter à vue d'œil au cœur du combat qui nous
attend, il est impérieux que nous ayons la prudence des reptiles. Nous serons
des serpents par sa rapidité de voir et d'échapper au danger, nous deviendrons
des caméléons, par la qualité immédiate de cet animal de s'intégrer et
de s'adapter à toute forme de nature que nous proposera l'écran de
l'environnement. On nous a assez tués et humiliés. Que nous reste-t-il encore
comme réflexe à braver ?
Écoutons l'alarme de
l'horloge de légitime défense. "Il nous faut maintenant aller au combat,
la guerre totale vient de commencer", car
cette fois-ci, l'Amérique du Nord, l'Europe et le monde entier ont découvert
malgré eux, la noblesse de notre tempérance et de notre patience. Pendant ce
temps, 40.000 femmes victimes des
exodes successifs, tous les jours, mettent au monde des enfants dans la brousse
sans assistance médicales et conditions hygiéniques élémentaires. On ne peut
pas nier ce que je dis, "il y a plus de 2.000.000 des déplacés de guerre au Nord et au Sud du
Kivu". En tout cas, les horreurs dépassent
l'entendement et la fiction s'est consacré comme imaginable dans les conditions
les plus abjects de la réalité. Et ceci sont l'ouvre de Paul Kagamé et Laurent
Nkundabatuare. L'ONU doit s'interroger sérieusement sur sa
raison d'être ! Nous, Congolais, n'avons pas d'excuse de permettre encore ces
récidives de crimes.
Congolaises,
Congolais,
Peuple du Vendredi Saint
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