La société civile de la RDC a déjà collecté plus de vingt mille signatures pour obtenir la démission du bureau de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), a indiqué le secrétaire permanent de cette structure, Jean-Bosco Puna, vendredi 25 mai, lors de la présentation à Kinshasa du rapport de la collecte de ces signatures de la pétition initiée à ce sujet.
Selon Jean Bosco Puna, le bureau de la Ceni que pilote le pasteur Daniel Ngoy Mulunda s’est compromis dans l’organisation des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011. Plusieurs organisations nationales et internationales, les partis politiques de toutes tendances et même le président réélu, Joseph Kabila, ont en effet reconnu que ces scrutins étaient entachés de «beaucoup d’irrégularités».
Les initiateurs de la pétition reprochent à la Ceni d’avoir notamment occasionné la perte immense de plusieurs Procès verbaux (PV) des élections. «Il est, aujourd’hui, difficile de retrouver certaines traces des élections générales de novembre 2011 dans les archives de la Ceni, parce qu’il y a eu la perte de plusieurs PV », s’est plaint Jean-Bosco Puna.
Jean Bosco Puna, qui croit à cette démarche, annonce que toutes les forces vives de la société civile de la RDC vont se rendre lundi 28 mai au Parlement pour déposer officiellement cette pétition, initiée depuis le 18 mars.
«Cette démarche va devoir, cette fois-ci, aboutir parce que nous pensons que ce Parlement [qui est issu de ces mêmes élections du 28 novembre] est l’émanation du peuple et qu’il va devoir satisfaire à la demande de cette population», a-t-il déclaré.
Par cette démarche, selon lui, la société civile de la RDC se propose de « récupérer son rôle de sentinelle ».
Le Bureau de la Ceni est constitué de sept membres, dont quatre issus de partis politiques du pouvoir et trois de l’opposition. La coalition de la société civile de la RDC a toujours plaidé pour que la loi organique de la Ceni soit modifiée de manière qu’elle soit aussi représentée dans cette institution citoyenne. Elle a réaffirmé cette position, lundi 9 avril, au cours d’un point de presse tenu à Kinshasa.
Des appels se sont en effet multipliés depuis quelques mois pour la réforme de la Commission électorale nationale indépendante. Ils ont été lancés notamment dans le récent rapport d’observation électorale de l’Union européenne ainsi que par les partenaires bi et multilatéraux de la RDC, l’opposition comme la majorité, les ONG nationales et internationales.
Selon Jean Bosco Puna, le bureau de la Ceni que pilote le pasteur Daniel Ngoy Mulunda s’est compromis dans l’organisation des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011. Plusieurs organisations nationales et internationales, les partis politiques de toutes tendances et même le président réélu, Joseph Kabila, ont en effet reconnu que ces scrutins étaient entachés de «beaucoup d’irrégularités».
Les initiateurs de la pétition reprochent à la Ceni d’avoir notamment occasionné la perte immense de plusieurs Procès verbaux (PV) des élections. «Il est, aujourd’hui, difficile de retrouver certaines traces des élections générales de novembre 2011 dans les archives de la Ceni, parce qu’il y a eu la perte de plusieurs PV », s’est plaint Jean-Bosco Puna.
Jean Bosco Puna, qui croit à cette démarche, annonce que toutes les forces vives de la société civile de la RDC vont se rendre lundi 28 mai au Parlement pour déposer officiellement cette pétition, initiée depuis le 18 mars.
«Cette démarche va devoir, cette fois-ci, aboutir parce que nous pensons que ce Parlement [qui est issu de ces mêmes élections du 28 novembre] est l’émanation du peuple et qu’il va devoir satisfaire à la demande de cette population», a-t-il déclaré.
Par cette démarche, selon lui, la société civile de la RDC se propose de « récupérer son rôle de sentinelle ».
Le Bureau de la Ceni est constitué de sept membres, dont quatre issus de partis politiques du pouvoir et trois de l’opposition. La coalition de la société civile de la RDC a toujours plaidé pour que la loi organique de la Ceni soit modifiée de manière qu’elle soit aussi représentée dans cette institution citoyenne. Elle a réaffirmé cette position, lundi 9 avril, au cours d’un point de presse tenu à Kinshasa.
Des appels se sont en effet multipliés depuis quelques mois pour la réforme de la Commission électorale nationale indépendante. Ils ont été lancés notamment dans le récent rapport d’observation électorale de l’Union européenne ainsi que par les partenaires bi et multilatéraux de la RDC, l’opposition comme la majorité, les ONG nationales et internationales.
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