samedi 13 octobre 2012

Lettre à Mr le PREMIER MINISTRE DU CANADA À KINSHASA

Comme David contre Goliath, le Premier Ministre du Canada

Le Très Honorable S. Harper lance la pierre au petit Goliath de la RDC

"Ah .... Longwela kuna, enlevez-vous de là bakonzi ya moniato"


AU TRÈS HONORABLE

"MONSIEUR STEPHEN HARPER"

PREMIER MINISTRE DU CANADA À KINSHASA

XIV ième SOMMET DE LA FRANCOPHONIE


(Cliquez "Ô Canada" Céline Dion match de Hockey

avant la défaite des USA à Montréal par le Canada)

 
PRÉAMBULE

I. L'ANCRAGE DU CANADA EN RDC

MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE,


(Cliquez : "Jour de l'Unifolié", le 12 février)


Votre prise de position sur la réalité "socio-politique congolaise" et la résolution prise par votre Honorable personnalité d'avoir une posture sans équivoque, c'est-à-dire sans langue de bois vis-à-vis du régime de la République Démocratique du Congo sont des plus appréciables. Dieu seul sait si "les Américains" et "les Belges" avaient adopté la même correspondance d'attitude ce qui devraient s'enclencher en faveur des Rdéciens au niveau de la Communauté internationale. Il n'en reste pas moins vrai, qu'on le veuille ou non, que la présence politique canadienne, sans ingérence mains non indifférente, dans la politique congolaise avec un soupir d'objection moral contre l'arbitraire inhumaine est un gain qui oblige et va obliger Washington, Bruxelles et Londres de faire leur part d'accompagner votre indignation à faire cesser l'extermination du peuple de la RDC qui a perdu le 1/10 ième de celle de France, de Grande Bretagne et de l'Allemagne dans le plus grand silence de leurs médias. Que ce courage qui vous a révélé aux Congolais élève l'oriflamme de l'Étendard du Canada pour l'exemple du "Unifolié" (nom du drapeau canadien) dans missions qui ont fait campagne dans le monde dans plusieurs pays, dont cette liste non-exhaustive des pays, à :

  1. Suez en 1956 ;
  2. Congo, en 1960 ;
  3. Bosnie, Kosovo dans la décennie '90, etc 
Patrice E. Lumumba et John Diefenbaker juil. 1960

Chambre des Communes à Ottawa, visite d'État

Le Canada a répondu premier à l'Appel de maintien de la Paix à "Patrice Emery Lumumba". Le Canada est le seul pays occidental qui a réservé l'accueil digne à ce Premier Ministre Défunt, par "Monsieur John Diefenbaker", tout que Montréal par son Maire de l'Époque, "Monsieur Sarto Fournier", c'Est dire que, même si c'est votre première fois de vous rendre en RDC, vous n'êtes pas un étranger dans ce pays, les Canadiens ont une seconde patrie au Congo. Car, à côté des missions de Paix, on retrouve les Canadiens dans la vie congolaise parmi les premiers profofesseurs qui furent recruté par l'ancien Premier Ministre Lumumba au Canada.

Je me souviens d'un des leurs que mon grand père, un Évêque Congolais, "Monseigneur Matthieu Kanyama", alors qu'il était Abbé dans le "Diocèse de Kabinda", une petite ville de la province du Lomami à l'époque, en 1963. Ce canadien se nommait "Monsieur Levesque" et son épouse, "Madame Yamabu", voisine de la propriété du "Roi Lumupungu" des Basongye. Au Canada, vous compareriez cette autorité-là à celle des "Premières Nations", comme les "Montagnais" du Québec ou les "Haïda" de la Colombie Britannique. Cette comparaison se limite à la ressemblance du point de vue du pouvoir coutumier à celui du Gouvernement central d'Ottawa ou de Léopoldville à l'époque. En mot, l'ancrage du Canada en RDC est une réalité.

II. QUAND JE PROMETS J'ACCOMPLIS

MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE,

Encore une fois, soyez remercié pour ce courage dont vous venez de faire montre face à l'autorité institutionnelle de la RDC qui confond la République Démocratique du Congo à une propriété privée appartenant à son patrimoine familial. Tous les Congolaises et Congolais ont lu sur l'expression de votre visage le portrait d'un homme de conviction dans les "Droits de l'homme". Outre cette observation, ces derniers ont décodé sur votre la physionomie l'empathie de votre âme toute portée à la souffrance immonde imposée à un peuple qui n'aura été dans tout le vingtième siècle que le bouclier de l'Occident au cours des "Deux Guerres Mondiales". Le Congo des Rdéciens était en 1914 et 1918 et de 1940-1945, un centre névralgique de ravitaillement en matières premières stratégiques, en vivre et en produit pour les bataillons logistiques des Alliées. Le caoutchouc congolais a servi énormément dans les Armées Britanniques, Américaines, Française et Belges.

Joseph Kabila et Didier Reynders Ministre belge des Affaires

Étrangères comptant parmi les grands soutiens du Gouv. de RDC

L'homme d'État qui s'exprime sans controverse a été vu de visu ce 13 octobre 2012 à Kinshasa. Loin d'être un flatteur qui parle comme "certains Ministres belges hésitants" à Kinshasa, à Kigali et aux Nations-Unies, le Canada, par vous, a dénoncé la "Boucherie humaine des Congolais". Le "Rwanda" et toutes les fausses rébellions qu'il suscite, c'est-à-dire celles qui ont fait "plus six millions de morts au Congo", avec l'implication directe de son Armée nationale, le FPR, n'ont pas été épargné dans le portait poli de votre exposé. En effet, devant ce drame au quotidien, nos cousins de l'Éburonie ont frappé d'interdit de publication leurs journaux, plusieurs d'entre leurs principales personnalités de la "Ligue majeure" en politique ont soutenue les agresseurs.

Les journaux belges et ceux du reste de la planète sont là pour me donner raison dans ce que je vous communique. On ne m'en voudra pas en Belgique, mais le Royaume qui devait défendre les intérêts des Congolais comme le "Commonwealth" le fait pour ses États membres Vous avez, par votre intervention honnête dans l'Assemblée des nations de l'espace francophone, rejoint-là, la sincérité de la docimologie de vos prédécesseurs, en l'occurrence, pour ce dossier de la RDC, "John Diefenbaker", "Lester Pearson". Je suis convaincu que le Canada, par les "Assises de Kinshasa", remet sur l'étalage du désarmement des zones chaudes du monde, l'ordre du jour qui l'a conduit à suggérer aux Nations-Unies d'avoir une "Forces Militaire des Gardiens de la Paix", car historiquement, c'est le Canada qui a fait appliquer à l'ONU, sa stance du "Chapitre VII". Sur le sol congolais couchent des soldats canadiens, je les ai vu donner leur vie puisque je suis né au Katanga, la première région de guerre du Congo indépendant, en 1960-1963. Et c'est ce conflit qui m'a déménagé de la terre qui m'a vu venir au monde à Élisabethville, aujourd'hui Lubumbashi.

Patrice Emery Lumumba et le Maire de Montréal en 1960

Monsieur Sarto Fournier était alors le Maire de cette ville

De mémoire d'homme et des Archives, qui ne sait pas que l'Armée Canadienne, dans laquelle servent plusieurs canadiens d'origine congolaise, comme le "Colonel Albert Teuwen", alors officier de liaison pour "la Bosnie" et "le Kosovo", n'est pas "Prix Nobel de la Paix" ? Celui affirmerait ne pas savoir cela fait montre d'ignorance et cette personne est de facto quelqu'un qui ne saura pas non plus dire qui était le "Colonel Mc Kenzie" des "Forces Canadiennes" dans les heures chaudes qu'a connu le Moyen-Orient au tournant des années '80 et au début des années '90. Je vous ai plusieurs fois écouté parler et analysé vos propos. Avant d'aller plus loin, je souligne à l'intention de ceux qui me lisent que je m'exprime en fonction de vos prises de positions sur le palier de la politique internationale, car je ne veux, par jurisprudence, ne pas me placer sur la passerelle de la politique canadienne. C'est pour éviter de m'immiscer dans les questions pan-canadienne qui ne sont pas ceux de la RDC. Et sur ce terrain, quand vous parlez, Monsieur le Premier Ministre, c'est une voix qui résonne avec cette image mentale "Quand je permets, j'accomplis". Vous avez dit que vous serez sans égards à tout ce qui compromet votre probité, vous avez réussi ce pari à Kinshasa.

