Tout est parti d'une rumeur ce jeudi matin 18 juillet, selon laquelle le colonel Mamadou Ndala, en charge des opérations militaires contre le Mouvement du 23-Mars, aurait été rappelé en urgence à Kinshasa sur ordre de sa hiérarchie. Cette rumeur a provoqué une véritable panique.
Aussitôt, des centaines d'habitants ont afflué près de l'aéroport de Goma pour protester et empêcher le départ de ce colonel, car ces derniers jours, Mamadou Ndala est devenu très populaire auprès de la population qui estime que c'est grâce à lui si l'armée a remporté des victoires contre le M23.
Une source onusienne évoque même un bilan très lourd pour les rebelles : plus de 250 morts depuis dimanche 14 juillet. Très vite, le porte-parole de l'armée a démenti la rumeur et dénoncé une manipulation de rebelles. Quoi qu'il en soit, ces événements illustrent bien la défiance de la population de Goma vis-à-vis des autorités du pays.
Certains manifestants s'en sont directement pris au chef de l'Etat dans leurs slogans. D'autres ont même caillassé des véhicules de la Monusco.
Il accusent les Nations unies de ne pas suffisamment soutenir l'armée et de faire pression sur Kinshasa pour que les combats s'arrêtent, au profit de négociations. Des négociations au point mort et auxquelles plus grand monde ne croit.
Aussitôt, des centaines d'habitants ont afflué près de l'aéroport de Goma pour protester et empêcher le départ de ce colonel, car ces derniers jours, Mamadou Ndala est devenu très populaire auprès de la population qui estime que c'est grâce à lui si l'armée a remporté des victoires contre le M23.
Une source onusienne évoque même un bilan très lourd pour les rebelles : plus de 250 morts depuis dimanche 14 juillet. Très vite, le porte-parole de l'armée a démenti la rumeur et dénoncé une manipulation de rebelles. Quoi qu'il en soit, ces événements illustrent bien la défiance de la population de Goma vis-à-vis des autorités du pays.
Certains manifestants s'en sont directement pris au chef de l'Etat dans leurs slogans. D'autres ont même caillassé des véhicules de la Monusco.
Il accusent les Nations unies de ne pas suffisamment soutenir l'armée et de faire pression sur Kinshasa pour que les combats s'arrêtent, au profit de négociations. Des négociations au point mort et auxquelles plus grand monde ne croit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire