Mes chers compatriotes avant de féliciter
les 20 personnalités internationales, félicitez-moi aussi, car j'écris tous les
jours et je passe avant Jacques Chirac, Mohamed Ali,
Valérie Triewvieler, Benguigui, Abdou Diouf.
Vérifiez par les
dates des interventions de ces derniers par leurs dépêches, vous verrez que
c'est "Djamba Yohé" qui a tiré la
sonnette d'alarme contre ces assassins rwandais que sont :
-
Jean-Marie Runiga ;
-
Shetani Makenga ;
-
Vianney Kazarema, etc.
Quant à moi, je félicite à mon tour les
autres Congolais, qui comme moi, ont eu le courage et la prémonition de dénoncer
ces Rwandais qui tuent les Congolais chez-eux. Nous devons avoir une grandeur de
cœur pour féliciter les nôtres d'abord, car si l'étranger intervient maintenant,
celui-ci le fait à la suite de toutes les récriminations que nous avions portées
contre l'agression du Congo auparavant. Donc, honneur et hommage aux Congolais
de toutes les couches sociales, car le peuple que nous sommes a fait échec à un
machiavélique plan de démembrer la RDC. Nous n'avons pas été écoutés, l'oreille
du Conseil de sécurité et de la Communauté internationale était confisquée par
les jérémiades, souvent fausses, de Paul
Kagamé contre la RDC. Source :
Djamba Yohé
"SIX MILLIONS DES NÔTRES
SONT MORTS"
CESSEZ DE
NÉGOCIER AD VITAM AETERNAM
LA GUERRE
AVEC "LE M-23" N'EST PAS UN
CRIME
CONTRE CES
"NAZIS RWANDAIS" DES GRANDS-LACS
(Shetani Makenga, Jean-Marie Runiga, Sergent V.
Kazarema)
Ces
hommes sont des cruels assassins ne les écoutez pas,
faites-les arrêter
Ce sont des Rwandais dès par
leur CV qui viennent semer la mort en RDC
Goma doit faire une
plainte collective contre ces assassins à la CPI
(Cliquez ce lien et
parcourez-le)
DÉDICACE À TOUTES LES VICTIMES DE
GOMA
à ma Tante Muayuma
Onyemba" morte en fuite
PRÉAMBULE
Les Négociations de
Goma sont un précédent dans l'histoire d'un pays indépendant et dans celle des
Nations-Unies comme Organisation Mondiale pour la préservation de la paix, elle
sont aussi pour l'ONU une trahison à son idéal de protéger ceux qui sont menacés
et que l'on soumet au le pressoir de la mort. Les discussions de Kampala sont
une augure qui est en train de modifier les rapports inter-tribaux de la RDC par
leurs tenues, elles consacrent idéalement la partition d'un pays, le
Congo. Désormais, il y aura deux pays dans un même pays, deux peuples dans un
même pays, deux armées dans une même armée. Au final, c'est une humiliation du
peuple congolais tout entier au vu de ceux soudards qui se disent "M-23", car, leurs relations avec le reste de l'Armée de la
RDC sera un regard de condescendance et duquel sortira un adage swahili "Ba Congolais ni ba bibi yetu tute ba piga saa zote
tunataka". En d'autres mots, les Congolais sont nos femmes, nous les
battrons tout le temps que nous voulons.
Dans les Forces Armées
un précédent de cet ordre-là est un feu qui couve sous la cendre. En dehors des
autres raisons fondées sur la guerre de 1967, au Nigéria, c'est un peu cet
orgueil-là que ressentait les soldats du "Biafra"
vis-à-vis du reste de l'Armée fédérale et cela bien avant que la sécession de
Odjukwu éclate. En effet, il y avait un clivage entre les "Ibo" et les autres, c'est-à-dire, les Yoruba, les Foulani,
les Haoussas. Ce n'est pas ce que nous voulons en RDC. Olusegun Obasanjo a bien
monté son coup en faveur du CNDP, aujourd'hui M-23. Source :
Djamba Yohé, Réflexion sur la République, le 11 décembre
2012.
I. UN ENGRENAGE FUNESTE
QUI NE FINIRA
PAS SANS GUERRE
CONTRE LE M-23
MES CHERS
COMPATRIOTES
ET DÉLÉGUÉS À
KAMPALA,
Aucun M-23 ne vaut ce "Marine"
En plus Kulutu Ya "Djamba Yohé"
André Mpika
est du domaine public
Nous
sommes englués dans un processus des "négociations
illégitimes" contre la logique du principe selon lequel, on ne
concède pas sa propre souveraineté nationale et on n'hypothèque pas sa richesse
publique à cause de la peur à ceux qui ont pris possession par la violence,
l'orgueil et la barbarie sa propre terre :
-
Par l'intrigue qui consiste à falsifier l'histoire et la nationalité ;
-
Par les massacres de toute vie humaine qui ne s'identifie pas aux visées de Kigali ;
-
Par les viols des femmes, des enfants, des grand'manan et la sodomie des hommes ;
-
Par le pillage de la richesse du sous-sol, du haut-sol et de l'environnement ;
-
Par l'extermination massive de notre peuple et l'élimination programmée de l'élite;
-
Par la somme de mort de "plus de six millions des morts" de congolais.
Ce chiffre apocalyptique des décès provoqués
par l'action mécanique de l'homme et non par la régulation de l'existence par la
nature est un odieux crime qui ne nous permet pas d'être en face de ces
interlocuteurs de l'enfer. En effet, si ce drame aux innombrables morts
s'était passé au Québec, en
Suisse, en Belgique, au Luxembourg, dans l'État de New York, il ne survivrait plus personne sur ces
territoires. En clair, c'est en le sachant et en le voulant que nous nous
sommes rendus sur le terrain de l'atelier qui a organisé notre funeste sort,
l'Ouganda. C'est donc-là, sans dignité de notre intégrité humaine et sans la
moindre vibration de la fibre patriotique de résistance légitime que la
"République" au travers le Ministre
des Affaires Étrangères, Raymond
Tshibanda, signataire de l'Accord du M-23 avec le CNDP, le
Président de l'Assemblée nationale, Aubin
Minaku et les Députés ont accepté comme des moutons, pour la
sixième fois, se mettre à genou pour supplier les tueurs de notre peuple en
territoire ennemi.
