Les belges cherchent à utiliser la popularité du Dr. Denis Mukwege, un homme qui répare les femmes, pour reconquérir soit l'Est de la RDC, soit la confiance des congolais. Pourtant la Belgique soutient fortement Kagamé, et sa politique de balkanisation de la RDC.
Selon Jean-Pascal Labille(ministre belge):
"Si ce n'est pas la Belgique qui parle du Congo, personne ne le fera
dans la communauté internationale"
C'est faux, car la Belgique n'a jamais envisagée du bien au peuple congolais et sa politique actuelle est très mauvaise en RDC. Elle est centrée à l'exploitation du type coloniale bénis par Kabila Joseph.
(Belga) Le docteur Denis Mukwege a visité lundi le
Centre hospitalier universitaire de Liège. Ce gynécologue congolais,
célèbre pour son action en faveur des femmes victimes de viols de
guerre, souhaite nouer des partenariats avec des médecins belges.
Denis Mukwege était invité au CHU de Liège par le
ministre de la Coopération au développement Jean-Pascal Labille (PS).
Lundi, lors d'une rencontre avec des médecins, il a expliqué la
situation que vivent des milliers de femmes victimes de viols collectifs
et de mutilations génitales.
"En 1999, j'ai été confronté pour la première fois à une patiente qui avait été violée par 7 personnes devant sa famille puis qui avait reçu des balles dans son appareil génital. Je pensais que c'était un acte isolé. Mais depuis, nous avons soigné plus de 40.000 femmes", raconte le candidat au Prix Nobel de la Paix.
Le gynécologue a rappelé que le viol était une arme de guerre qui entraîne non seulement des tortures physiques et psychologiques, mais aussi des risques accrus d'infertilité qui ont une influence sur la démographie, ainsi qu'une destruction du tissu social et économique.
L'objectif de cette rencontre au CHU était de nouer des liens avec les médecins afin de développer, à l'avenir, des programmes de coopération, notamment en psychologie. Denis Mukwege a effectivement souligné que son établissement était dépourvu de capacité de prise en charge psychologique pour les victimes, leurs familles mais aussi les violeurs.
"En 1999, j'ai été confronté pour la première fois à une patiente qui avait été violée par 7 personnes devant sa famille puis qui avait reçu des balles dans son appareil génital. Je pensais que c'était un acte isolé. Mais depuis, nous avons soigné plus de 40.000 femmes", raconte le candidat au Prix Nobel de la Paix.
Le gynécologue a rappelé que le viol était une arme de guerre qui entraîne non seulement des tortures physiques et psychologiques, mais aussi des risques accrus d'infertilité qui ont une influence sur la démographie, ainsi qu'une destruction du tissu social et économique.
L'objectif de cette rencontre au CHU était de nouer des liens avec les médecins afin de développer, à l'avenir, des programmes de coopération, notamment en psychologie. Denis Mukwege a effectivement souligné que son établissement était dépourvu de capacité de prise en charge psychologique pour les victimes, leurs familles mais aussi les violeurs.
"Toutes les femmes que j'ai rencontrées au Congo ne m'ont demandé qu'une seule chose: la paix", a commenté Jean-Pascal Labille, ajoutant : "Si ce n'est pas la Belgique qui parle du Congo, personne ne le fera dans la communauté internationale".
(Belga)
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