Monsieur Lawrence Canon ancien Ministre canadien des

Affaires étrangères, ancien collègue de classe de Djamba

Et au delà de cette affirmation qui témoigne de votre promptitude pour la parle donnée, j'ai enregistré d'autres aspects de l'attention que vous portez aux affaires extérieurs que l'on soumet à votre Cabinet de la Primature. Dans le dossier de la guerre au Congo, je vous ai écrit plusieurs fois au long de votre mandat, je n'ai jamais été déçu, vous m'aviez même, par vos services des relations publiques, dirigé dans les cellules spécialisées pour ce faire chez nul autre que "Monsieur Lawrence Canon", mon ancien condisciple avec qui j'ai partagé le même banc en "Faculté de philosophie de l'Université" et qui était le Ministre des Affaires Étrangères à l'époque. À deux, notre zone était en soi un Parlement par lequel on entendait, des voix résonnant comme celles des "Montagnards", ces élus français de l'Assemblée de France à l'époque de la Révolution française. C'est-à-dire l'arrière-garde de Danton, de Marat et autres compagnons politiques du nouvel ordre français qui émergeait avec ses excès et ses erreurs. Dans cette classe s'ajouta l'actuel Maire de la ville de l'"Arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve à Montréal, ancien Député du "Bloc Québécois" à la "Chambre des Communes" à Ottawa avec "Gilles Ducepe" comme chef du Parti.

III. LE DEVOIR NE FAIT QUE COMMENCER

MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE

Soldat canadien de l'ONU au Congo, à Léopoldville, en 1960

Vous aurez passé, que vous l'ayez voulu ou pas, un séjour d'une exceptionnelle documentation sur l'existence et particulière au cœur d'un peuple mis sur le ban de l'humanité sans raison et exterminé à raison de plus de "Six millions" en moins de cinq ans, car ce nombre de massacre est dans l'étau des années 1998 et 2003. Passé cet intervalle, le nombre des morts, des déplacés et des violés a décuplés par d'autres millions. Le bilan des massacrés est passé à plus de "huit millions" aujourd'hui, celui des déplacés à plus de 3.000.000 millions dans la séquentialisation des périodes et d'époques entre 1996 et 2012. Comme le malheur est une averse des crimes sans répit, il s'ajoute tous les mois en RDC le nombre de 40.000 femmes violées sans compter les hommes. Le Congo est une résidence par excellence des "malheurs de Sophie" à petite échelle et des conjurés de Massada à grande échelle s'il me faut comparer les souffrances des Congolais à grandes échelle. Bien entendu, c'est parce que je ne veux pas mettre en contexte les crimes contre l'humanité commis par les "Nazis" entre 1940-1945. Et là-dessus, je ne mens pas, ce sont les 52 Rabbins juifs de Londres qui le disent aux Parlementaires britanniques au cours de leurs campagnes électorales de 2010 :


Il n'existe toujours pas de fin en vue pour ces atrocités. En outre, la stabilité politique et la paix sont d'une importance capitale non seulement pour les citoyens congolais, mais pour tous ceux de la région des Grands Lacs d'Afrique. Pourtant, pour le reste du monde, le sort du peuple de la RDC demeure invisible. Nous venons juste de commémorer le « Yom HaShoah », la journée annuelle juive à la mémoire des victimes de l’Holocauste (le 12 avril). Si l'on considère la souffrance et l'ampleur des atrocités commises en République Démocratique du Congo, nous ne pouvons que nous rappeler nos propre 6 millions de victimes du génocide Nazi. Le "Ne rien entendre, ne rien voir et ne rien faire» ne remplit pas la promesse du «plus jamais ça! » ; rester les bras croisés alors que les êtres humains sont massacrés. Il ya déni de justice pour les victimes et cela questionne notre profonde engagement pour l'humanité. Comme Rabbins nous ne pouvons pas ignorer l'appel de notre tradition: « Celui qui détruit une âme, est comparable à celui qui détruit le monde. Et quiconque sauve une vie, et comme celui qui sauve le monde. » Source : The Guardian, vendredi 23 avril 2010, http://www.guardian .co.uk/world/ 2010/apr/ 23/victims- of-war-in- congo .


Après Kinshasa, vous vous présenterez au Parlement canadien, vous irez dans plusieurs pays de l'OCDE, de l'Union Européenne, des Amériques, d'Asie et d'Australie. En somme, vous êtes maintenant, malgré vous le Principal; d'une mission d'Ambassadeur du Congo dans le sein du G- 8, c'est-à-dire celui qui va dire la vérité sur la guerre à l'Est de la RDC, sur le génocide des Congolais et sur les mensonges du "Régime de Kigali. qui nient depuis plus de dix ans ce que l'ONU, par ses Commissions d'enquête, a vu, à savoir le pillage systématique des richesses du Congo, sur les exterminations massives pour éteindre les populations de l'Est du Kivu en vue de le remplir par un autre que seul "Paul Kagam" connaît et sur l'inutilité de tous les efforts qu'accomplissent les ONGs vu les difficultés qu'ils affrontent contre l'Armée Rwandaise qui tuent au Congo et qui est camouflé dans le paysage avec le visage et la figure du Congolais de tous les jours.


Car, ce n'est pas facile de restaure la paix et la sécurité. Le pouvoir de Kigali et celui de Kinshasa conspirent pour exterminer le Congolais chez-lui, vous les verrez par les photos que je vous expédie. Il n'y a rien de plus simple pour le peuple congolais dont le chef se livre à une guerre clandestine contre les citoyens du pays qu'il est censé diriger. Je vous laisse découvrir par vous-même ce que le Rapport de l'ONU a présenté comme pièces à conviction dans l'un des tous premiers Rapports sur les pillages du Congo et dont le Rwanda et l'Ouganda ont nié l'évidence. Je mentirai là-dessus si le Canada dit n'avoir pas vu comment aujourd'hui ces accusations provoquent l'ire de Paul Kagamé. Celui-ci a quitté l'Assemblée Générale des Nations-Unies pour faire voir que c'est l'ONU qui mentait et non lui et cela plusieurs fois. Voici un extrait de journal qui a rapporté l'un de ces rapports initiaux :


Dès la publication de cette nouvelle des pillages, "Paul Kagamé" et "Yoweri Museveni" ont commencé à dénigrer tout de suite le rapport des Nations-Unies. Ledit article ajoute : "Depuis, les hauts responsables militaires et gouvernementaux du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi, dont les pays sont cités dans ce rapport comme responsables du drame congolais, se sont déplyés dans tous les sens pour réfuter les accusations portées contre eux." Source Digitalcongo.net du 7 mai 1997, sous le titre de : "L’ONU accorde trois mois de sursis à Kagamé et Museveni".


Même l'Union Européenne qui vient d'être lauréate du "Prix Nobel" n'a pas aidé la RDC à se sortir de ses malheurs, Strasbourg a favorisé l'installation de la présente dictature au Congo. par son Commandant venu prendre ses bureaux en RDC, l'EUFOR, armée de l'Europe-Unie a imposé "Joseph Kabila" au pouvoir par l'entremise de "Javier Solana", l'Espagnol; de "Louis Michel", le Belge et le "Général Philippe Morillon" qui a échoué en Bosnie et qui a paradé comme "Bonaparte" en RDC. Voici ce que ce Général a dit :


« J’ai toutes les forces nécessaires et nous serons crédibles. Nous voulons montrer au peuple congolais que nous sommes ici pour garantir la tenue des élections. Nous devons être visibles à Kinshasa pour avoir un effet de dissuasion et éviter tout problème durant le processus électoral. Nos soldats seraient prêts à employer la force létale et nécessaire, si la dissuasion ne suffisait pas, ceci afin de protéger l’intégrité des élections générales qui se dérouleront le 30 juillet ».


"Général Karlheinz Vierec"
Il a promis la mort aux Congolais
avec l'Eufor aux élections de 2006
C'est dire que, même du côté par lequel devait venir le bon sens, le détournement des yeux de la "Communauté internationale" par sa "Ligue majeur" était en branle. Quand la France et la Belgique passent pour des pays qui s'étonnent des atrocités en RDC, la vérité est que ces États ne disent pas la vérité. La Belgique, par des hommes comme "Louis Michel" et des journalistes comme "Colette Braeckman" que vous aviez vu très souvent à la télévision canadienne, la "CBC-Radio-Canada", ont tous œuvré pour la consomption de la "République Démocratique du Congo". La preuve là-dessus, c'est qu'aucun Rwandais, de ces criminels qui font tourner la boucherie des Congolais sur leur propre territoire, aucun d'eux n'a jamais été arrêté. Tous les "Rwandais", quand ils ont fini de détruire le Congo et après avoir tué en masse, retournent glorieusement chez eux au Rwanda. Présentement, la soi-disante rébellion du M-23 est d'origine coléreuse de Paul Kagamé qui n'a pas aimé que la "Cour Pénale Internationale" ne mette sa main sur le "Général Bosco-Ntanganda", né rwandais à Kinigi et reparti en laissant le Congo en feu.