Nous nous perdons dans un exercice qui s'est
plusieurs fois soldés par des échecs récurrents à des enchères sans fins. La
négociation dans laquelle nous sommes engagés est une improvisation
superfétatoire dépourvue de méthodologie valant espèce des pourparlers. Avec le
rendez-vous de Kampala, le gouvernement congolais est dans la rétorsion de
l'argumentation de sa souveraine raison et s'oblige par lâcheté de démontrer la
légitimité de sa démarche par l'usage d'un plaidoyer explicatoire devant son
propre voleur, son propre violeur, son propre assassin, devant son propre nazi
pour faire valoir sa science politique ne reposant sur aucun socle de la
rationalité de l'éthique ni de celle de la spiritualité patriotique. Le Congo
s'explique à genou devant les brigands et se fait horrifier par la menace des
canons que le M-23, qui est Armée Patriotique Rwandaise, posé
sur la tempe de la joue de l'Est-congolais que sont les villes de Goma, Bukavu
et les sous-régions des Grands-Lacs.
En somme, les Délégués de la fausse
rébellion sont tous des Rwandais qui ont pris le masque de l'identité congolaise
et qui ne parviennent pas hélas à s'en défaire. Il suffit d'écouter parler
:
-
Jean-Marie Runiga ;
-
Vianney Kazarama ;
-
Shetani Makenga.
Les Rwandais, entre-eux, commencent à bouder
ce que leurs propres compatriotes font en RDC. Ils sont nombreux à murmurer
contre ces crimes contre l'humanité imposés aux Congolais avec une perfidie qui
sali l'ethnie "Tutsi" dommageablement pour plusieurs années en RDC et qui fait
aussi des dommages collatérales en Afrique, car ces crimes sont maintenant au
menu du "Congrès Américain" qui
s'est fait interpellé par l'opinion publique des USA par les télévisions
publiques et par des pétitions directes envoyées à la Maison Blanche. Cette
lettre, voici son introduction :
December 10, 2012
President Barack Obama
The White House
1600 Pennsylvania Avenue NW
Washington, DC 20500
Dear Mr. President:
President Barack Obama
The White House
1600 Pennsylvania Avenue NW
Washington, DC 20500
Dear Mr. President:
As the situation once
again dramatically deteriorates in eastern Congo, the U.S. response to the
crisis has patently failed and is out of step with other Western nations. The
United States must take immediate steps to address meaningfully one of the
greatest ongoing humanitarian crises of our generation. We call on you to
appoint a Presidential Envoy to lead a coordinated U.S. response to the crisis,
to support the appointment of a U.N. Envoy to the Great Lakes, to support the
imposition of sanctions against violators of the United Nations arms embargo on
DRC, and, finally, to cut all military assistance and suspend other
non-humanitarian aid to the government of Rwanda for its support of the M-23
insurgency. Source : [hinterland1] Fw: Des ONG americaines
ecrivent au president Obama.
Là-dessus, je peux vous relater ces noms
précis :
Ces noms ces ONGs et Organisations humanitaires
mondiales qui ont adressé une lettre au Président
Obama
|
Que ressent l'Europe
lauréate
du Prix Nobel devant ce
crime
Ceci
démontre bien que l'exception dont le Rwanda se revendique en Afrique, celle
d'être la pupille de l'œil des États-Unis, tel que canonisé par "Madeleine Albright", a cessé de l'être.
Aujourd'hui, avec une politique de soutien aveugle aux criminels de Kigali, les
Américains en ressentent la culpabilité de leur laxisme au vu du nombre des
morts faits par le Rwanda en République Démocratique du Congo.
Les États-Unis n’accepteront pas de cautionner
le crime contre l’humanité en leur nom par un despote africain, car se commet en
RDC est vraiment un "Crime contre
l'humanité" déclaré. Et le Rwanda soutien qu'il a l'appui des
États-Unis. Ce ne sera pas difficile aux gens de croire l'inverse, car
l'Administration Clinton est à la source de la guerre en RDC. Mais aucun
Américain ne voudra porter le toge de l'opprobre de cette guerre d'Extermination
massive des Congolais chez-eux au prétexte que les États-Unis sont à la
recherche des matières premières pour leur industrie de pointe.
Effectivement, Washington a attrapé une
cataracte dans l'orbite de ses deux yeux rivés sur Kinshasa, les Grands-Lacs
Africains et tout le Continent noir. Autrement dit, la "Maison Blanche" se débarrasse du Rwanda, car elle
n'arrive plus à bien voir ce que font "Paul
Kagamé" et "Yoweri
Museveni" en son nom au cœur de la RDC, sinon que des cadavres
que l'on mutile et profane par les M-23 et les charognards des montagnes
d'Éthiopie qui viennent se régaler au Congo transformé en boucherie humaine par
les hommes de mains de Paul Kagamé et son mentor dans les meurtres, Yoweri
Museveni, le cannibale de Kampala. En un mot, Barack Obama a compris que ce sont les Rwandais
qui font face aux Congolais dans les sales guerres qui ont humilié les
"Nations-Unies" en RDC avec la
coiffure d'une perruque postiche du M-23. Le pot-aux-roses est
cassé pour Paul Kagamé.
Cela dit, nous nous trouvons en face du
Rwanda par la bipolarité de sa transmutation au Congo. Les Rwandais ont conquis
la RDC jusque dans ses fibres intestines et se retrouvent par ubiquité théâtrale
réversiblement les mêmes comme interlocuteurs dans toutes les négociations avec
les Congolais. Dans les Délégations pour ce faire, ils sont au four et au
moulin des deux côtés et sont placés dans toutes les pôles positions des
discussions avec un langage de victimes interpellant son bourreau.
La visualisation claire de ce phénomène des négociations à récurrence
perpétuelle, projette à l'écran une réalité incontestable. En fait, ce sont
les "Rwandais" qui se parlent
entre-eux à Kampala, à Kigali, à Kinshasa sans mêler les Congolais au centre de
tous ces dialogues. Par leur philosophie de suprématie raciale, ces
derniers cloisonnement les murs interpersonnel de communication. Par
Kagamé, ses légionnaires envoient des signes de distance entre-eux, les nouveaux
Congolais, d'origine rwandaise par la Kalachnikov et les anciens Congolais, que sont les
Rdéciens de souche, accusés par Kigali d'être des fainéants et des
amorphes.
D'ailleurs, c'est cette arrogance qui a fait
dire à "Jean-Marie Runiga", un Rwandais pure laine et sa bande, avant la rencontre de
Kampala, qu'ils n'ont pas le temps de consacrer "aux
imbéciles de Kinshasa". Malgré cette injure-là, le Parlement
congolais est aux pied des tueurs des Congolais avec l'objectif de déboucher à
une entente cordiale avec les bandits, les assassins, les cruels tueurs qui ont
vidé la RDC de 1/10 ième de sa
population et qui ont fait que le taux de natalité des Congolais soit devenu
inférieur à celui des décès. Ce sont les "Rapports
de Human Rignt Watch" sortis autour des années 2002 qui
signalait cela déjà.
En somme, ce sont les Rwandais qui se parlent
entre-eux sans nous les Congolais. Pour l'opinion internationale que l'on
trope, ce sont les se parlent et ne parviennent pas à s'entendre, voilà comment
"Paul Kagamé" et le "M-23" nous font paraître dans ce triste cinéma
des invasions barbares qui les a enrichis jusqu'au point où le Président
rwandais s'Est acheté l'avion le plus select du monde des affaires, le
"Global Bombardier" de Montréal.
Pas beaucoup d'homme d'affaires ni des riches ne possède cet aéronef au monde,
mais Kagamé avec le sang des Congolais dispose de cet appareil. "Il s'agit d'un théâtre rwandais des Congolais marionnettement
modifiés" auxquels ont fait jouer des rôles naïfs selon
lesquels, ils négocient à Kampala, alors qu'au fond, ils sont les instruments
d'une perversion de leur humanité par le Rwanda. Les Délégués, vous aussi qui
me lisez, c'est vous que l'on a transformé en pantin pour offrir à la Communauté
internationale un spectacle à travers la lunette des scénarii imaginés à Kigali
par Paul Kagamé et son grand cruel grand frère chez qui vous êtes hôtes, Yoweri
Museveni, l'Ougandais.
Nous sommes dans une situation qui demande à
notre patriotisme beaucoup du courage, c'est-à-dire refuser de capituler sous la
férule cruelle des gens qui ont "massacré plus des
six millions". Nous avons résisté pour les autres en
1914-1918, nous pouvons résister pour nous-mêmes. Le
Général Lundula et Gaston Diomi, alors soldat de troupes, sont allés
se battre pour les Belges, les
Britanniques et les Américains dans la "Guerre du pacifique" en Birmanie. "Pierre Ryckmans" est celui qui a mobilisé nos
pères pour 1940-1945 et il a obtenu ce qu'ils voulait d'eux. C'est aussi lui
qui a mobilisé les Congolais à aider le "Général De
Gaulle" à faire une levée des fonds au Congo-Belge.
Nos militaires, au lieu de laisser le champ
de bataille libre aux occupants qui comptent avec "Joseph Kabila" leur allié de Kinshasa doivent
résister et associer les volontaires qui veulent les suivre dans une longue
résistance, c'est notre droit. La démarche de Kampala est une supercherie qu'il
faut rejeter. Nous ne retrouverons pas notre pays si nous n'en décousons pas
militairement avec le M-23, il faut les attaquer pour les chasser en vue de leur
faire cesser de tuer les Congolais tous les jours. Ils ne sont pas Congolais,
c'est pourquoi ils sont sans foi ni loi devant la vie des Congolais. Voilà
comment les Belges ont fait sous l'occupation allemande :
Pierre Ryckmans a
résisté
avec nos pères en '40-45
Avec les années de guerre, les mouvements de résistance se
développèrent. Des officiers et soldats qui n'étaient pas prisonniers avaient
fondé, dès la fin de 1940, la légion belge qui allait s'appeler plus tard
l'Armée
Secrète,
reconnue comme unité militaire combattante légale par le gouvernement belge en
exil et par les gouvernements étrangers en guerre contre l'Allemagne. (...) Des
groupes autonomes s'organisèrent spontanément un peu partout, dans les villes
pour y faire du renseignement et du sauvetage d'aviateurs alliés abattus, dans
les forêts d'Ardenne et en Flandre, comme la Brigade
Blanche dite Witte Brigade animée par des Flamands patriotes,
ainsi que dans des entreprises et dans les
universités.
Après la
fermeture de l'Université de Bruxelles, promise à devenir une université
allemande -que l'occupant n'eut pas le temps d'installer- des ingénieurs de
cette université fondèrent le «
groupe
G » voué à organiser des sabotages
sophistiqués. Le résultat en fut « la grande panne » provoquée par la
destruction simultanée de dizaines de pylônes et de stations et sous-stations du
réseau à haute tension alimentant des industries belges réquisitionnées par
l'occupant, ainsi que des usines allemandes qui captaient l'électricité belge.
C'est l'ex chef de la Maison militaire de Léopold III, le «
général Tilkens », laissé par les Allemands en liberté surveillée, qui
s'activa à fournir des armes à des groupements de résistance avec, dit-on,
l'accord du Roi. Et celui-ci approuva la nomination, par le gouvernement belge
de Londres, du colonel Bastin à la tête des « Forces de l'Intérieur », principal
mouvement de résistance armée. Source : Wikipédia, la
Résistance belge sous l'occupation allemande.
Revenons à notre propos avant cette
parenthèse belge. Il n'y a pas des doutes à cette affirmation. L'environnement
des négociations est de soi ce décor des dupes. Celui qui offre le cadre des
pourparlers n'est autre que Paul Kagamé et Yoweri Museveni, ceux-là même que
l'ONU, la MONUSCO, le Human
Right Watch, l'Amnesty
International, les Congolais, eux-mêmes, accusent avec des preuves à
l'appui. Par ailleurs, la rue de Kampala qui se défoulent sarcastiquement de
ces négociations contre la naïveté du gouvernement de Kinshasa dit haut et fort
que ces installations hôtelière de "Munyonyo
Resort" sont en fait une des propriétés multiples de Yoweri
Museveni.
II. LA POSITION DU
PROBLÈME
DANS LES
NÉGOCIATIONS
MES CHERS
COMPATRIOTES
ET DÉLÉGUÉS À
KAMPALA,
Le Général Léonard
Mulamba
l'homme de Stan. et de
Bukavu
Il ne
manque pas au Congo d'homme capables à diriger les troupes congolaises comme
l'homme de Bukavu et de Stanleyville, ces génies existent avec ou sans canons de
grand calibre pour gagner la guerre contre les bandits du M-23. Résister comme
le "Général Léonard Mulamba" est
notre obligation de devoir pour la patrie en danger d'être bradé et déconfigurée
de ses frontières et de son unité culturelle dans la diversité. Cela étant,
l'impérieuse nécessité d'éclairer l'opinion publique nationale sur ce qui se
passe dans les coulisses du pouvoir, car les vrais enjeux ne nous sont pas
montrés, requiert de l'élite congolaise impliquée dans la communication
médiatisée comme, ces citoyens patriotes :
-
Lambert Opula ;
-
Jean-Pierre Vununu ;
-
Ilunga Kalama ;
-
Paul Kahumbu ;
-
Diangitukwa Fweley ;
-
Freddy Mulongo ;
-
Jean-Pierre Mbelu ;
-
Rolain Mena ;
-
Arthur Kalombo ;
-
Catherine Lokota ;
-
Candide Okeke ;
-
Augustin Kiassi, etc.
Je me reprends. L'élite congolaise, celle
qui se donne la peine de réfléchir sur l'avenir du pays, doit se questionner
sans faux-fuyant sur la position du problème des négociations dans lesquelles le
Congo est embourbé et dans lesquelles il s'oblige, par faiblesse, de donner un
statut d'interlocuteur aux bandits qui ont massacré et qui massacrent toujours
en RDC comme vous avez pu les voir dans la série des photos en liens affichées à
l'exergue de L'Encrier du Rédacteur de l'Atlantique Nord.
En somme, Nous sommes aux sixièmes
négociations du genre avec les mêmes individus dans le même cadre de
l'environnement des commanditaires d'agressions pour des discussions
à répétitions sans résultats. À ma connaissance, la raison de toutes les
tribulations criminelles qui déstabilisent la Nord-Kivu ne reposent que sur un
seul marqueur majeur de l'insécurité. C'est l'incidence récidive de la
préemption du Nord-Kivu par le Rwanda. C'est cet argument-là qui a prévalu au
cours du "Raid du 1998" au Bas-Congo
et concouru à la création du RCD/Goma dans lequel le cahier de charge de "Azarias Ruberwa",
lui-même, un immigré de la première génération, revendiquant avec l'arme au
poing :
-
La reconnaissance des Banyamulenge comme tribu congolais même quand à Kigali on conteste cela par les Rwandais dont James Kabarebe lui-même ;
-
L'octroi et la reconnaissance d'un territoire purifié des autres composantes tribale du Kivu historique, voulu comme "Territoire de Minembwe" ;
-
L'inauguration d'une milice permanente tribale dite "Rwandophone" dans les hauteurs de Rutshuru, Masisi, Kalehe et Goma et qui ne devrait jamais faire l'objet d'une unité militaire affectable ailleurs en RDC ;
-
La falsification de l'histoire, etc.
À la lumière de ce regard, il appert que la
position de problème est la fraude historique du Rwanda qui affirme sa
souveraineté sur le Nord-Kivu et dès par ce fait, unilatéralement déclaré,
Kigali déstabilise la RDC pour rattacher cette province du Congo à l'intérieur
de ses frontières. Si dans les faits, cette conquête a échoué jusqu'à date,
celle-ci s'entend pour le moment comme un bail de territoire rwandais donné en
tutelle au Congo et que le Rwanda revendique pour son retour dans le giron
national de sa République. Nous trouvons devant une réalité semblable à celle
que le Roi des Belges, "Léopold II, affronté face aux Britanniques dans la
préemption des enclaves du Lado et Bahr El-Ghazal, au Soudan, le 14 août
1894.
On peut aussi approcher les élucubrations du
Rwanda au Nord-Kivu comme l'impatience de la Chine à reprendre de la Grande
Bretagne la ville de "Hong Kong".
Or, dans ces deux cas évoqués, la cession des enclaves de Lado et du Bahr
El-Ghazal et celle de Hong Kong sont en conformité avec l'histoire telle qu'elle
a enregistré les contentieux avec les prévisions de résolutions. Et cela nous
conduit à ces exigences que l'on perçoit en filigrane aux négociations de
Kampala et qu'encourage "Joseph
Kabila" au détriment du Congo pour satisfaire le Rwanda :
-
L'érection d'un pays Tutsi congolais au Nord Kivu s'inscrivant comme une principauté ou comme une République libre à l'intérieur du Congo, une Constitution, une Fonction Publique et une Force Publique distinctes de la RDC ;
-
Levée d'une armée intérieure dans l'espace opérationnel d'une armée nationale et républicaine avec État-Major Général à Kinshasa, le M-23 ou son correspondant qui serait sans doute G-32 ;
-
Susciter une tribu spéciale au-dessus de toutes les autres tribus congolaises qui sont toutes minoritaires, en RDC, telle que tribue des :
- Bena Budia d'autour de Kabinda au Kasaï oriental ;
- Bena Tshitolu d'autour de Mbuji Mayi, Kasaï oriental ;
- Les Bambata du Bas-Congo des alentours de Inkisi et Mbanza Ngungu ;
- Les Assolongo de Matadi que le RCD a massacré en 1998 ;
- Les Bokatola, etc ...
Accorder un statut
particulier de coexistence entre ceux appelés :
- Banyamulenge ;
- Les Tutsi-Congolais ;
Ce n'est pas moi qui crée cette
distinction, elle découle du cahier des charges de "Azarais Ruberwa", de 1998, de "Sun City" et des revendication entendu lors du
massacre de "Gatumba" crimes au
cours desquels, sans vérifier, celui qui était alors "Vice-Président de la RDC" s'est empressé à
accuser son pays, le Congo comme commanditaire de ces assassinats. Il y a eu
même à côté de ce Ruberwa quelqu'un
de sa souche que je connais qui a amplifié cette revendication, dont je tais le
nom, en alléguant qu'il faut que l'on arrive à cette distinction-là, sinon les
Congolais vont assimiler les "Rwandophones".
J'était frappé de malaise, car cela sous-entendait qu'être Congolais était
l'attribut d'un être sale dans le sang, dans l'âme et le corps. Or, ce sont les
Congolais qui ont toujours accueilli les Rwandais chez-eux de tous les temps.
La dernière date illustre de cet accueil, le 7 avril 1994. En une nuit, Goma a
accueilli plus de 3 millions des Rwandais, fuyant le début du génocide au
Rwanda.
En clair, les guerres auxquelles on soumet
la RDC sont des harcèlements de type : "Si tu ne me
donne pas ce que je demande, je te tue". Et c'est cette
propagande-là, celle consistant à dire que les "Congolais n'aiment pas les Rwandais" qui fait
recette dans les "Institutions
internationales" comme l'ONU. Et puis, à cause de cela, on ne regarde plus
les causes de la guerre en RDC et on ne se pose pas la question de savoir pour
le Congo est en conflit avec le Rwanda. L'évolution de cette situation-là a tout enlisé du
processus de sortie de crise en RDC, car pour chaque nouveau venu sur la
plate-forme des décisions internationales de la gouvernance mondiale, la réalité
de la région des Grands-Lacs se présente à cette individualité toute autre.
En effet, ce sont les Congolais qui écopent,
ils sont vus comme le problème à la crise au Rwanda, car les "Tutsi" y ont été victimes du génocide. mais
cette évidence-là n'a aucune relation avec les "Congolais", les Congolais n'ont aucun tort, ils
espèrent eux aussi de la part de ces intervenants internationaux d'être aidés et
d'être protégés surtout. Et comme les "États-Unis" n'y mettent pas de leur voix, la
faute est béante, elle est congolaise. Or, ce
sont les Rwandais qui ont crée tout l'"Apocalypse au
Congo" en dénaturant les accusations à faire sur le
"Hutus" sur les
Congolais. Car, il n'y a aucune cause à effet
qui transmute le "génocide du
Rwanda" au Congo. Le peuple de la RDC n'a jamais génocide aucun
rwandais. Par contre, ce sont les Rwandais, de la souche
victimes du génocide, les "Tutsis"
qui ont tué "plus de six millions de
Congolais" et cela ne se discute pas, les preuves sont-là. Bien
entendu, les "Hutus" sont dans le
même jeu, car quand il s'agit de tout déverser de leur conflit "Hutu-Tutsi" sur le Congo, la "victime émissaire" est déjà choisi par leurs
conflits, la "RDC". Et le reste de
la planète n'entendra que cette version venant de ces
antagonistes-là.
L'ONU n'a pas trouvé mieux, elle a paramétré
son diagnostic de résolution de conflit dans le sens que les "Rwandais" l'ont
orienté contre le Congo. Partant, pour résoudre définitivement cette question
de coexistence difficile et mauvaise entre "Hutu-Tutsi", l'après génocide a été
un casse-tête désarmant débattu avec injustice contre la RDC. L'ONU, qui est le
prête nom des ingérences des Puissances étrangères impliquées dans les guerres
dans Tiers-Monde et plus spécifiquement les États-Unis, la Russie, la Chine, la
France et la Grande Bretagne, a accepté de porter l'agenda de l'une de ces
représentations pour imposer une paix bancale et débile dans le conflit
rwando-rwandais. Il apparaît très clairement que les Nations-Unies, sous
couvert d'une tierce puissance, a envisagé de créer un "Foyer national" pour les
Tutsi victimes du génocide dans une partie du territoire congolais. Ce n'est
pas innocent ce choix, ceux-ici, sous le masque de Paul Kagamé et son armée bien
équipé à toute éventualité d'agression, offrira son paravent aux activités
illicites de l'exploitation minière en RDC.
Que cela soit dit tout haut, la guerre au
Congo tient de deux facteurs, l'un, relevant de l'exploitation illégale du
sous-sol congolais par ceux qui ont aidé le pouvoir de Kigali à s'installer au
Rwanda, l'autre, l'obligation du bénéficiaire de cette aide à être reconnaissant
de la terre que l'on a enlevé au Congo en s'érigeant comme propriétaire par une
action militaire de défense du territoire volé. Et tout ce stratagème est
chapeauté par l'ONU, alors MONUC qui va être là sans intervenir au motif qu'elle
observe pour bien renseigner le Conseil de sécurité, mais en réalité, elle œuvre
pour la même cause que le côté qui s'est approprié le Nord-Kivu. En mot, l'ONU
fera tout pour faire pourrir la situation pour empêcher toute possibilité de
reconquête du territoire volé devenu zone de non-droit. Cette évolution a mué
avec les gains obtenu à changer la mission des contingents de l'ONU.
En fait, il s'est agi de consolider les
gains de la fausse rébellion sur le terrain par une aide accrue de la MONUSCO
(Mission des Nations-Unis de Stabilisation du Congo). En fait, cette
stabilisation-là, c'est l'hypothèque définitive du Nord-Kivu au M-23.
malheureusement, ce plan a échoué, mais la MONUSCO n'a pas défendu la
population, elle laissé les envahisseurs entrer dans Goma. Pour redire
autrement cette lecture d'événements dramatiques récurrents en RDC, il s'agit
d'une action savamment bien menée pour entraîner le Congo à un démembrement
définitif. L'Administration Clinton qui a monté toute cette tragédie de fil en
aiguille s'est a forcé l'Europe à avoir la même disposition de solidarité à ses
politiques africaines pour parler de la même voix dans le cadre, sans doute de
l'OTAN, Organisation commune de l'Atlantique Nord pour faire corps devant une
controverse pouvant contrarier un membre du bloc de défense
mutuelle.
Au plan pratique, cette solidarité de
facto, se traduit par l'infliction des défaites des Forces Armées Congolaises
par l'Armée du Rwanda et de l'Ouganda sans que l'Europe ne s'en indigne, le but
étant celui de créer les conditions favorables à asseoir ce projet
:
-
Promouvoir par un marketing répétitif le génocide rwandais et noyer tous les crimes que commet Kigali en RDC pour faire valoir à l'opinion internationale le danger d'extermination massive des Tutsis exposés par un méchant voisin, le Congo considéré comme foyer radial de tout ce qui peut arriver d'imprévu sur le Rwanda de Kagamé ;
-
Frapper le Congo d'un embargo sur les armes en vue de le rendre faible dans tous les cas en ce qui concerne la défense de son territoire par ses militaires et ses forces de résistance civiles ;
-
Accorder le droit de poursuite au Front Patriotique Rwandais de Paul Kagamé sous prétexte de poursuivre les "Hutus". Pourtant, c'était une invasion par étape du Congo qui fut aussi une prise de possession du territoire pour favoriser la contrebande des richesses de la RDC dont les experts de l'ONU ont fourni des preuves à plusieurs reprises sans suite des conséquences contre le banditisme rwandais et ougandais dans un État souverain ;
-
Autoriser l'installation des troupes rwandaises à demeure en les convertissant des rôles et en revendiquant pour elles une origines congolaise. Les armées rwandaises et ougandaises ont occupé le territoire congolais pendant sept ans, mais ce scandale était difficile à couvrir. L'ONU fut obligé a négocier un faux départ des Rwandais au Congo en faisant disparaître faussement leur uniforme au Congo puisque les Rwandais et les Ougandais commençaient à se faire la guerre à la suite des disputes des territoires d'exploitation, de pillage, de vol et des viols des Congolaises et Congolais ;
-
Implanter un régime rwandais en RDC du sommet à la base et la formule fut toute trouvée, il fallait faire élire "Joseph Kabila, un rwandais d'origine et de promouvoir le processus de brassage, c'est-à-dire faire entrer les soldats du Force Patriotique Rwandais au sein des Forces Armées de la RDC, les FARDC.
Bien entendu, ces avantages offert aux
Rwandais, comme je l'ai explicité ci-haut sont liés à des contreparties
couvertes par des Accords secrets. Vous avez un territoire pour un foyer
national, vous avez l'obligation d'être les défenseurs armés de nos intérêts.
Ce sont donc les multinationales américains d'abord de l'Arkansas à cause de leur proximité avec
"le Président Clinton" et son
"Administration". Puis, se sont
ajoutés d'autres groupes motivés par le même appât de gain à la manière
mafieuse, c'est-à-dire jouir de l'exploitation clandestine de la RDC. Ces
compagnies qui s'inscrivent dans cette exploitation illégale, pour éviter que
l'on pointe du doigt leurs adresses, ces opérateurs dans les mines spoliées du
Congo ont pour label des asiatiques :
-
Indonésie ;
-
Philippines ;
-
Émirats Arabes-Unis ;
-
Inde et Chine avec clauses particulières, etc.
La guerre au Congo est gérée par une
guilde des
loges qui se tiennent comme les membres
du Cigare
du Pharaon
entre USA, France, UK, Chine, Russie.
En
somme, la position du problème, c'est cette préoccupation d'affirmer que le
"Nord-Kivu" est rwandais. Les
Puissances qui ont aidé le "Rwanda"
à occuper le Congo se sont soutenus en se gardant de faire dissension dans leur
cohésion de circonstance, celle de parvenir au démembrement de la RDC en
plusieurs petits pays non-viables, mais comme des parcelles sous contrôles des
multinationales américaines, européenne, asiatique un peu à la manière dont on a
partagé l'Afrique à Berlin, en 1885. En fait, il est question d'"affirmer unanimement
la préemption du Rwanda" sur "le
Nord-Kivu" avec la voix prépondérante des "USA" comme l'écho du Grand Orient dans une loge
maçonnique.
La récurrence des groupes armés qui
attaquent la population et l'armée de la RDC est une démonstration de cette
revendication d'un Nord-Kivu rwandais qui ne doit pas répondre du pouvoir
politique de Kinshasa, mais du nouvel ordre que Kigali a inauguré avec les
guerres sans fin faites aux Congolais, initialement imaginées par
l'Administration Clinton afin de disposer des richesses et ressources de la RDC
avec son groupe d'hommes d'affaire de l'Arkansas et, par ricochet, à ses autres
soutiens qui financent le parti démocrate des États=Unis d'Amérique. Le Rwanda
est donc tenu à rendre des services par des agressions successives au Congo pour
le compte de l'Administration Clinton. En un mot, Paul Kagamé bénéficie de
l'octroi des terres congolaises du Kivu comme foyer national pour ses conquêtes
de l'Est congolais.
III. L'EXTENSION DE
L'OCCUPATION DANS LE TEMPS
MES CHERS
COMPATRIOTES
ET DÉLÉGUÉS À
KAMPALA
Les États-Unis et l'ONU ont longtemps refusé de reconnaître l'agression du
Rwanda et de l'Ouganda contre la RDC. Au cœur de ce refus, toutes les
accusations contre le Rwanda étaient redirigées contre les Congolais sur qui on
portait le blâme des troubles intérieurs de cette république voisine. Car,
alléguaient-on, les "milices hutus" qui terrorisaient dans leur pays venaient
de la RDC. Par cet argument malhonnête, Washington a aidé le Rwanda à occuper
le Congo au fil des jours, des mois et des années jusqu'au pourrissement actuel
avec la permanence des milices rwandaises au Congo subventionné par le régime de
Kigali. Dès lors, ce ne fut qu'un problème de prise de possession du territoire
congolais par étape programmée en vue de mettre illégalement la main aux
richesses de la RDC sans contrainte ni résistance. Le Rwanda a pris de
l'embonpoint, s'est acheté les armes avec les ressources du Congo. Plus que
cela, Kigali s'est installé à demeure avec des milices que Paul Kagamé contrôle
depuis sa résidence et garde ainsi le Congo sous perfusion.
Ce faisant, dès lors qu'il fut difficile
d'entrevoir un Congo en paix sans le Rwanda, c'est à ce moment-là que Washington
donne son consentement pour l'envoie des troupes de l'ONU, la MONUC, mais c'Est
en s'assurant d'abord que ces contingents n'interviendront jamais et que ceux
qui seront nommés au poste de Représentant des Nations-Unies soient
exclusivement américains et Britanniques. Ce sont Lacy Swing, Alan
Doss et maintenant Roger
Meece, ancien ambassadeur des États-Unis à Kinshasa. Celui-ci
devient le Représentant des Nations-Unies presqu'après son mandat d'Ambassadeur
en RDC, ce qui est tout à fait contraire avec les règles de la diplomatie
américaine régissant le séjour d'un diplomate américain dans un pays au sein
duquel il a été en fonction. Car, il faut au moins une vacances d'un certain
nombre d'année avant d'y revenir.
Mais au plan des questions que l'on peut se
poser, il y a cette transmutation de la diplomatie des USA à celle de l'ONU en
temps record. Ne peut-on pas s'interroger avec soupçon pourquoi cette
nomination qui diamétralement avec la fonction d'Ambassadeur des États-Unis.
Puisque comme Ambassadeur, les positions que prenaient Roger Meece au nom de
Washington était très contraire avec la mission de la MONUC vu le fait que les États-Unis faisaient
constamment usage de leur droit de veto contre le Congo au Conseil de sécurité.
