Comme David contre Goliath, le Premier
Ministre du Canada
Le Très Honorable S. Harper lance la pierre au petit Goliath de la RDC
"Ah ....
Longwela kuna, enlevez-vous de là bakonzi ya moniato"
AU TRÈS
HONORABLE
"MONSIEUR STEPHEN
HARPER"
PREMIER
MINISTRE DU CANADA À KINSHASA
XIV ième
SOMMET DE LA FRANCOPHONIE
(Cliquez "Ô Canada" Céline Dion match de
Hockey
avant la défaite des USA à Montréal par le Canada)
PRÉAMBULE
I. L'ANCRAGE DU CANADA
EN RDC
MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE,
(Cliquez : "Jour de
l'Unifolié", le 12 février)
Votre prise de position sur la réalité "socio-politique congolaise" et la résolution
prise par votre Honorable personnalité d'avoir une posture sans équivoque,
c'est-à-dire sans langue de bois vis-à-vis du régime de la République
Démocratique du Congo sont des plus appréciables. Dieu seul sait si
"les Américains" et "les Belges" avaient adopté la même correspondance
d'attitude ce qui devraient s'enclencher en faveur des Rdéciens au niveau de la
Communauté internationale. Il n'en reste pas moins vrai, qu'on le veuille ou
non, que la présence politique canadienne, sans ingérence mains non
indifférente, dans la politique congolaise avec un soupir d'objection moral
contre l'arbitraire inhumaine est un gain qui oblige et va obliger Washington,
Bruxelles et Londres de faire leur part d'accompagner votre indignation à faire
cesser l'extermination du peuple de la RDC qui a perdu le 1/10 ième de celle de
France, de Grande Bretagne et de l'Allemagne dans le plus grand silence de leurs
médias. Que ce courage qui vous a révélé aux Congolais élève l'oriflamme de
l'Étendard du Canada pour l'exemple du "Unifolié" (nom du drapeau canadien) dans missions
qui ont fait campagne dans le monde dans plusieurs pays, dont cette liste
non-exhaustive des pays, à :
-
Suez en 1956 ;
-
Congo, en 1960 ;
-
Bosnie, Kosovo dans la décennie '90, etc
Patrice E. Lumumba et John Diefenbaker
juil. 1960
Chambre des Communes à Ottawa, visite
d'État
Le Canada a répondu premier à l'Appel de maintien de la Paix à "Patrice Emery Lumumba". Le Canada est le seul
pays occidental qui a réservé l'accueil digne à ce Premier Ministre Défunt, par
"Monsieur John Diefenbaker", tout
que Montréal par son Maire de l'Époque, "Monsieur
Sarto Fournier", c'Est dire que, même si c'est votre première
fois de vous rendre en RDC, vous n'êtes pas un étranger dans ce pays, les
Canadiens ont une seconde patrie au Congo. Car, à côté des missions de Paix, on
retrouve les Canadiens dans la vie congolaise parmi les premiers profofesseurs
qui furent recruté par l'ancien Premier Ministre Lumumba au Canada.
Je me souviens d'un des leurs que mon grand
père, un Évêque Congolais, "Monseigneur Matthieu
Kanyama", alors qu'il était Abbé dans le "Diocèse de Kabinda", une petite ville de la
province du Lomami à l'époque, en 1963. Ce canadien se nommait "Monsieur Levesque" et son épouse, "Madame Yamabu", voisine de la propriété du
"Roi Lumupungu" des Basongye. Au
Canada, vous compareriez cette autorité-là à celle des "Premières Nations", comme les "Montagnais" du Québec ou les "Haïda" de la Colombie Britannique. Cette
comparaison se limite à la ressemblance du point de vue du pouvoir coutumier à
celui du Gouvernement central d'Ottawa ou de Léopoldville à l'époque. En mot,
l'ancrage du Canada en RDC est une réalité.