Et pourtant, s'il faut que octroie le "Prix Nobel" à un pays africain, c'est au Congo, ce pays était de tous les services pour aider l'Occident occupé en 1914-1918 et surtout au cours de la "Seconde Guerre Mondiale". C'est le Congo qui a levé les premiers fonds à la demande de De Gaulle, sur place au Congo, pour monter la Résistance française, le CFLN, basé à Londres, au Maroc et à Alger plus tard. Ce sont les minerais du Congo qui font la guerre en Europe et dans le Pacifique. Les Congolais travaillent 8 heures par jour pour l'effort de guerre. Et quand ceux-ci demandent une modulation d'horaire avec leurs Collègues belges, les Congolais sont amenés au Stade de football et son massacré par la troupe de l'Armée coloniale belge, la Force publique devant public pour faire peur à tous ceux qui demanderaient que l'on révise l'horaire de travail journalier. Cependant, ceux des leurs Collègues belges, rien ne les a inquiétés, ils étaient tout simplement vu comme des gens qui ont dit ce que requiert le droit et ses exigences.


Pendant cette même période du début de la "Deuxième Guerre Mondiale", ce sont les troupes congolaises qui sont envoyées, à la demande de De Gaulle venu à Brazzaville et à Léopoldville. Notons que jusqu'aujourd'hui, les Français ne mentionnent jamais le séjour de leur feu Président à Kinshasa, au Congo, alors que c'est dans ce pays que ce dernier a reçu le plus d'argent, des moyens et de l'assistance qu'à Londres. Ce sont les Congolais qui vont au Niger, au Tchad, au Mali pour chasser les fidèles "Préfets et leurs armées" fidèles au "Régime de Vichy". Depuis, le 30 juin 1960, date de l'indépendance du Congo, l'Europe, par la Belgique et la France n'ont pas rendu la vie facile aux Congolais, les politiques étrangères de leurs chancelleries se sont liguées contre le peuple de la RDC pour protéger des intérêts propres à leurs gouvernes au point qu'ils ont fini par noyer aujourd'hui la RDC dans les serres des anciens hôtes au refuge au pays des Congolais.


Et comme ceux-ci connaissent bien le Congo, ils n'ont pas eu difficile à détruire les Congolais jusqu'à la moëlle épinière de la RDC en la déstabilisant toujours jusqu'à en faire de leur pays l'État que l'on nomme aux Nations-Unies du titre de "la capitale mondiale du viol". Vous êtes au Congo, ces échos ne sont plus rumeurs ni légende, vous le voyez. Que vous dire encore, Monsieur le Premier Ministre ? Sinon vous priez d'utilisez la même influence que vous avez à la "Maison Blanche" pour sensibiliser le "Président Barack Obama" et son Administration à ordonner le désarmement du M- 23 et la destitution de "Paul Kagamé" comme "George Bush" a demandé celle de "Charles Taylor". Dites-lui que l'Amérique n'hésite pas pour traquer un tueur. Les récits du "Far West" sont explicite, il suffit de se souvenir de la traque de "Billy-le-Kid". Qu'il vous souvienne de l'attentat d'Oklahoma, du 11 septembre. Le centre névralgique des États-unis a bougé unanimement pour une action rapide qui rend justice. Or, les victimes dans tous ces lieux ne dépasse pas plus de cinq milles personnes.


Voilà une sœur carmélite assassiné sans raison au Nord-Kivu

Nous Congolais, Monsieur le Premier Ministre, nous voulons voir les "Rwandais responsables des crimes contre l'humanité" en RDC à la "Cour Pénale Internationale". Vous avez toujours été pragmatique là-dessus. Lorsque vous aviez voulu renvoyez quelqu'un dans son pays natal, controverse ou pas, vous l'aviez fait et le Président rwandais, "Paul Kagamé" ne va pas, là-dessus, critiquer, vous lui aviez renvoyé "Monsieur Mugesera". Il est bon que cette disposition s'applique sans retenue ni sélectivité en vous débarrassant des mauvais Rwandais, des mauvais Congolais, de mauvais Pakistanais et en gardant, selon l'opinion d'Ottawa, les bons Rwandais, les Bons Pakistanais et les bons terroristes s'ils sont dans la sympathie d'Ottawa. Tous les crimes se valent en opprobre. Il est temps maintenant que les Présidents :

  1. Paul Kagamé ;
  2. Yoweri Museveni ;
  3. Laurent Nkundabatware ;
  4. Jules Mutebusi ;
  5. Bosco Ntanganda ;
  6. Azarias Ruberwa, etc.

Paul Kagamé est l'auteur ininquiété de tous les crimes en RDC

Pourquoi le gardez-vous au pouvoir même quand il humilie l'ONU

Ces gens, doivent aussi à leur tour, doivent faire face à leurs crimes. On ne peut pas constamment et sans fin faire du peuple victime le peuple coupable. Dans certaines arrestations qui ont été opérée, en RDC, jusqu'à ces jours, il y en a qui l'ont été commis par légitime défense, mais la gravité du cas, l'image d'horreur de ces crimes et le penchant favorable des pays occidentaux vis-à-vis du Rwanda et de l'Ouganda a esquivé de voir la vérité en face. Je ne défends aucun crime ni aucun criminel, mais la vérité de la guerre des Grands-Lacs est gérée sous le regard de l'indigence contre tout ce qui accuse Kigali. C'est cela le malheur de la "Procureure Louise Arbour au début de son mandat pour le Tribunal Pénal sur le Rwanda, en 1994. C'Est aussi-là l'infortune de Carla Del Ponte, cette seconde Procureure qui a vécu les mêmes sélectivités dans le Tribunal Pénal sur la Bosnie et qui a critiqué le comportement de l'ONU et des Grandes Puissances dans les crimes commis en République Démocratique du Congo.


IV. JE TERMINE ICI MES VŒUX ET ATTENDUS
MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE
Ottawa, Washington, Londres, Bruxelles, Paris, Moscou et de surcroît Pékin par ricochet se trouvent du bon côté de ceux qui disent le droit pour le monde entier. Les criminels de ces États ne sont pas punis. Car, il ne suffit pas de critiquer les États africains à la Francophonie pour croire que la France, le Canada, la Belgique, les États-Unis, la Russie et le Japon ont raison. Les puissances au sein de laquelle le Canada se trouve parmi ces pays qui imposent des dictateurs en Afrique. Et quand ce n'est pas le cas, il se fait solidaires de ceux qui mènent les enjeux des États qui défendent leur soi-disant intérêt vitaux au détriment des peuples éplorés. Les Compagnies multinationales canadiennes ont délogé et délocalisé les populations. Dans le cours des incidents de refus d'obtempérer qui ont suivi ces scandales, ces compagnies décidés à prendre possession des terrains miniers ont commandité des actions fortes qui ont entraînés mort d'homme. L'Évêque de Kilwa Kasenga, localité autour de Lubumbashi, Mgr Fulgence Muteba, poursuit les compagnies canadiennes avec l'Agence des Missions étrangères catholiques des Catholiques par "Développement et Paix". Que fait le gouvernement fédéral pour s'impliquer dans la défense des Congolais spolié ?


Voilà une autre sœur assassinée dans les mêmes conditions,

Le Congo est devenu la boucherie de la criminalité politique

Il faut aussi que le Gouvernement Fédéral s'engage à faire respecter une législation qui permet la poursuite de ces compagnies du Canada qui enlève aux ayants-droit leur bien le plus précieux, la terre. Il plus, certaines compagnies canadiennes avec leurs consœurs occidentales, voire chinoise empoisonne les rivières qui approvisionnent les populations rurales. À Lubumbashi, il y a du mercure dans les nappes phréatiques et les rivières, les gens n'ont pas le choix que de boire ces liquides empoisonnées. C'est là le côté que le Gouvernement Fédéral doit déployer sa vigilance pour faire valoir la puissance de son discours de Kinshasa. Il y a plus. Avons-nous à Ottawa une agence de contrôle qui retrace l'origine du coltan qui nous sert pour fabriquer des téléphones cellulaires ?


vous avez un côté d'une excellence inouïe que vous cachez dans le quotidien à cause du poids de vos fonctions. Ouvrez-vous et laissez voir davantage cette face-là. Votre sourire et votre talent de musicien peut sauver plusieurs personnes et jeunes désespéré. Revoyez la cassette du journal télévisé qui vous a montré en train de jouer du piano en chantant "John Lennon" dans "Imagine". C'était pour les journalistes et les Canadiens de tous les jours un extraordinaire sourire de l'État par son Premier Ministre. La mise en service de talent, pas n'importe comment va aider les jeunes canadiens et les déshérités à réclamer davantage votre présence parmi eux, car celui qui amène aux cœurs désemparés un sourire avec le ton d'une joie spontané est une figure qui sème le bonheur dans ceux qui en ont rarement. Et quand on est Premier Ministre on met ce talent-là, dans les occasions qui le requièrent, vous aurez à jamais changé la face du Canada. il y a eu très peu des Premiers Ministres canadiens qui ont donné à leur concitoyens cette image de bien-être avec la nation.

