publié il y a 9 heures, 56 minutes, | Denière mise à jour le 28 octobre, 2012 à 2:57 |
Plus de cinq maisons ont été incendiées, plusieurs dégâts matériels signalés et des personnes blessées, samedi 27 octobre, au terme d’un conflit entre deux familles et qui a dégénéré dans le groupement de Burinyi à Mwenga au Sud-Kivu. A l’origine du conflit se trouve le meurtre d’une fillette des six ans, dont le corps a été ramassé le même jour dans une rivière en état de décomposition avancée.
Une vive tension a été observée, samedi, à Burinyi. Un groupe d’individus en colère s’est attaqué aux installations de la Police nationale congolaise (PNC), avant d’incendier des maisons.
Selon le chef de poste d’encadrement administratif de Burinyi, la cause de ces échauffourées, c’est la découverte du corps d’une jeune fille des six ans, portée disparue depuis un mois. Les sources proches de la victime ont indiqué que celle-ci était vue, pour la dernière fois, accompagnée de son oncle.
Ce dernier a été arrêté pour la disparation de la fillette. Après la découverte du corps, la famille de la victime a incendié la maison de l’accusé.
Cette situation a dégénéré, car la famille de l’accusé a aussi incendié la maison des parents de la défunte. Le feu a embrasé, par la suite, plusieurs autres maisons.
La PNC est intervenue pour calmer les deux parties, mais en vain, ont précisé des sources de la société civile. Aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. Mais plusieurs dégâts matériels ont été signalés, selon les autorités locales. «Ce dimanche, la situation semble se calmer», ont poursuivi les mêmes sources.
Le corps de la fillette a été inhumé, samedi. La police dit continuer l’enquête pour déterminer les motifs du meurtre de cette jeune fille. Mais, la société civile locale a avancé l’hypothèse de meurtre par corde, communément appelé «Kabanga».
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Ce dernier a été arrêté pour la disparation de la fillette. Après la découverte du corps, la famille de la victime a incendié la maison de l’accusé.
Cette situation a dégénéré, car la famille de l’accusé a aussi incendié la maison des parents de la défunte. Le feu a embrasé, par la suite, plusieurs autres maisons.
La PNC est intervenue pour calmer les deux parties, mais en vain, ont précisé des sources de la société civile. Aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. Mais plusieurs dégâts matériels ont été signalés, selon les autorités locales. «Ce dimanche, la situation semble se calmer», ont poursuivi les mêmes sources.
Le corps de la fillette a été inhumé, samedi. La police dit continuer l’enquête pour déterminer les motifs du meurtre de cette jeune fille. Mais, la société civile locale a avancé l’hypothèse de meurtre par corde, communément appelé «Kabanga».
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