jeudi 19 février 2015

à Goma, Tiken Jah Fakoly appelle les artistes congolais « à prendre position » pour défendre leur nation la RDC qui est en péril.


RDC-Festival Amani : à Goma, Tiken Jah Fakoly appelle les artistes congolais « à prendre position »-Jeune Afrique

La RDC est malade, en péril, Dit TIKEN JAH FAKOLY... il faut la soigner, la défendre, la protéger
Debout les congolais..
février 17, 2015, | Denière mise à jour le 17 février, 2015 à 8:47 | 
Musicien TIKEN Jah Fakolly
Environ 12 000 personnes étaient attendues dimanche au stade du collège Mwanga à Goma, dans l’est de la RDC, pour la clôture du Festival Amani. 
Une deuxième édition marquée par la présence de l’Ivoirien Tiken Jah Fakoly qui appelle à l’unité et invite les artistes congolais à s’engager pour leur pays.
La magie du Festival Amani a une fois de plus opéré à Goma, dans l’est de la RDC. Comme lors de sa première édition, des milliers de festivaliers – environ 12 000 selon les organisateurs – sont venus bouger au rythme de la musique congolaise, rwandaise, mandingue, voire de l’hip hop ou du reggae, ce dimanche 15 février.
“Ce n’est qu’ici que l’on voit ça”, s’est exclamé, samedi Marcel Kahere, un jeune de Goma parmi les 8 000 spectateurs présents dans le stade du collège Mwanga, lorsque le Malien Habib Koité a invité le Congolais Bill Clinton à monter sur scène pour “chauffer” la foule. Une foule qui était déjà bien envoûtée par le folk mandingue.
Même si ce dernier n’est pas très populaire en RDC. “Mais le public a été très attentif et le message est passé : celui de l’échange et de la rencontre, et surtout de la tolérance”, s’est félicité l’artiste malien, estimant que sa “mission [à Goma] est accomplie”.
Ce n’est qu’au Festival Amani également que l’on peut voir un artiste du Rwanda venir saluer la mémoire d’un officier congolais. 

Dès le premier jour de la manifestation, Mani Martin a en effet rendu en chanson un hommage au colonel Mamadou (nommé général à titre posthume) qui a incarné la victoire de l’armée congolaise sur la rébellion du Mouvement du 23-Mars (M23), laquelle était soupçonnée notamment par les experts onusiens de bénéficier du soutien de Kigali. Ce que les autorités rwandaises ont toujours démenti.

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