Evariste Boshab
"Il fait parti des pires énemis du peuple congolais. Les égocentristes politiques du reigne sans partage.
Il est vrai qu'on peut etre universitaire avec un raisonnement absurde, ou etre congolais de souche et concourir à la destruction de la nation.
L'alternence politique reste la seule clé de la stabilité politique, économique, sociale et du dévéloppement.
La politique de Boshab qui cherche à maintenir Joseph Kabila au pouvoir pendant 32ans comme Joseph desiré Mobutu, pour leurs intérêts mafieux, c'est mainténir le pays dans le chaos le plus long de l'histoire." C'EST TRES DANGEREUX !!
A bon entendeur salut !!
Le livre du Professeur Evariste Boshab, sur la révision constitutionnelle, continue à susciter des débats dans tous les milieux : salons huppés, universités, commerces, dans les rues ainsi que dans les médias (plateaux de télévisions, radios et presse écrite). Pourtant, « Révision constitutionnelle et inanition de la nation », titre de l’ouvrage, se veut un outil critique des théories sur le pouvoir constituant et le pouvoir de révision.
Mais aussi un instrument prospectif, eu égard à la rétivité des dirigeants africains difficilement conciliable avec l’impératif de la primauté du droit à la démocratie. Plusieurs interrogations planent du côté des politiciens, en particulier, et de toute la population congolaise, en général, en rapport avec le temps de cette publication.
Le fond de ce livre appelle le congolais à l’éveil de conscience, à en croire certaines langues, dont celle des élus.
Tenez! Le vrai problème réside à la page 331 de ce livre, qui souligne ce qui suit : ‘’… dans les dispositions constitutionnelles distordues et contradictoires se détectent également les influences multiples du CIAT préférant multiplier les dispositions intangibles, pour être sûr de perpétuer le chaos en vue de mieux justifier la présence de moult missions de paix qui attisent les conflits au lieu d’éteindre les feux. Ne pas tenir compte de la pression de cette main invisible qu’à été le CIAT dans l’élaboration de la constitution, c’est faire fausse route. Raison pour laquelle, la révision s’impose pour expurger de la constitution, toutes ces influences nocives et néfastes à la fois. Les clauses irréformables ne sont pas indispensables, parce que, leur présence n’ajoute rien quant à la détermination d’un peuple à respecter l’application de la constitution’’.
Au regard du fond même de ladite page, il n’y a donc plus de spéculation sur ce qui va se faire prochainement. Ayant compris cela, quelques jours seulement après la publication de cet ouvrage, les Evêques avaient mobilisé la population congolaise, en vue de l’intangibilité de l’article 220 de la constitution, qui prend en compte le mandat du Chef de l’Etat.
Député national et analyste politique, l’Honorable Pico Mwepu Kanyanta Bilonda est sorti de son silence pour faire entendre sa voix quant à ce.
L’élu de Malemba Nkulu n’est pas allé par le dos de la cuillère pour décortiquer ce livre publié par un de ses collègues, Député National aussi. Pour Pico, il n’est pas exclu qu’un professeur d’université puisse mettre son savoir à la place publique, en faisant des publications. « Et donc, si le Professeur Boshab a publié ce livre en tant que scientifique, cela ne pose aucun problème », a-t-il informé. Mais, soutient-il, si c’est pour préparer les congolais à la révision constitutionnelle proprement dite, là, il y a un sérieux problème.
« Publié un tel ouvrage en ce moment où le Gouvernement commence à gagner petit à petit la confiance de la population, je crois qu’il y a lieu de se poser les questions », a-t-il martelé. Pour lui, le mieux serait d’encourager les efforts des autorités en rapport avec la volonté de faire de la RDC un pays émergent, dans les toutes prochaines années. L’homme concilie quelques avancées du Gouvernement en rapport avec ce livre.
« Pour le moment, l’économie de la République Démocratique du Congo est comptée parmi les Premières d’Afrique. Grâce aux efforts du Premier Ministre et de son gouvernement, le taux de croissance économique demeure stable.
Il fallait à mon avis chercher à mettre des dispositifs en place en vue de maintenir le cap plus haut. Parler de la révision constitutionnelle dans son vrai sens en ce moment, c’est absurde et incompréhensif », a-t-il rappelé. L’homme va plus loin dans sa réflexion pour parler de la situation sécuritaire qui secoue la République Démocratique du Congo depuis plusieurs jours.
« Nous cherchons encore des pilules pour éradiquer la guerre dans l’Est de notre pays. De ce côté-là, l’on n’a pas encore trouvé de bonnes solutions, parce que même les provinces qui vivaient dans la paix sont confrontées à des problèmes de guerre. Dans la Province du Katanga, il y a l’insécurité généralisée avec le phénomène Bakata Katanga ».
Kevin Inana
Kevin Inana
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