Paul Kagamé, président rwandais (DR).
Dans un nouveau rapport, les Nations unies affirment que le Rwanda continue de soutenir les rebelles du M23 dans l’est de la RDC.
Le document, qui sera rendu public en novembre prochain, et dont l’agence Reuters a obtenu une copie, révèle que le ministre rwandais de la défense le général James Kabarebe, commande effectivement le groupe armé qui combat l’armée congolaise dans l’est de la République démocratique du Congo.
Le même rapport accuse également l’Ouganda de soutenir la milice M23 depuis avril dernier.
Il indique aussi que Kigali a fourni au groupe des armes lourdes et intensifié le recrutement de la milice, ce qui suppose que la chaine de commandement du M23 est de facto en contact avec le ministre rwandais de la défense.
Les armées des deux pays auraient aidé ce mouvement à étendre son contrôle sur le territoire.
Elles l’auraient également appuyé dans une série d’attaques au cours desquelles un casque bleu a été tué en juillet dernier.
Ce rapport s’appuie sur celui publié il y a quelques mois et qui avait accusé des hauts responsables du ministère rwandais de la défense de fournir des armes, desmunitions et autres formes de soutien à la milice M23.
Le Rwanda avait vigoureusement nié les allégations.
C’est en mars dernier que la rébellion du M23 a commencé à livrer une guerre aux forces congolaises dans la partie est du pays.
Près d’un demi-million de personnes ont été contraintes de se déplacer en raison des combats entre le mouvement rebelle et l’armée congolaise.
La communauté internationale dont Washington a condamné l’appui de Kigali aux rebelles. Les Etats-Unis et certains pays européens avaient menacé de suspendre leur aide au Rwanda.
Depuis deux décennies, Kigali soutient les mouvements armés dans l’est de la RDC comme un moyen de lutte contre les rebelles hutus qui ont fui le Rwanda après le génocide de 1994.
Certains accusent le Rwanda d’utiliser des milices par procuration dans une bataille visant à contrôler cette région, riche en minéraux.
Dans un nouveau rapport, les Nations unies affirment que le Rwanda continue de soutenir les rebelles du M23 dans l’est de la RDC.
Le document, qui sera rendu public en novembre prochain, et dont l’agence Reuters a obtenu une copie, révèle que le ministre rwandais de la défense le général James Kabarebe, commande effectivement le groupe armé qui combat l’armée congolaise dans l’est de la République démocratique du Congo.
Le même rapport accuse également l’Ouganda de soutenir la milice M23 depuis avril dernier.
Il indique aussi que Kigali a fourni au groupe des armes lourdes et intensifié le recrutement de la milice, ce qui suppose que la chaine de commandement du M23 est de facto en contact avec le ministre rwandais de la défense.
Les armées des deux pays auraient aidé ce mouvement à étendre son contrôle sur le territoire.
Elles l’auraient également appuyé dans une série d’attaques au cours desquelles un casque bleu a été tué en juillet dernier.
Ce rapport s’appuie sur celui publié il y a quelques mois et qui avait accusé des hauts responsables du ministère rwandais de la défense de fournir des armes, desmunitions et autres formes de soutien à la milice M23.
Le Rwanda avait vigoureusement nié les allégations.
C’est en mars dernier que la rébellion du M23 a commencé à livrer une guerre aux forces congolaises dans la partie est du pays.
Près d’un demi-million de personnes ont été contraintes de se déplacer en raison des combats entre le mouvement rebelle et l’armée congolaise.
La communauté internationale dont Washington a condamné l’appui de Kigali aux rebelles. Les Etats-Unis et certains pays européens avaient menacé de suspendre leur aide au Rwanda.
Depuis deux décennies, Kigali soutient les mouvements armés dans l’est de la RDC comme un moyen de lutte contre les rebelles hutus qui ont fui le Rwanda après le génocide de 1994.
Certains accusent le Rwanda d’utiliser des milices par procuration dans une bataille visant à contrôler cette région, riche en minéraux.
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