II. QUAND JE PROMETS
J'ACCOMPLIS
MONSIEUR LE PREMIER
MINISTRE,
Encore une fois, soyez remercié pour ce
courage dont vous venez de faire montre face à l'autorité institutionnelle de la
RDC qui confond la République Démocratique du Congo à une propriété privée
appartenant à son patrimoine familial. Tous les Congolaises et Congolais ont lu
sur l'expression de votre visage le portrait d'un homme de conviction dans les
"Droits de l'homme". Outre cette observation, ces derniers ont décodé sur votre la
physionomie l'empathie de votre âme toute portée à la souffrance immonde imposée
à un peuple qui n'aura été dans tout le vingtième siècle que le bouclier de
l'Occident au cours des "Deux Guerres
Mondiales". Le Congo des Rdéciens était en 1914 et 1918 et de
1940-1945, un centre névralgique de ravitaillement en matières premières
stratégiques, en vivre et en produit pour les bataillons logistiques des
Alliées. Le caoutchouc congolais a servi énormément dans les Armées
Britanniques, Américaines, Française et Belges.
Joseph Kabila et
Didier Reynders Ministre belge des Affaires
Étrangères comptant
parmi les grands soutiens du Gouv. de RDC
L'homme d'État qui s'exprime sans controverse a été vu de visu ce 13 octobre
2012 à Kinshasa. Loin d'être un flatteur qui parle comme "certains Ministres belges hésitants" à
Kinshasa, à Kigali et aux Nations-Unies, le Canada, par vous, a dénoncé la
"Boucherie humaine des Congolais".
Le "Rwanda" et toutes les fausses rébellions qu'il suscite,
c'est-à-dire celles qui ont fait "plus six millions
de morts au Congo", avec l'implication directe de son
Armée nationale, le FPR, n'ont pas
été épargné dans le portait poli de votre exposé. En
effet, devant ce drame au quotidien, nos cousins de
l'Éburonie ont frappé d'interdit de publication leurs journaux, plusieurs
d'entre leurs principales personnalités de la "Ligue majeure" en politique ont soutenue les
agresseurs.
Les journaux belges et ceux du
reste de la planète sont là pour me donner raison dans ce que je vous
communique. On ne m'en voudra pas en Belgique, mais le Royaume qui devait
défendre les intérêts des Congolais comme le "Commonwealth" le fait pour ses États membres
Vous avez, par votre intervention honnête dans l'Assemblée des
nations de l'espace francophone, rejoint-là, la sincérité de la docimologie de
vos prédécesseurs, en l'occurrence, pour ce dossier de la RDC, "John Diefenbaker", "Lester Pearson". Je suis convaincu
que le Canada, par les "Assises de
Kinshasa", remet sur l'étalage du désarmement des zones chaudes
du monde, l'ordre du jour qui l'a conduit à suggérer aux Nations-Unies d'avoir
une "Forces Militaire des Gardiens de la
Paix", car historiquement, c'est le Canada qui a fait appliquer
à l'ONU, sa stance du "Chapitre
VII". Sur le sol congolais couchent des soldats canadiens, je
les ai vu donner leur vie puisque je suis né au Katanga, la première région de
guerre du Congo indépendant, en 1960-1963. Et c'est ce conflit qui m'a déménagé
de la terre qui m'a vu venir au monde à Élisabethville, aujourd'hui Lubumbashi.
Patrice Emery
Lumumba et le Maire de Montréal en 1960
Monsieur Sarto
Fournier était alors le Maire de cette ville
De mémoire d'homme et des Archives, qui ne sait pas que l'Armée Canadienne, dans
laquelle servent plusieurs canadiens d'origine congolaise, comme le
"Colonel Albert Teuwen", alors
officier de liaison pour "la Bosnie"
et "le Kosovo", n'est pas
"Prix Nobel de la Paix" ? Celui
affirmerait ne pas savoir cela fait montre d'ignorance et cette personne est de
facto quelqu'un qui ne saura pas non plus dire qui était le "Colonel Mc Kenzie" des "Forces Canadiennes" dans les heures chaudes qu'a
connu le Moyen-Orient au tournant
des années '80 et au début des années '90. Je vous ai plusieurs fois écouté
parler et analysé vos propos. Avant d'aller plus loin, je souligne à
l'intention de ceux qui me lisent que je m'exprime en fonction de vos prises de
positions sur le palier de la politique internationale, car je ne veux, par
jurisprudence, ne pas me placer sur la passerelle de la politique canadienne.
C'est pour éviter de m'immiscer dans les questions pan-canadienne qui ne sont
pas ceux de la RDC. Et sur ce terrain, quand vous parlez, Monsieur le Premier
Ministre, c'est une voix qui résonne avec cette image mentale "Quand je permets, j'accomplis". Vous avez dit
que vous serez sans égards à tout ce qui compromet votre probité, vous avez
réussi ce pari à Kinshasa.