Monsieur le Premier Ministre, celui qui fait ça au Canada ne peut pas

courir longtemps dans la nature, toutes les polices le traqueront ...

La voix d'Ottawa pèse lourd dans l'OTAN, dans le NORAD, dans l'OCDE et aux Nations-Unies. Nous pouvons, par notre force, boxer plusieurs pays, mais notre modestie qui nous inspire la retenue est une qualité très appréciée par ceux qui savent que nous, Canada ou États-Unis, pouvons les aider. Qu'il vous souvienne là-dessus de ce que les Canadiens ont fait en Bosnie et au Kosovo avant l'intervention des États-Unis et de l'Eufor. Devenez l'Ambassadeur de l'Atlantique Nord de la RDC pour que la guerre cesse au Nord-Kivu, que les criminels soient déférés à la CPI et que disparaissent ces Présidents des Grands-Lacs coupables de la mort de plus de "Six millions de Congolais".


Il est temps pour le Canada de conseiller les États-Unis. Ramener la paix en RDC n'est pas un cadeau, mais un droit parce que le Congo est injustement agressé. Aussi, évitons de nous enrichir au dépens des scandales comme l'exploitation des richesses de la RDC en mettant le blâme unilatéralement sur les victimes. Partant, au niveau du G- 8, s'il vous est demandé de résumer ce que vous avez entendu et vu au Congo-Kinshasa, vous donnerez, à votre bon vouloir ces détails vrais :

  • Recours à l’élimination systématique des tribus autochtones comme l’avaient fait les colons allemands du Sud-Ouest Africain contre les Herero, le 12 janvier 1904, il en mourut plus de 60.000 et il ne resta de la tribu que quelques milliers d’âmes vivantes ;
  • Assaut, viol et assassinat des femmes, des enfants ;
  • Vols, pillages, vandalisme et sodomie sur les hommes ;
  • Destruction du cadre de vie sociale des populations et de l’environnement par la pratique machiavélique de la terre brûlée ;
  • Déportation des survivants en le jetant en masse sur le chemin de l’exil ;
  • Installations des colonies sur les lieux conquis et transplantation des nouvelles populations venues avec les occupants.

Le Canada par sa vocation humanitaire connaît bien

les crimes de guerre, ici Patrick Rechner en Bosnie

Je ne vous oblige pas, car ma position ne me donne pas la jouissance de vous intimer quelques intentions que ce soit, mais la "Liberté d'expression" me donne l'initiative de vous dire ce qui peut échapper à votre connaissance. Un Premier Ministre est un homme très chargé et très occupé. Mais un homme comme vous, préoccupé par les "Droits humains", est digne d'être informé car vous êtes mal à l'aise quand l'erreur se glisse dans votre bonne foi. Il est bon pour quiconque connaît votre souci de rectitude moral de vous prévenir contre tout ce qui peut compromettre vos bonnes dispositions par la mauvaise de foi de ceux qui veulent gagner de vous quelque bénéfice par des artifices de mensonges.


Qu'il me soit permis, Très Honorable, Premier Ministre que je vous quitte en saluant votre courage politique à Kinshasa. Néanmoins, je m'oblige de vous dire que la puissance, nous l'avons, nous les ressortissants de l'Atlantique Nord. Je vous sais gré d'avoir usé de la position de votre taille internationale pour dire la vérité avec la voix de la vérité et de la raison. Enfin, je suis de ces Congolais qui ont construit le "Palais du Peuple", ce lieu du votre "Sommet de la Francophonie", de 1996-1977 du côté congolais, les travaux ont mis ensemble Chinois et Zaïrois.


Djamba Yohé,

Gaston-Marie F.

Le Congolais de l'Atlantique Nord,

Ottawa, le 14 octobre 2012,

Canada.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire