(Le
Potentiel 08/02/2013)
La vérité sur l’homme d’affaires israélien Dan Gertler en
RDC est souvent dissimulée par des individus, du fait de leur agenda personnel,
politique ou économique. Ils organisent des attaques au pays et à l’étranger
dans le but de le dénigrer, gratuitement et, par ricochet, occulter d’importants
investissements faits dans l’industrie extractive de même que des réalisations à
nulle autre pareilles dans les domaines social, sanitaire et environnemental. En
dépit de cela, M. Gertler reste engagé envers le peuple congolais pour les
années à venir. A l’analyse, il s’avère que cette tactique intéressée poursuit,
entre autres objectifs, l’affaiblissement de la RDC en ce moment précis où des
mesures relatives au renforcement de sa gouvernance et à l’amélioration du
climat des affaires s’avèrent nécessaires.
Lors de son discours
d’ouverture du Forum de Lubumbashi sur les mines tenu du 30 au 31 janvier 2013,
le président de la République Joseph Kabila a prôné la gouvernance et la
transparence dans le secteur minier. Il a recommandé la communication des
informations exactes sur l’identité des investisseurs, les conditions de
l’investissement et son coût réel, les engagements contractuels, sans omettre le
respect des normes fiscales et de l’environnement. Le président de la République
a estimé qu’ « en cette matière, la République démocratique du Congo est en
parfait accord avec les exigences de l’ITIE ».
Mais, il convient de
rappeler aux personnes qui s’intéressent au secteur minier que la RDC, par son
adhésion au traité de l’Organisation pour l’harmonisation du droit des affaires
en Afrique, en sigle OHADA, et par son adhésion aux exigences de l’ITIE, a
franchi un pas important dans la sécurisation des investisseurs et dans
l’amélioration significative du climat des affaires et des
investissements.
Il en est de même de l’engagement de la RDC au processus
de Kimberley qui a permis de renforcer la traçabilité du diamant congolais
destiné à l’exportation. Voilà autant de garde-fous qui permettent d’espérer que
la RDC est sur la voie de la transparence et de la bonne gouvernance dans le
secteur minier.
Il va sans dire que cette nouvelle configuration
d’affaires en RDC non seulement confortera la position des investisseurs
existants mais elle a vocation à encourager bien d’autres à emboîter le pas à
l’instar de :
• Randgold Group - avec ses 10 millions d’onces (prouvés),
il a créé 6 000 emplois directs sans compter ceux créés par les 12
sous-traitants congolais. Dans le social, il a construit et/ou réhabilité des
milliers de kilomètres de route tout en délocalisant l 800 familles dans des
logements modernes. Investissement à ce jour: 1,5 milliard USD en deux
phases.
• Minmetal – 1,3 milliard USD dans le rachat d’Anvil Mining dont
les projets les plus connus sont Kinsevere à Lubumbashi et Mutoshi à Kolwezi.
• Jinchuan – 1,32 milliard USD dans le rachat de Metorex dont les projets
les plus connus sont Ruashi, Kinsenda, Musonoi Est et Lubembe
• ENRC – 1,35
milliard USD dans le rachat des activités de First Quantum dont la mine de
Frontier.
Ne demeurant pas en reste, le Groupe Fleurette, à travers les
conseils de l’homme d’affaires israélien Dan Gertler, s’inscrit aussi dans cette
série de gros investissements dans une RDC aux contours juridiques plus clairs
et rassurants pour la communauté d’investisseurs de taille et de réputation
mondiale.
Dan Gertler est bien connu pour son implication dans les
industries extractives en RDC. Parmi les entreprises très médiatisées ayant
alimenté l’intérêt autour de M. Gertler, peu d’attention a été portée sur les
investissements massifs et divers qu’il continue à apporter au pays.
Au
cours des 10 dernières années, M. Gertler, principalement en apportant ses
conseils au Groupe Fleurette, a facilité ainsi l’investissement d’une somme
d’environ 7 milliards USD dans le développement des mines, des infrastructures,
de l’agriculture et d’autres activités en RDC. D’après les analystes, ces
investissements continuent à assurer le développement d’activités courantes et
nouvelles dans le cadre d’un programme sur le long terme.
Les milliers
d’emplois que ces investissements ont créés, les infrastructures qu’ils ont
permis de construire et de réparer à partir de rien, la revitalisation de
différents secteurs industriels ainsi que les centaines de millions USD de
revenus d’impôts générés annuellement pour l’Etat, restent sans précédent. Il
est un fait avéré que les avoirs et les sociétés associées au Groupe Fleurette,
constituent l’un des plus grands contributeurs fiscaux de la RDC au cours des
dernières années.
En dépit de cela, des journalistes, des bloggeurs, des
groupes de surveillance, des critiques, des concurrents et d’innombrables
personnes ayant dépeint une image négative de M. Gertler, ignorent manifestement
le fait que collectivement, les investissements promus par le Groupe Fleurette
ont aussi bien aidé à reconstruire la RDC que restaurer la stabilité à travers
le pays depuis plus d’une décennie.
Malgré les difficultés du secteur
minier causées par des années de négligence et de décadence, le groupe Fleurette
a investi des milliards USD dans la Société Kamoto Cooper (KCC), Mutanda Mining
(MUMI) et Kansuki. Cet investissement a été crucial dans la rénovation des
infrastructures et la reprise des opérations dans les deux plus importantes
mines de la RDC. Actuellement, plus de 8 000 employés, presque tous congolais,
travaillent chez KCC, MUMl et Kansuki. KCC et MUMI ont publié des résultats
record pour l’année 2012.
Une étude de la Banque mondiale établie en 2012
a démontré que les Congolais payaient sur leurs revenus une part plus élevée que
nulle part ailleurs dans le monde pour obtenir de l’électricité à des fins
professionnelles. En 2012, le Groupe Fleurette a joué un rôle de facilitateur
pour l’octroi d’un prêt syndiqué à long terme de 330 millions USD afin de
permettre à la compagnie d’électricité du pays, la Société nationale
d’électricité (SNEL), de lutter contre ce problème. Fleurette est aussi un
partenaire majeur dans ce consortium.
Au mois de juillet 2012, le
rapport d’International Crisis Group a établi le fait que si des mesures
adaptées étaient prises, la RDC pourrait transformer ses importantes réserves de
pétrole et de gaz (sur terre comme en mer) «en une opportunité de
développement». Le Groupe Fleurette se situe en première ligne dans l’apport
d’aide au développement des infrastructures de pétrole et de gaz de la RDC,
mises en valeur par un investissement de 150 millions USD réalisé en 2012.
En plus de son soutien dans l’infrastructure de pétrole et de gaz du
pays, il y a de nombreux avantages et souvent commodément ignorés que les
investissements des entreprises du Groupe Fleurette ont apportés à la RDC. Il y
a, par exemple, les taxes payées par le Groupe Fleurette dans les caisses du
Trésor public de la RDC de l’ordre de 256 millions USD en 2011, et 370 millions
USD en 2012.
Le Groupe Fleurette a aussi investi plus de 20 millions USD
pour la construction de plusieurs Safari Lodges afin d’aider à restaurer le
tourisme en RDC. Un Lodge, au niveau des chutes de Kiubo, alimenté à 100 % par
l’hydroélectricité, est situé à proximité du Parc national d’Upemba, foyer du
dernier troupeau de zèbres connu en RDC, et où les éléphants ont récemment été
redécouverts.
Les investissements facilités en RDC par le rôle de
conseiller de M. Gertler se sont étendus au-delà du secteur minier. Il est tout
autant impliqué dans la promotion d’investissements massifs pour le peuple
congolais. En 2007, la famille de M. Gertler a créé la Gertler Family Foundation
(GFF), afin de venir en aide aux Congolais les plus défavorisés.
Depuis
son début, la GFF a fondé des projets dans le domaine de la santé, l’éducation,
les infrastructures, la culture, l’aide d’urgence et autres projets sociaux
ayant permis de changer la vie de milliers de Congolais dans le besoin. Les
investissements de la GFF qui s’élèvent à plusieurs dizaines de millions USD
depuis son commencement, restent sans précédent pour une fondation en
RDC.
En 2013, la GFF financera la construction de deux fermes modernes de
grande ampleur produisant des légumes frais de qualité, à des prix encore jamais
vus en RDC et destinés aux marchés locaux. Les fermes de Kinshasa et Lubumbashi
où des millions ont été investis, ne produiront pas uniquement des produits
innovants, elles introduiront aussi des techniques agricoles modernes, comme la
gestion d’exploitation agricole pour des centaines d’étudiants congolais qui
utiliseront les connaissances acquises afin de participer au développement et à
la gestion de fermes modernes à travers le pays.
La GFF, en
collaboration avec Operation Smile en 2012, a organisé et garanti le financement
de 45 volontaires médicaux et non médicaux venant du monde entier, afin
d’assurer des opérations gratuites de chirurgie reconstructive faciale à plus de
100 Congolais à Lubumbashi. En 2014, le budget approximatif de la GFF s’élevant
à environ 5 millions USD annuels financera 10 nouveaux projets sociaux, voire
plus, et continuera à porter assistance à 10 (ou plus) projets en cours ou
pluriannuels à travers la RDC.
Les projets en cours comprennent des
hôpitaux pour lesquels GFF a apporté sa contribution dans la construction, la
rénovation et l’équipement au niveau des capitales provinciales de Kisangani et
Kindu au cours de l’année 2012, avec la remise en activité des services médicaux
pour des dizaines de milliers de Congolais. La GFF ne s’est pas arrêtée là, elle
s’est engagée dans la gestion de l’Hôpital du Cinquantenaire à Kisangani pour
2013 et 2014, tout en apportant une aide continue similaire au nouvel hôpital de
Kindu.
Grâce à la GFF et à son rôle apporté dans les conseils donnés au
Groupe Fleurette, M. Gertler a fait preuve d’une exemplarité sans pareil depuis
plus d’une décennie en RDC. Les plans du Groupe Fleurette pour 2013 et au-delà,
comprennent de grands projets de développement d’infrastructures et d’autres
entreprises minières, ainsi qu’un engagement ferme pour des investissements
financiers futurs dans d’autres secteurs d’activités.
Le Groupe Fleurette
continue à travailler afin d’assurer l’augmentation des investissements
étrangers dans le pays et relancer la création d’emplois dans la région. De
plus, les revenus importants issus des taxes relatives aux investissements que
M. Gertler a facilités en conseillant le Groupe Fleurette, continuent à apporter
leur contribution au pays, ils ont permis la relance de l’économie et aident à
améliorer le bien-être du peuple congolais pour les années à venir.
Voici donc la vérité cachée en RDC. Une vérité que certains individus,
du fait de leur agenda personnel, politique ou économique contre Dan Gertler,
tentent opportunément de dissimuler en l’attaquant, que ce soit en RDC ou à
l’étranger. Cette tactique intéressée ne fait qu’affaiblir la RDC durant cette
période de son histoire alors que toutes les mesures pour la renforcer s’avèrent
nécessaires.
En dépit de cela, M. Gertler reste engagé envers le peuple
congolais pour les années à venir. De même que le sont sûrement plusieurs autres
opérateurs miniers sérieux et de bonne réputation dans l’industrie minière
congolaise, dans l’esprit des assises de Lubumbashi, conformément à la volonté
politique exprimée par le président Kabila ainsi que le gouvernement du Premier
ministre Matata.
C’est cette volonté politique d’attirer des
investisseurs qui connaissent l’Afrique en général et le Congo en particulier,
des investisseurs dédiés, professionnels et ayant une conscience sociale élevée
que toute l’industrie minière congolaise s’est fait le porte-parole aux assises
d’lndaba tenues du 3 au 6 février 2013 à Cape Town (RSA).
Écrit
par LE POTENTIEL 07/02/2013
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Potentiel
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