Monsieur Lawrence Canon ancien Ministre
canadien des
Affaires étrangères, ancien collègue
de classe de Djamba
Et au delà de cette affirmation qui témoigne de votre promptitude pour la parle
donnée, j'ai enregistré d'autres aspects de l'attention que vous portez aux
affaires extérieurs que l'on soumet à votre Cabinet de la Primature. Dans le
dossier de la guerre au Congo, je vous ai écrit plusieurs fois au long de votre
mandat, je n'ai jamais été déçu, vous m'aviez même, par vos services des
relations publiques, dirigé dans les cellules spécialisées pour ce faire chez
nul autre que "Monsieur Lawrence
Canon", mon ancien condisciple avec qui j'ai partagé le même
banc en "Faculté de philosophie de
l'Université" et qui était le Ministre des Affaires Étrangères à
l'époque. À deux, notre zone était en soi un Parlement par lequel on entendait,
des voix résonnant comme celles des "Montagnards", ces élus français de l'Assemblée de
France à l'époque de la Révolution française. C'est-à-dire l'arrière-garde de
Danton, de Marat et autres compagnons politiques du nouvel
ordre français qui émergeait avec ses excès et ses erreurs. Dans cette classe
s'ajouta l'actuel Maire de la ville de l'"Arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve à Montréal, ancien
Député du "Bloc Québécois" à la
"Chambre des Communes" à Ottawa avec
"Gilles Ducepe" comme chef du Parti.
III. LE DEVOIR NE FAIT
QUE COMMENCER
MONSIEUR LE PREMIER
MINISTRE
Soldat canadien de l'ONU au Congo, à
Léopoldville, en 1960
Vous aurez passé, que vous l'ayez voulu ou pas, un séjour d'une exceptionnelle
documentation sur l'existence et particulière au cœur d'un peuple mis sur le ban
de l'humanité sans raison et exterminé à raison de plus de "Six millions" en moins de cinq ans, car ce nombre
de massacre est dans l'étau des années 1998 et 2003. Passé cet intervalle, le
nombre des morts, des déplacés et des violés a décuplés par d'autres millions.
Le bilan des massacrés est passé à plus de "huit millions" aujourd'hui, celui
des déplacés à plus de 3.000.000 millions dans la séquentialisation des périodes
et d'époques entre 1996 et 2012. Comme le malheur est une averse des crimes
sans répit, il s'ajoute tous les mois en RDC le nombre de 40.000 femmes violées
sans compter les hommes. Le Congo est une résidence par excellence des
"malheurs de Sophie" à petite échelle et des conjurés de Massada à grande
échelle s'il me faut comparer les souffrances des Congolais à grandes échelle.
Bien entendu, c'est parce que je ne veux pas mettre en contexte les crimes
contre l'humanité commis par les "Nazis" entre 1940-1945. Et là-dessus, je ne mens
pas, ce sont les 52 Rabbins juifs de Londres qui le disent aux Parlementaires
britanniques au cours de leurs campagnes électorales de 2010 :
Il n'existe toujours pas de fin en vue pour ces atrocités.
En outre, la stabilité politique et la paix sont d'une importance capitale non
seulement pour les citoyens congolais, mais pour tous ceux de la région des
Grands Lacs d'Afrique. Pourtant, pour le reste du monde, le sort du peuple de la
RDC demeure invisible. Nous venons juste de commémorer le «
Yom HaShoah », la journée annuelle juive à la mémoire des victimes de
l’Holocauste (le 12 avril). Si l'on considère la souffrance et l'ampleur des
atrocités commises en République Démocratique du Congo, nous ne pouvons que nous
rappeler nos propre 6 millions de victimes du génocide Nazi. Le "Ne rien entendre, ne rien voir et ne rien faire» ne
remplit pas la promesse du «plus jamais ça! » ;
rester les bras croisés alors que les êtres humains sont massacrés. Il ya déni
de justice pour les victimes et cela questionne notre profonde engagement pour
l'humanité. Comme Rabbins nous ne pouvons pas ignorer l'appel de notre
tradition: « Celui qui détruit une âme, est comparable à celui qui détruit le
monde. Et quiconque sauve une vie, et comme celui qui sauve le monde. » Source : The Guardian,
vendredi 23 avril 2010, http://www.guardian .co.uk/world/ 2010/apr/ 23/victims- of-war-in-
congo .
