Insee)
qui révèlent l'ampleur de la dette. En 2012, le déficit public de la
France s'élève à 4,8% du PIB au lieu des 4,5% prévus initialement par le
gouvernement. Ce mauvais résultat éloigne encore un peu plus Paris de
l'objectif de revenir dans les clous, en réduisant son déficit à 3%.
"Pour combler sa dette et son déficit public, la France va en Afrique pour créer des guerres du pétrole, du cacao, du diamant, uranium, de l'or, ..." La Néofrancafrique atroce, Quelle misère pour l'Afrique ?
Le niveau record de la dette publique française constitue une
mauvaise nouvelle pour Paris qui voit son déficit agravé. Ce sont les
derniers chiffres publiés par l'Institut national de la statistique et
des études économiques (
Les chiffres publiés par l'Insee sont une mauvaise surprise, surtout pour le gouvernement qui s'était engagé à réduire le déficit public de
la France à 4,5% , allant même jusqu'à affirmer que le chiffre serait
respecté à un dixième près. Seulement voilà, le déficit est finalement
de 4,8% et la dette continue d'exploser.
À la fin de l'année 2012, on a même atteint un nouveau record avec un chiffre qui donne le vertige : la dette publique atteint 90,2% du PIB contre 85,8% en 2011.
Alors pourquoi un tel écart ? Bercy l'explique par une hausse imprévue de 0,1% du déficit public en 2011, laissée par le gouvernement précédent, par le budget rectifictaif européen et par la dégradation de la situation économique en Europe et en France. On se souvient à l'automne dernier d'un certain optimisme de la part du gouvernement. Un positivisme qui laissait sceptique les économistes. Le ministère de l'Economie et des Finances annonçait lui une croissance de 0,3% pour 2012. En réalité, elle a été nulle et cela a forcément pesé sur les recettes de l'Etat.
Mais les ministres du Budget et des Finances se veulent rassurants et affirment que « ces dépassements execptionnels et conjoncturels on été en partie compensés par une stricte maitrise de la dépense ». Pas sur que de tels propos soient de nature à rassurer Bruxelles.
À la fin de l'année 2012, on a même atteint un nouveau record avec un chiffre qui donne le vertige : la dette publique atteint 90,2% du PIB contre 85,8% en 2011.
Alors pourquoi un tel écart ? Bercy l'explique par une hausse imprévue de 0,1% du déficit public en 2011, laissée par le gouvernement précédent, par le budget rectifictaif européen et par la dégradation de la situation économique en Europe et en France. On se souvient à l'automne dernier d'un certain optimisme de la part du gouvernement. Un positivisme qui laissait sceptique les économistes. Le ministère de l'Economie et des Finances annonçait lui une croissance de 0,3% pour 2012. En réalité, elle a été nulle et cela a forcément pesé sur les recettes de l'Etat.
Mais les ministres du Budget et des Finances se veulent rassurants et affirment que « ces dépassements execptionnels et conjoncturels on été en partie compensés par une stricte maitrise de la dépense ». Pas sur que de tels propos soient de nature à rassurer Bruxelles.
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