François Hollande, président de la République
française Photo :
AFP/ISSOUF SANOGO
Stephen Harper a
profité de son passage en République démocratique du Congo pour rappeler
l'importance du respect des droits de la personne dans le
monde.
Devant la quinzaine de
chefs d'État et de gouvernement présents à l'ouverture de l'événement, il a
indiqué que tous les pays avaient une responsabilité dans la préservation des
droits de leurs citoyens.
Le président français
François Hollande a aussi abordé la question de front. « Parler le français,
c'est aussi parler les droits de l'Homme », a estimé le chef d'État lors d'une
rencontre avec les représentants de l'opposition au régime de Joseph
Kabila.
Sur la défensive, le
président congolais a abordé le conflit dans l'Est de son pays en le qualifiant
de « guerre injuste », « imposée » par « des forces négatives à la solde
d'intérêts extérieurs ».
Le secrétaire général
de la Francophonie, Abdou Diouf, a pour sa part vivement dénoncé un « déficit de
démocratie dans les relations internationales » qui prive l'Afrique de la place
qui lui revient, notamment au Conseil de sécurité.
Il a une nouvelle fois
dénoncé le « report sine die » de la réforme du Conseil de sécurité des Nations
unies, de la réforme du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque
mondiale (BM), « instances où l'Afrique doit occuper la place qui lui revient de
droit »
Source: radio canada
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