Après Kinshasa, vous vous présenterez au
Parlement canadien, vous irez dans plusieurs pays de l'OCDE, de l'Union Européenne, des Amériques, d'Asie
et d'Australie. En somme, vous êtes maintenant, malgré vous le Principal;
d'une mission d'Ambassadeur du Congo dans le sein du G- 8, c'est-à-dire celui qui va dire la vérité sur
la guerre à l'Est de la RDC, sur le génocide des Congolais et sur les mensonges
du "Régime de Kigali. qui nient depuis plus de dix ans ce que l'ONU, par ses Commissions d'enquête, a vu, à savoir
le pillage systématique des richesses du Congo, sur les exterminations massives
pour éteindre les populations de l'Est du Kivu en vue de le remplir par un autre
que seul "Paul Kagam" connaît et sur
l'inutilité de tous les efforts qu'accomplissent les ONGs vu les difficultés
qu'ils affrontent contre l'Armée Rwandaise qui tuent au Congo et qui est
camouflé dans le paysage avec le visage et la figure du Congolais de tous les
jours.
Car, ce n'est pas facile de restaure la paix
et la sécurité. Le pouvoir de
Kigali et celui de Kinshasa conspirent pour exterminer le Congolais
chez-lui, vous les verrez par les photos que je vous expédie. Il n'y a rien de
plus simple pour le peuple congolais dont le chef se livre à une guerre
clandestine contre les citoyens du pays qu'il est censé diriger. Je vous laisse
découvrir par vous-même ce que le Rapport de l'ONU a présenté comme pièces à
conviction dans l'un des tous premiers Rapports sur les pillages du Congo et
dont le Rwanda et l'Ouganda ont nié l'évidence. Je mentirai là-dessus
si le Canada dit n'avoir pas vu comment aujourd'hui ces accusations provoquent
l'ire de Paul Kagamé. Celui-ci a quitté l'Assemblée Générale des Nations-Unies
pour faire voir que c'est l'ONU qui mentait et non lui et cela plusieurs fois.
Voici un extrait de journal qui a rapporté l'un de ces rapports initiaux
:
Dès la
publication de cette nouvelle des pillages, "Paul
Kagamé" et "Yoweri Museveni" ont commencé à
dénigrer tout de suite le rapport des Nations-Unies. Ledit article ajoute :
"Depuis, les hauts responsables militaires et gouvernementaux du Rwanda, de
l’Ouganda et du Burundi, dont les pays sont cités dans ce rapport comme
responsables du drame congolais, se sont déplyés dans tous les sens pour réfuter
les accusations portées contre eux." Source Digitalcongo.net du 7 mai 1997, sous le titre de : "L’ONU
accorde trois mois de sursis à Kagamé et
Museveni".
Même l'Union Européenne qui vient d'être lauréate du
"Prix Nobel" n'a pas aidé la RDC à
se sortir de ses malheurs, Strasbourg a favorisé l'installation de la présente
dictature au Congo. par son Commandant venu prendre ses bureaux en RDC,
l'EUFOR, armée de l'Europe-Unie a
imposé "Joseph Kabila" au pouvoir
par l'entremise de "Javier
Solana", l'Espagnol; de "Louis Michel", le Belge et le "Général Philippe Morillon" qui a échoué en Bosnie
et qui a paradé comme "Bonaparte" en
RDC. Voici ce que ce Général a dit :
« J’ai toutes
les forces nécessaires et nous serons crédibles. Nous voulons montrer au peuple
congolais que nous sommes ici pour garantir la tenue des élections. Nous devons
être visibles à Kinshasa pour avoir un effet de dissuasion et éviter tout
problème durant le processus électoral. Nos soldats seraient prêts à employer la
force létale et nécessaire, si la dissuasion ne suffisait pas, ceci afin de
protéger l’intégrité des élections générales qui se dérouleront le 30 juillet
».
"Général Karlheinz
Vierec"
Il a promis la
mort aux Congolais
avec
l'Eufor aux élections de 2006
Et pourtant, s'il faut que octroie le
"Prix Nobel" à un pays africain,
c'est au Congo, ce pays était de tous les services pour aider l'Occident occupé
en 1914-1918 et surtout au cours de la "Seconde
Guerre Mondiale". C'est le Congo qui a levé les premiers fonds
à la demande de De Gaulle, sur place au Congo, pour monter la Résistance
française, le CFLN, basé à Londres, au Maroc et à Alger plus tard. Ce sont les
minerais du Congo qui font la guerre en Europe et dans le Pacifique. Les
Congolais travaillent 8 heures par jour pour l'effort de guerre. Et quand
ceux-ci demandent une modulation d'horaire avec leurs Collègues belges, les
Congolais sont amenés au Stade de football et son massacré par la troupe de
l'Armée coloniale belge, la Force publique devant public pour faire peur à tous
ceux qui demanderaient que l'on révise l'horaire de travail journalier.
Cependant, ceux des leurs Collègues belges, rien ne les a inquiétés, ils étaient
tout simplement vu comme des gens qui ont dit ce que requiert le droit et ses
exigences.
Pendant cette même période du début de la
"Deuxième Guerre Mondiale", ce sont
les troupes congolaises qui sont envoyées, à la demande de De Gaulle venu à
Brazzaville et à Léopoldville. Notons que jusqu'aujourd'hui, les Français ne
mentionnent jamais le séjour de leur feu Président à Kinshasa, au Congo, alors
que c'est dans ce pays que ce dernier a reçu le plus d'argent, des moyens et de
l'assistance qu'à Londres. Ce sont les Congolais qui vont au Niger, au Tchad, au Mali pour chasser les fidèles "Préfets et leurs armées" fidèles au "Régime de Vichy". Depuis, le 30 juin 1960, date
de l'indépendance du Congo, l'Europe, par la Belgique et la France n'ont pas
rendu la vie facile aux Congolais, les politiques étrangères de leurs
chancelleries se sont liguées contre le peuple de la RDC pour protéger des
intérêts propres à leurs gouvernes au point qu'ils ont fini par noyer
aujourd'hui la RDC dans les serres des anciens hôtes au refuge au pays des
Congolais.
Et comme ceux-ci connaissent bien le Congo,
ils n'ont pas eu difficile à détruire les Congolais jusqu'à la moëlle épinière
de la RDC en la déstabilisant toujours jusqu'à en faire de leur pays l'État que
l'on nomme aux Nations-Unies du titre de "la
capitale mondiale du viol". Vous êtes au Congo, ces échos ne
sont plus rumeurs ni légende, vous le voyez. Que vous dire encore, Monsieur le
Premier Ministre ? Sinon vous priez d'utilisez la même influence que vous avez
à la "Maison Blanche" pour
sensibiliser le "Président Barack Obama" et son Administration à ordonner le
désarmement du M- 23 et la
destitution de "Paul Kagamé" comme
"George Bush" a demandé celle de
"Charles Taylor". Dites-lui que
l'Amérique n'hésite pas pour traquer un tueur. Les récits du "Far West" sont explicite, il suffit de se
souvenir de la traque de "Billy-le-Kid". Qu'il vous souvienne de
l'attentat d'Oklahoma, du 11 septembre. Le centre névralgique des États-unis a
bougé unanimement pour une action rapide qui rend justice. Or, les victimes
dans tous ces lieux ne dépasse pas plus de cinq milles personnes.
Voilà une sœur carmélite assassiné sans
raison au Nord-Kivu
Nous Congolais, Monsieur le Premier Ministre, nous voulons voir les
"Rwandais responsables des crimes contre
l'humanité" en RDC à la "Cour Pénale
Internationale". Vous avez toujours été pragmatique là-dessus.
Lorsque vous aviez voulu renvoyez quelqu'un dans son pays natal, controverse ou
pas, vous l'aviez fait et le Président rwandais, "Paul Kagamé" ne va pas, là-dessus, critiquer,
vous lui aviez renvoyé "Monsieur Mugesera". Il est bon que
cette disposition s'applique sans retenue ni sélectivité en vous débarrassant
des mauvais Rwandais, des mauvais Congolais, de mauvais Pakistanais et en
gardant, selon l'opinion d'Ottawa, les bons Rwandais, les Bons Pakistanais et
les bons terroristes s'ils sont dans la sympathie d'Ottawa. Tous les crimes se
valent en opprobre. Il est temps maintenant que les Présidents :
-
Paul Kagamé ;
-
Yoweri Museveni ;
-
Laurent Nkundabatware ;
-
Jules Mutebusi ;
-
Bosco Ntanganda ;
-
Azarias Ruberwa, etc.
Paul Kagamé est l'auteur ininquiété de
tous les crimes en RDC
Pourquoi le gardez-vous au pouvoir même
quand il humilie l'ONU
Ces gens, doivent aussi à leur tour, doivent faire face à leurs crimes. On ne
peut pas constamment et sans fin faire du peuple victime le peuple coupable.
Dans certaines arrestations qui ont été opérée, en RDC, jusqu'à ces jours, il y
en a qui l'ont été commis par légitime défense, mais la gravité du cas, l'image
d'horreur de ces crimes et le penchant favorable des pays occidentaux vis-à-vis
du Rwanda et de l'Ouganda a esquivé de voir la vérité en face. Je
ne défends aucun crime ni aucun criminel, mais la vérité de la guerre des
Grands-Lacs est gérée sous le regard de l'indigence contre tout ce qui accuse
Kigali. C'est cela le malheur de la "Procureure Louise Arbour au début de son
mandat pour le Tribunal Pénal sur le Rwanda, en 1994. C'Est aussi-là
l'infortune de Carla Del Ponte, cette seconde Procureure qui a vécu les mêmes
sélectivités dans le Tribunal Pénal sur la Bosnie et qui a critiqué le
comportement de l'ONU et des Grandes Puissances dans les crimes commis en
République Démocratique du Congo.
IV. JE TERMINE ICI MES
VŒUX ET ATTENDUS
MONSIEUR LE PREMIER
MINISTRE
Ottawa, Washington, Londres, Bruxelles, Paris, Moscou et de surcroît
Pékin par ricochet se trouvent du bon côté de ceux qui disent le droit pour le
monde entier. Les criminels de ces États ne sont pas punis. Car, il ne suffit
pas de critiquer les États africains
à la Francophonie pour croire que la
France, le Canada, la Belgique, les États-Unis, la
Russie et le Japon ont raison. Les puissances au sein de
laquelle le Canada se trouve parmi ces pays qui imposent des dictateurs en
Afrique. Et quand ce n'est pas le cas, il se fait solidaires de ceux qui mènent
les enjeux des États qui défendent leur soi-disant intérêt vitaux au détriment
des peuples éplorés. Les Compagnies multinationales canadiennes ont délogé et
délocalisé les populations. Dans le cours des incidents de refus d'obtempérer
qui ont suivi ces scandales, ces compagnies décidés à prendre possession des
terrains miniers ont commandité des actions fortes qui ont entraînés mort
d'homme. L'Évêque de Kilwa Kasenga,
localité autour de Lubumbashi, Mgr Fulgence
Muteba, poursuit les compagnies canadiennes avec l'Agence des
Missions étrangères catholiques des Catholiques par "Développement et Paix". Que fait le gouvernement
fédéral pour s'impliquer dans la défense des Congolais spolié
?
Voilà une autre sœur assassinée dans les
mêmes conditions,
Le Congo est devenu la boucherie de la
criminalité politique
Il faut aussi que le Gouvernement Fédéral s'engage à faire respecter une
législation qui permet la poursuite de ces compagnies du Canada qui enlève aux
ayants-droit leur bien le plus précieux, la terre. Il plus, certaines
compagnies canadiennes avec leurs consœurs occidentales, voire chinoise
empoisonne les rivières qui approvisionnent les populations rurales. À
Lubumbashi, il y a du mercure dans les nappes phréatiques et les rivières, les
gens n'ont pas le choix que de boire ces liquides empoisonnées. C'est là le
côté que le Gouvernement Fédéral doit déployer sa vigilance pour faire valoir la
puissance de son discours de Kinshasa. Il y a plus. Avons-nous à Ottawa une
agence de contrôle qui retrace l'origine du coltan qui nous sert pour fabriquer
des téléphones cellulaires ?
vous avez un côté d'une excellence inouïe
que vous cachez dans le quotidien à cause du poids de vos fonctions.