Comment, le nouveau Représentant de l'ONU au Congo a-t-il pu faire ce recyclage
des fonctions qui sont aux antipodes entre-elles, Washington et l'ONU. L'une
n'est pas neutre dans ses politiques extérieurs et l'autre est neutre par
définition de principe de la "Charte des
Nations-Unies" telle que les Fondateurs de l'ONU, "Franklin Roosevelt" et son entourage l'avaient
prédestinée. Cette interrogation est normale même pour les Américains eux-mêmes
vu l'importance qu'ils attachent à leur politique extérieure.
En conditionnant le séjour de la
MONUC à ses prérequis, Washington a inhibé le poids de la RDC
dans les problèmes de sa sécurité nationale. Désormais, quand les crises vont
devoir surgir, c'est "Paul Kagamé"
qui va tout le temps fixer les conditions aux Congolais dans la résolution de
leurs difficultés internes. Le Président rwandais, manquant de discrétion et de
modestie dit souvent à qui veut l'entendre, j'ai le soutien américain. Partant,
je fixe les conditions des négociations intercongolaises à mes propres
complaisances parce que le "Congolais est un
fainéant". Ces injures, nous les avons entendues plusieurs fois
contre notre peuple et notre pays de la part du Président rwandais, Paul
Kagamé, le funeste tueur.
Et comme d'habitude, quand les soi-disant
mutins ou faux rebelles se révoltent, le Président
Paul Kagamé, arbitre naturel par la conjoncture de l'Espace
politique du moment place la barre très haut. Celui-ci dans son rôle de
"Gouverneur général des
Grands-Lacs" indique le lieu de la Conférence et présente aux
Délégués du Congo et ceux de ses mercenaires qui tuent les Congolais, l'ordre du
jour qui va être le vade mecum des négociations. Et comme raisons à ces
exigences, la sécurité des "Tutsis
congolais". Y a-t-il quelqu'un au Congo qui
tue les Tutsis ? Non ! En fait, cette injonction-là cache le souci de la
sauvegarde de la contrebande des mines congolaises qu'exploite le Rwanda hors de
tout contrôle de l'État congolais. Chaque issue des rondes des négociations
s'achèvent par des concessions qui élèvent les hommes infiltrés de son régime à
occuper les postes de la "Haute-Fonction
Publique" et des Sociétés d'État de la RDC. Aujourd'hui, la
physionomie du pouvoir au Congo est rwandaise. Ce sont les Rwandais,
mono-ethniques, qui règnent à Kigali, à Kampala et à Kinshasa. C'es une
évidence claire qui ne cherche pas à se révéler par des
enquêtes.
Nous nous trouvons-là dans une logique d'une
intentionnalité d'occuper la RDC longtemps par le Rwanda. Ce que fait Paul
Kagamé favorise le pillage de la RDC, les massacres sont là pour demeurer car ils
font partie du processus de dépopulation du Nord-Kivu pour le céder aux
occupants que les Experts des nations-Unies accusent. Le M-23
n'est pas entré seul à Goma, son opération militaire a été soutenue par le
Rwanda et l'Ouganda par leurs armées directement engagées dans la conquête du
Nord-Kivu. Les documents sont
là.
IV. THÈSE EXPLIQUANT
L'INERTIE
DE LA MONUSCO EN
RDC
CHERS COMPATRIOTES
ET DÉLÉGUÉS À
KAMPALA,
La supercherie de la présence de la MONUSCO
en RDC est visible. Les troupes de l'ONU ne sécurisent pas les Congolais, mais
les exposent plus à l'insécurité parce qu'elles suscitent la colère des "Faux
Rebelles" qui les appellent par le nom choisi par Yoweri Museveni de "Touristes
en uniforme". Les Congolais ont compris que la MONUSCO est chargée d'une
mission secrète qu'"elle faire aboutir à tout prix. Il s'agit de "Stabiliser les acquis de l'occupation rwandaises"
au Congo. L'ONU/MONUC, l'ONU
MONUSCO n'ont jamais démenti ce que la population pense
d'elles. Tout ce que ces missions ont effectué comme travail, c'est d'affaiblir
la défense nationale du Congo. La MONUC avait interdit l'offensive du Général
congolais Mbuza Mabe, à Bukavu, en 2004, et a réussi à faire muter ce grand
soldat à Kitona pour y former les recrues. Mais, dans les mêmes moments, les
véhiculent de la MONUC ont convoyé les rebelles pour les amener à leur Front, à
Bukavu. Les documents existent et relatent ce fait.
En 2012, la MONUSCO, par son représentant et
son porte-parole, jurait la main sur le cœur que le M-23 n'entrera pas dans la
ville et qu'elle fera tout pour protéger la population civile, ce ne fut pas
cela qui est arrivé. Il y a tout lieu de croire en se persuadant que l'ONU est
là pour stabiliser les acquis des conquêtes de Paul Kagamé en RDC. Et le
constat d'un cours de protection que l'on pouvait attendre de tous les noms des
missions de l'ONU au Congo présentent un bilan négatif.
-
La MONUC a échoué avec Lacy Swing ;
-
La MONUC a échoué avec Alan Doss ;
-
La MONUSCO, malgré le changement de nom de la MONUC, a échoué avec Roger Meece. Son échec atteste de la thèse d'une conspiration conjuguée entre la MONUSCO, le M-23 sous les auspices du Rwanda et Paul Kagamé ;
-
Bientôt, la "Force Neutre" va elle aussi échouer, car elle ne sera pas neutre, elle sera une autre escroquerie avec des contingents de contrebande pour exploiter les mines du Congo sur les lieux que vole le Rwanda, en RDC.
En clair, le vrai danger à redouter commence
avec l'arrivée promise de la soi-disante "Force
Neutre", car elle est improvisée, elle vient sans expérience du
terrain. Les échecs consécutifs de la MONUC, de la MONUSCO font voir clairement que l'ONU a donné un
feu vert au Rwanda pour démembrer la RDC. Les derniers exercice des activités
de la MONUSCO sont ceux
d'hypothéquer le "Nord-Kivu" au
Rwanda. Ce pays-là,malgré les crimes des armées de Kigali en RDC n'a jamais été
sanctionné. L'entremise de ce plan passe par le M-23. a Force Neutre qui
viendra aura la même directive d'activité :
-
Ne pas intervenir ;
-
Ne pas désarmer les tueurs de Paul Kagamé ;
-
Ne pas éconduire le M-23 par des collusions et des affrontements, etc.
Par contre, la "Force Neutre" aura le pouvoir de désarmer toute
forme des organisations congolaises d'auto-défense contre ceux qui le tuent.
C'est le mode opératoire qui sera établi. On a vu cela avec l'Opération de la
Force Licorne dans l'Ituri. Cette mission-là a tué et fait la guerre aux
Congolais, même ceux qui se défendaient, jamais elle n'a pris l'initiative
d'aller désarmer le CNDP. Le "fief
du Nord-Kivu" leur avait été accordé pour développer leurs
activités illicites de contrebandes des minerais congolais.
Ce qu'il faille que les Congolais cachent,
c'est la stratégie qui est donné à la "Force
Neutre" avant sa mise en place. En fait, la Force dite neutre
vient consacrer la partition de la RDC en hypothéquant définitivement le
Nord-Kivu au "Rwanda" plutôt qu'à Kinshasa. Cette mission militaire faussement
neutre va rendre impossible toute offensive des FARDC pour retourner le
Nord-Kivu dans le giron national. Partant, le Congo devra vivre avec une
logique de :
-
Deux pays dans un pays, car le Nord-Kivu est pour le M-23, ce pays pour lequel le Rwanda s'efforce à dépecer dans l'étendue de la RDC ;
-
Deux armées dans un pays, car le M-23 préfigure l'immersion de l'armée rwandaise-unie en RDC ;
-
Deux dualité socio-ethniques rwando-congolais pour une même nationalité.;
À la longue, cela signifie, générer un
nouvel État dans un échéancier de 20 à 30 ans à partir du territoire congolais.
Ce processus va faire tenir un "Référendum" le moment venu, celui devant pousser
les actuels architecte de ce projet de détacher le "Nord-Kivu" de la RDC. Les
négociations de Kampala se font dans un déséquilibre qui est celui d'un État
vaincu qui discutent avec la contrebande qui l'a dévoyé et grugé. Joseph
Kabila, en acceptant ces négociations a donné un statut d'État à une
organisation criminelle de siéger en vis-à-vis en face de son gouvernement dont
les membres du M-23 traitent d'imbéciles de Kinshasa.
Pourtant, au regard de la façon dont l'ONU
s'y prend ailleurs dans les problèmes comme ceux du Congo, on ne peut pas nier
de sa bonne foi dans les processus de résolution de conflit. Le Mali est ce
pays, à l'heure actuelle, qui trouve toutes les attentions de l'ONU pour son
infortune. L'Europe, l'Amérique et le monde entier sont sensibles aux efforts
du mali de récupérer le Nord de son territoire occupé par AQMI
et Ensardine. Pourquoi cette disposition de résolution objective de conflit
n'est pas d'instance pour la RDC ? Pourquoi le Rwanda, l'Ouganda et tous les
assassins à leur solde ne sont pas condamnés quand on sait que par la main de
Paul Kagamé et de Yoweri Museveni, le Congo a perdu plus de "Six millions de ses filles et fils"
?
À bien regarder toutes les résolutions qui
se prennent pour la RDC, force est de constater que l'on se moque d'elle.
A-t-on pas réalisé que les pays que l'on propose pour composer la Force Neutre
sont des États ennemis à la RDC, à savoir la Tanzanie, par "les Opérations Moba 1 et Moba 2 de
1974" On se souviendra
avec ces opérations que j'évoque la façon dont les militaires zaïrois de
l'époque ont battu à plate couture les Tanzaniens le long du Lac Tanganyika avec
le pilonnage des côtes tanzaniennes par "les avions
Mirages". La Zambie n'est-elle pas en train de gruger la
frontière congolaise vers la zone du Lac
Moéro ? L'Afrique du sud n'est-il pas ce pays, par
"Jacob Zuma", son Président, qui a
rempli les urnes avant le vote pour faire gagner "Joseph Kabila" aux élections de novembre 2011
?
Apprenons-le avant que ce soit trop tard à
nos dépens, toutes les Forces militaires que l'on dépêche au Congo sont là pour
stabiliser les acquis de dépeçage qui ont grugé notre pays et fait di Nord-Kivu
une zone de non-droit et d'incontrôle du gouvernement de Kinshasa. C'est à nous
citoyennes, citoyens de faire échec à ce projet de balkanisation du Congo. La
"Force Neutre" vient reprendre la
main à la MONUC et à la
MONUSCO dans ce que ces mission
n'ont pas réussi à faire vivre. Elle est pourtant illégale, car n'ayant aucun
statut juridique ni légale, cette Force faussement neutre dame le pion à l'ONU
qui est par définition la seule Force neutre vraie et incontestable au niveau de
la planète et en tout lieu.
Les Africains tuent sans raison
lorsqu'ils ont
l'impression d'être les êtres le plus
puissant
Revisiter par vous-même les œuvres du
M-23
Au
sujet de la Force Neutre, je vous mets en garde contre les habitudes inhumaines
que les hommes en armes des armées africaines démontrent. La Preuve, c'est le
M-23, le Front Patriotique Rwandais et l'Armée Ougandaise. Ensemble, elles ont
exterminés plus de six millions de Congolais, ce n'est pas une légende. En
effet, les Africains tuent sans pitié, la force dite neutre aura la gâchette
facile devant les manifestants. Nous ne sommes pas les ennemis des Rwandais ni
des Ougandais, ceux d'ente-eux qui veulent devenir "Congolais" n'ont qu'à le faire dans la règle.
Avant 1994, date du génocide au Rwanda, il n'existait pas la notion de "Tutsi
congolais", ce terme est généré par Paul Kagamé pour nous diviser avec le peuple
du Rwanda.
Ne cédons pas le Congo comme des déserteur
qui fuient l'épreuve du feu en rase campagne devant l'ennemi qui tue femmes,
enfants, vieillards et sodomise la gente masculine pour se moquer de notre
virilité. En tout cas, la "Force Neutre" vient en RDC pour rendre difficile le retour du
Nord-Kivu intégrale dans la RDC.
J'ai tiré la sonnette d'alarme et j'ai affiché les héros de notre histoire
militaire dans ce courrier. La solution pour
mettre fin au massacre des Congolais, c'est d'attaquer le M-23
militairement.
Djamba Yohé,
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique
Nord,
Ottawa, le 11 décembre
2012,
Canada.
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