Ouvrez-vous et laissez voir davantage cette face-là. Votre sourire et votre
talent de musicien peut sauver plusieurs personnes et jeunes désespéré. Revoyez
la cassette du journal télévisé qui vous a montré en train de jouer du piano en
chantant "John Lennon" dans
"Imagine". C'était pour les
journalistes et les Canadiens de tous les jours un extraordinaire sourire de
l'État par son Premier Ministre. La mise en service de talent, pas n'importe
comment va aider les jeunes canadiens et les déshérités à réclamer davantage
votre présence parmi eux, car celui qui amène aux cœurs désemparés un sourire
avec le ton d'une joie spontané est une figure qui sème le bonheur dans ceux qui
en ont rarement. Et quand on est Premier Ministre on met ce talent-là, dans les
occasions qui le requièrent, vous aurez à jamais changé la face du Canada. il y
a eu très peu des Premiers Ministres canadiens qui ont donné à leur concitoyens
cette image de bien-être avec la nation.
Monsieur le Premier Ministre, celui qui
fait ça au Canada ne peut pas
courir longtemps dans la nature, toutes
les polices le traqueront ...
La voix d'Ottawa pèse lourd dans l'OTAN, dans le NORAD, dans l'OCDE et aux Nations-Unies. Nous pouvons, par
notre force, boxer plusieurs pays, mais notre modestie qui nous inspire la
retenue est une qualité très appréciée par ceux qui savent que nous, Canada ou
États-Unis, pouvons les aider. Qu'il vous souvienne là-dessus de ce que les
Canadiens ont fait en Bosnie et au Kosovo avant l'intervention des États-Unis et
de l'Eufor. Devenez l'Ambassadeur
de l'Atlantique Nord de la RDC pour que la guerre cesse au Nord-Kivu, que les
criminels soient déférés à la CPI et que disparaissent ces Présidents des
Grands-Lacs coupables de la mort de plus de "Six
millions de Congolais".
Il est temps pour le Canada de conseiller
les États-Unis. Ramener la paix en
RDC n'est pas un cadeau, mais un droit parce que le Congo est injustement
agressé. Aussi, évitons de nous enrichir au dépens des scandales comme
l'exploitation des richesses de la RDC en mettant le blâme unilatéralement sur
les victimes. Partant, au niveau du G-
8, s'il vous est demandé de résumer ce que vous avez entendu et
vu au Congo-Kinshasa, vous donnerez, à votre bon vouloir ces détails vrais :
- Recours à l’élimination systématique des tribus autochtones comme l’avaient fait les colons allemands du Sud-Ouest Africain contre les Herero, le 12 janvier 1904, il en mourut plus de 60.000 et il ne resta de la tribu que quelques milliers d’âmes vivantes ;
- Assaut, viol et assassinat des femmes, des enfants ;
- Vols, pillages, vandalisme et sodomie sur les hommes ;
- Destruction du cadre de vie sociale des populations et de l’environnement par la pratique machiavélique de la terre brûlée ;
- Déportation des survivants en le jetant en masse sur le chemin de l’exil ;
- Installations des colonies sur les lieux conquis et transplantation des nouvelles populations venues avec les occupants.
Le Canada par sa vocation humanitaire
connaît bien
les crimes de guerre, ici Patrick Rechner en Bosnie
Je ne vous oblige pas, car ma position ne me donne pas la jouissance de vous
intimer quelques intentions que ce soit, mais la "Liberté d'expression" me donne l'initiative de
vous dire ce qui peut échapper à votre connaissance. Un Premier Ministre est un
homme très chargé et très occupé. Mais un homme comme vous, préoccupé par les
"Droits humains", est digne d'être informé car vous êtes mal à l'aise quand
l'erreur se glisse dans votre bonne foi. Il est bon pour quiconque connaît
votre souci de rectitude moral de vous prévenir contre tout ce qui peut
compromettre vos bonnes dispositions par la mauvaise de foi de ceux qui veulent
gagner de vous quelque bénéfice par des artifices de mensonges.
Qu'il me soit permis, Très Honorable,
Premier Ministre que je vous quitte en saluant votre courage politique à
Kinshasa. Néanmoins, je m'oblige de vous dire que la puissance, nous l'avons,
nous les ressortissants de l'Atlantique Nord. Je vous sais gré d'avoir usé de
la position de votre taille internationale pour dire la vérité avec la voix de
la vérité et de la raison. Enfin, je suis de ces Congolais qui ont construit le
"Palais du Peuple", ce lieu du votre
"Sommet de la Francophonie", de
1996-1977 du côté congolais, les travaux ont mis ensemble Chinois et
Zaïrois.
Djamba Yohé,
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique
Nord,
Ottawa, le 14 octobre
2012,
Canada.
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