mardi 8 avril 2014

VOCI UN GROS MENSONGE, MANIPULATION DE LA FMI et LA BANQUE MONDIALE





Protestation contre la banque Mondiale à JAKARTA, en Indonésie en 2004
C'est de la manipulation pire et simple des noirs: 
pour tromper la vigilances des africains... Car le Nigeria un pays en guerre, un pays dictatorial en manque de démocratie, où l’alternance est torpillée par l'occident à cause du pétrole, un pays pillé de son pétrole par l'occident et ils divisent chrétiens et musulmans pour régner en maitre et pérenniser la misère... 
Ce pays ne peut jamais dépasser la RSA, un pays stable économiquement et politiquement et moins pillé par l'occident. 
File:World Bank building at Washington.jpg
Banque Mondiale
Ces mêmes FMI et la BM proclament abusivement une fausse croissance en RDC, où le pillage est excessif de ses minerais sans aucun signe de croissance dans l'économie nationale ni budgétaire...
 
ECONOMIE - Le Nigeria devient la première économie d’Afrique ce qui est purement faux
Avec un PIB de 510 milliards de dollars en 2013, le Nigeria devient officiellement la première économie africaine, devant l’Afrique du sud
Un chiffre obtenu grâce à une nouvelle méthode de calcul du PIB. En appliquant cette nouvelle technique, le PIB de 2012 était de 453,9 milliards de dollars, devant les 384 milliards de l’Afrique du Sud la même année. 
Le Nigeria n’avait pas changé de méthode de calcul depuis 1990 alors que les statisticiens des Nations Unis recommandent d’adapter le mode de calcul du produit intérieur brut tous les 5 ans pour intégrer les évolutions de la production et de la consommation.
Si ces nouveaux chiffres permettent de donner une image plus fidèle de l’économie du pays, les experts mettent en garde : ce n’est pas le signe d’un développement économique du Nigéria, l’Afrique du Sud restant largement en tête en terme de PIB par habitant, mais aussi d’infrastructures et de gouvernance.
Le Nigeria reste un pays très corrompu ou la grande majorité des 170 millions d’habitants vivent avec moins de 2 dollars par jour quand une petite élite profite des richesses du pétrole. L’accès à l’eau potable est toujours un problème majeur, tout comme les coupures quotidiennes d’électricité et le manque d’infrastructures modernes.

Marie Dumoulin (www.lepetitjournal.com/lecap.htmlmardi 8 avril 2014

lundi 7 avril 2014

Le Rwanda et l’Ouganda accusés de soutien au M23 par un nouveau rapport de l’ONU

RDC: l’Ouganda prêt à collaborer avec la CPI concernant le M23 


L'Ouganda est prêt à coopérer avec les autorités de RDC pour transférer certains membres du groupe rebelle du M23 devant la Cour pénale internationale (CPI). Depuis novembre 2013, plusieurs centaines de rebelles du M23, qui agissaient dans l'est de la RDC, sont sur le sol ougandais et la communauté internationale reproche régulièrement à Kampala de ne pas coopérer clairement.

« Nous sommes fatigués d'être accusé de soutenir les rebelles congolais » : interrogé par le Wall Street Journal, le secrétaire d'Etat, Henri Oryem Okello a insisté sur les bonnes dispositions du gouvernement ougandais, prêt dit-il à coopérer avec les autorités de RDC et la communauté internationale. En jeu, un éventuel transfert de leaders du M23 vers la Cour pénale internationale, des membres suspectés de viols, d'exécutions sommaires et de recrutement d'enfants soldats, lors de la rébellion qui a agité l'Est de la RDC pendant 20 mois.

A Kinshasa, on accueille les déclarations ougandaises avec soulagement : « C'est une très bonne chose dans la mesure où l'Ouganda s'était engagé dans l'accord-cadre signé à Addis-Abeba en 2013 de coopérer avec la justice internationale et avec la justice des pays signataires. On a eu à un moment donné une impression de flottement. Je pense ainsi que tout rentre dans l'ordre à partir du moment où ce sera suivi des faits », confirme le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mendé.


Qui sont les personnes visées par une éventuelle procédure devant la CPI ? Kinshasa refuse de donner des noms. Sur le millier de membres du M23 présents sur le territoire ougandais, 10% seraient concernées par des poursuites judiciaires expliquent les autorités congolaises. La plupart pourraient être traduits devant la justice de leur pays et quelques uns seulement présentés à la CPI.

Au sein du M23, on attend la position officielle de la Cour avant de se prononcer. Un représentant du mouvement précise que la grande majorité des membres du M23 réfugiés en Ouganda n’est pas concernée par ces poursuites et attend toujours la mise en œuvre d'une procédure d’amnistie, promise par Kinshasa en décembre 2013.

 http://www.rfi.fr/afrique/20140407-rdc-ouganda-pret-collaborer-cpi-concernant-le-m23/


RDC: les Hutus face au douloureux souvenir des massacres de 1996
"Un pasteur avait dit à ses fidèles que s'ils restaient ensemble dans une maison, les militaires rwandais ne feraient rien. Mais ils ont incendié la maison", raconte Ignace, revenant sur les massacres de Hutu dans l'est de la République démocratique du Congo en 1996-1997.

Vingt ans après le génocide des Tutsi au Rwanda, ces massacres de Hutu en RDC sont toujours un sujet très sensible: Kigali considère leur évocation comme relevant du négationnisme, et Kinshasa n'a jamais véritablement enquêté sur le sujet.

"Ils ont beaucoup tué! Ils avaient mis des barrières et, si tu avais un nom hutu, on t'emmenait, on te disait que c'était pour sarcler les haricots, mais on te tuait!", s'emporte Chiza, une Hutu congolaise de Rutshuru.

Située à 50 km au nord de Goma, la capitale du Nord-Kivu, cette ville et le territoire du même nom ont été l'un des grands théâtres de ces tueries perpétrées après l'entrée de troupes rwandaises au Congo (à l'époque le Zaïre) en 1996.

Kigali soutenait alors les rebelles congolais de l'Alliance des forces démocratiques pour la libération (AFDL) de Laurent-Désiré Kabila - père de l'actuel président, Joseph Kabila - qui allait renverser l'année suivante le dictateur Mobutu Sese Seko.

L'offensive a commencé dans les provinces du Sud et du Nord-Kivu, où des centaines de milliers de Hutu rwandais s'étaient réfugiés en 1994 pour fuir l'avancée du Front patriotique rwandais (FPR), qui stoppa cette année-là le génocide des Tutsi au Rwanda et prit le pouvoir à Kigali.

Pour les autorités rwandaises, il fallait mettre fin aux actions des génocidaires hutu qui menaient des attaques de harcèlement en territoire rwandais à partir des camps de réfugiés.

Une fois en territoire congolais, les militaires rwandais n'ont pas simplement traqué les génocidaires pour les éliminer: selon plusieurs habitants, ils ont visé indistinctement Hutu rwandais et congolais, civils, hommes, femmes, vieillards et enfants.

Les soldats de Kigali sont notamment accusés d'avoir organisé de fausses réunions de réconciliation pour rafler les hommes, qui étaient ensuite assassinés ou enrôlés comme chair à canon pour combattre dans les forces rebelles.

- Enquête de l'ONU -

"J'ai vu une femme enceinte, le ventre ouvert, le bébé sorti à côté d'elle, encore relié par le cordon. Le ventre de la mère était rempli de mouches", se souvient Chiza, membre d'une association de femmes.

Plus tard, les "1. 500 familles" du camp de déplacés hutu à Nyongera (à quelques kilomètres au nord de Rutshuru) "ont toutes été tuées", assure-t-elle. "Ils ont tué les gens instruits. Ils ont tué la jeunesse de Rutshuru!"

La traque des Hutu ne s'est pas limitée à l'Est. Devant l'avancée des troupes rwandaises et de l'AFDL, des centaines de milliers de Hutu fuient vers l'ouest pendant des semaines sur un parcours de plus de 1. 000 km, jalonné de fosses communes.

Premier à avoir enquêté sur ces massacres pour le compte de l'ONU, dès avril 1997, le Chilien Roberto Garreton se souvient être arrivé assez vite à la conclusion qu'ils avaient fait "environ 150. 000 morts".

"Il y avait beaucoup d'indices montrant que le but était d'exterminer ceux qui ont commis le génocide" contre les Tutsi, a-t-il dit à l'AFP par téléphone de Santiago.

Mais "ce n'était pas possible de dire avec certitude qu'il y avait génocide", c'est-à-dire volonté d'exterminer tout un groupe ethnique, ajoute-t-il.

Constamment gênée par les autorités congolaises, l'enquête de l'ONU mettra des années pour arriver en 2010 à la conclusion que "les attaques en apparence systématiques et généralisées" perpétrées par les troupes rwandaises et l'AFDL contre les Hutu "révèlent plusieurs éléments accablants qui, s'ils sont prouvés devant un tribunal compétent, pourraient être qualifiés de crimes de génocide".

Assistant social hutu congolais, Jonas (les prénoms ont été changés) se souvient que "fin octobre-début novembre" 1996 plusieurs dizaines de personnes au moins avaient été "rassemblées dans la résidence du chef du bureau du territoire de Rutshuru et conduites dans la prison un peu plus loin".

"Vers 18h00 ou 19h00, on prenait des groupes de 5 ou 10 personnes, on les ligotait, on les emmenait ici, et on les tuait avec une petite houe", relate-il en montrant, à quelques mètres de la prison, le lieu d'exécution et le trou - aujourd'hui envahi d'herbes folles - où les corps étaient jetés. Les ossements ont été sortis lors de l'exhumation de la fosse en 2005.

Olivier, lui, dit avoir échappé à un "massacre planifié" fin 1996 à Rwanguba, à une dizaine de kilomètres à l'est de Rutshuru. "Un matin, quand on est revenu, on a retrouvé ceux qui n'avaient pas fui: ils étaient ligotés, et leur cerveau avait été arraché à la hache", raconte-t-il, affirmant, comme d'autres, que les attaques ont parfois aussi visé des non-Hutu.

Près de vingt ans après les faits, les responsables de ces crimes de masse, comme ceux de bien d'autres commis dans les années suivantes en RDC, n'ont pas été inquiétés.
 
 
Distribuer Par Jacques E. Muzani Nilabwe

dimanche 6 avril 2014

VOICI UVIRA une ville du SUD_KIVU

Uvira – Les chansons folkloriques ont la cote

Uvira 2
Lors des fêtes et des mariages, les chansons folkloriques de chaque communauté sont de plus en plus appréciées à Uvira au Sud Kivu. Retraçant les coutumes et donnant d’utiles conseils, elles raffermissent les liens entre les habitants.
« Si tu veux voir ta piste de danse envahie par les invités à une fête, jeunes et vieux, joue les chansons folkloriques du Sud-Kivu, essentiellement celles d’Uvira », conseille désormais Bisengo qui travaille dans un studio musical dans le centre-ville d’Uvira au Sud Kivu. Il est de plus en plus sollicité par des responsables des salles de fêtes pour agrémenter les cérémonies de mariage. Et là, ces musiques font la loi. « Des invités viennent même souvent nous chuchoter à l’oreille les musiques locales qu’ils aiment, a-t-il constaté ces derniers temps. J’ai même vendu, seulement en décembre, environ 25 CD, sans compter plusieurs centaines de chansons folkloriques que j’ai chargées dans des lap tops et cartes mémoires ». En 2011, il n’en vendait que 4 par mois.
Un changement que beaucoup attribuent aux messages véhiculés par ces chansons. « Elles prêchent la cohabitation pacifique des tribus dans cette région, rappellent les cultures des communautés, les us et coutumes mal connus de ceux qui grandissent en ville. Elles donnent aussi des conseils aux nouveaux mariés ainsi qu’aux belles familles pour des lendemains meilleurs du couple ». Cela leur vaut un sacré succès.
Danser local
Une bonne affaire pour les musiciens locaux. « En 2013, nous avions un album de 10 titres joués presque tous dans des fêtes et studios. Cela nous fait gagner un peu d’argent », se félicite Théophile Maisha, président d’un groupe musical de la tribu fuliru, discret sur le montant du gain. Son groupe est aussi invité régulièrement pour agrémenter fêtes de mariage, d’anniversaire, karaoké, ou se produire en concert lors des rassemblements des communautés. Kipanga Kikukama, responsable, à Uvira, du service de culture et art, s’en réjouit. « Je constate que chaque communauté a un orchestre folklorique qui véhicule sa culture et son histoire. Ils produisent des chansons qui contribuent à l’éducation morale et l’enseignement de nos proverbes et évènements ancestraux. »
Dans des fêtes, on joue les chansons folkloriques des diverses tribus. C’est ainsi que dans une fête d’un fuliru ou vira, les chansons folkloriques phares des Bashi comme Mwana wa mashamuka (l’enfant grandit) ou Kabibi (jeune fille), sont appréciées par les invités de n’importe quelle tribu. Lors de son mariage avec Mireille, fin novembre 2013, Jean-Claude Mulemera de 28 ans se souvient d’avoir dansé des chansons Vira, Lega, Bembe jusqu’à avoir le souffle coupé avec ses invités. « C’est une joie quand nous les dansons car tout ce qui y est dit, des conseils aux couples essentiellement, est bien compris et contextualisé », affirme-t-il.
Les musiques étrangères, la plupart du temps interprétées en français, en anglais ou en indien, jusqu’ici à la mode, sont peu comprises par les populations locales. « A cela s’ajoute l’habillement peu dans les images, des danses obscènes et l’atteinte aux bonnes mœurs auxquelles nous demeurons attachés », blâme Zacharie Abamungu, habitant d’Uvira.
Depuis deux ans, ces musiques jusqu’alors inconnues sont souvent balancées dans les médias locaux. Cinq des six radios d’Uvira, accordent des espaces aux différentes mutualités. Chaque communauté en profite pour jouer ses musiques. Selon Mazambi Irato, présentateur d’une émission de Banyindu, une tribu du Kivu, elles sont toujours liées au thème du jour.

PIERRE KILELE MUZALIWA/PATIENT DEBABA LUFIRA/SGL
- See more at: http://www.lecongolais.cd/uvira-les-chansons-folkloriques-ont-la-cote/#sthash.PGPEbqGU.dpuf

CONGOLAIS NOUS DEVONS NOUS PRENDRE EN CHARGE PAR DES REVOLTES VIGOUREUSES, ... DES RECLAMATIONS DE NOS DROITS, ... DES MANIFESTATIONS STRATEGIQUES,.. LE DESTIN DE NOTRE NATION DOIT ETRE GERER PAR NOUS MEME

Chers compatriotes,
 
Quelques points de vue sur le plan politique et sociaux économique qui prévaut à l’Est du Congo particulièrement dans le Province de Nord-Kivu, Sud-Kivu et Maniema;
 
Sur le plan politique il y a toujours des trucages pédants des élections au niveau   provincial même au niveau national il y a toujours de préférence par des belligérants étrangers, veut dire les soit disant élut ne sont pas vraiment les choix de la population locaux, et ne manifeste pas les vraie résultat du scrutin.  Car pour être candidat tu dois être quelqu’un qui a des rapports bien entretenu avec certain autorités de Kinshasa.
Ce qui ne pas en rapport avec la transparence de notre constitution  concernant les élections.
 
Comment nos provinces de l’est aura à se développer au moment où notre choix n’est pas applicable?

Que la démagogie politique cesse à s’imposer  sur nous  et nous faire croire qu’un jour les choses changeras du bien, on attendra cela jusqu’à l’arrive de Jésus-Christ.
 
Nous serons toujours soumises à des conditions inhumaines et vivre dans des conditions démagogue par ces politiciens qu’on nous a était impose dans des voies parait-il électoral.

Tel que vous savent bien nous votons mais on n’a pas les droits de critiquer ou même de se manifester contre les désordres qui est entre de ce répète; Car nos dirigeant prends les critique comme étant des injures et vous pouvait être en prisoner pour inciter la population de ce soulever contre l’autorité d’état. Qu’il y soit un vrai processus de changement dans nos provinces sur toute l’étendu de la république.  Il faut qu’on soit bien représenté et emplanter des institutions de droit d’états sans interférences.  

Chers compatriotes,

Nous ne s’en sortira pas de cette pauvrette total et du sous-développement qu’on vie, il y a des années même après l’indépendance alors que nos provinces sont bien situer avec ces ressources; si nous continuons à être diriger de cette manières mentionner ci-haut. 

Actuellement nous vivons à un moment de s’exprimer librement que nos héros, tel que Lumumba, et Mandela ont dédié leurs vies entières pour nous faire sortir des oppresseurs.

L’insécurité qui  se déroulent dans nos provinces par des groupes armes y  comprit même le force de l’ordre national mal rémunérais mais contrôler directement par les autorités de Kinshasa,  sont aussi accusé a des viols et a des actes d’impunités  continuera à bloquer, le processus du développement.
Certaines potentialités économiques de nos provinces resteront tout d’abord mal exploitées et autres sous-exploité suite à l’anarchie organiser.
Soyons actif et très concerner  de la situation politique qui est toujours manipuler par certains gens qui ses font des leaders mais réellement  ils cherchent en s’enrichir au détriment du peuples,  car pour se libère de ce qui se passe actuellement ne viendra de nul part mais de nous même.  

Pour termine, sachez bien que la politique est l’engeait directrice de l’administration d’Etat et du développement nationale. Toute nations qui a des problèmes politiques ont toujours eu des problèmes sociaux économiques et du sous développement.
 
 
Jacques E. Muzani Nilabwe




To: kivu-avenir@yahoogroupes.fr
From: kivu_avenir@yahoo.fr
Date: Thu, 3 Apr 2014 11:42:58 +0100
Subject: Kivu-Avenir- [Euracinfocongo] Sud-Kivu: l'élection du vice-gouverneur fixée au 14 mai


 
Sud-Kivu: l’élection du vice-gouverneur fixée au 14 mai
 
Des opposants et des journalistes le 5/9/2011 à Kinshasa, lors du dépôt de la candidature d’Etienne Tshisekedi pour la présidentielle 2011, devant le bureau de réception, traitement des candidatures et accréditation des témoins et observateurs de la Ceni à  Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Des opposants et des journalistes le 5/9/2011 à Kinshasa, lors du dépôt de la candidature d’Etienne Tshisekedi pour la présidentielle 2011, devant le bureau de réception, traitement des candidatures et accréditation des témoins et observateurs de la Ceni à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
 
L’élection partielle du vice-gouverneur de la province du Sud-Kivu interviendra le 14 mai prochain et la publication des résultats aura lieu le même jour. C’est ce qu’indique le calendrier aménagé de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) publié mercredi 2 avril à Bukavu. Selon l’agenda de cette institution citoyenne, le processus de dépôt, le traitement et la publication des candidatures sera amorcé à partir de vendredi 4 avril prochain.
La publication des résultats définitifs par la cour d’appel de Bukavu interviendra le 30 mai, ajoute le même document de la Ceni.
Le poste du vice-gouverneur est resté vacant depuis l’élection de Jean-Claude Kibala comme député en 2011 et sa nomination au gouvernement comme ministre de la Fonction publique. En janvier dernier, la Ceni avait publié un calendrier pour organiser cette élection au 20 février.
 
Depuis cette annonce, aucune candidature n’a été enregistrée, affirme le rapporteur de la Ceni, Jean-Pierre Kalamba Mulumba.
Le poste à pourvoir n’est ouvert qu’à la majorité présidentielle (MP), plate-forme politique à laquelle appartient l’ancien vice-gouverneur.
Jean-Pierre Kalamba explique que les candidats intéressés devraient se présenter officiellement au bureau de réception et traitement des candidatures de la Ceni du Sud-Kivu.
« Le bureau sera ouvert auprès du secrétariat exécutif provincial au niveau de la ville de Bukavu comme chef lieu de la province du Sud-Kivu. Après le traitement, les dossiers seront transmis au bureau de la Ceni à Kinshasa qui examinera de la validité des dossiers et rendra une décision de déclaration de candidature recevable ou non recevable. C’est ça la procédure classique », a-t-il ajouté.
L’ONG Groupe des faiseurs d’opinion pour la démocratie et la bonne gouvernance (Refodeg)  a réclamé en mars 2013 l’élection du vice-gouverneur du Sud-Kivu, soulignant que le vice-gouverneur est « un personnage très important de la province ».
 
 
Radio Okapi
http://radiookapi.net/actualite/2014/04/03/sud-kivu-la-ceni-publie-le-nouveau-calendrier-de-lelection-du-vice-gouverneur/

La Prospérité : « Après l’UDPS & Alliés : ‘‘Sauvons la RDC’’ rejette la révision constitutionnelle ! »

avril 4, 2014, | Denière mise à jour le 4 avril, 2014 à 8:59 | sous Revue de presse. Mots clés: , ,

Des opposants lors d’une rencontre politique le 31/03/2014 dans la salle Fatima à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
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Des opposants lors d’une rencontre politique le 31/03/2014 dans la salle Fatima à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Revue de presse kinoise du vendredi 4 avril 2014 La plupart des journaux parus ce vendredi 4 avril reviennent sur la fin de la rencontre de formations de l’opposition formant la coalition « Sauvons la RDC ». 

Cette plateforme est opposée à toute modification de l’actuelle constitution.
La Prospérité indique que d’importantes résolutions ont été adoptées à l’issue des travaux en ateliers.
Au sujet des élections à venir, écrit le journal, cette plateforme propose sa propre feuille de route qui exige, entre autres, le dialogue inclusif en mai 2014 ; la révision de la loi électorale, la requalification du Bureau de la Ceni, l’audit du fichier électoral, l’élaboration de la cartographie électorale.

« Il faudra condamner le complot ourdi à la ferme de Kingakati contre notre peuple et sa constitution et inviter le peuple à se dresser comme un seul homme contre cet énième coup d’Etat, en recourant, au besoin, à l’article 64 de la Constitution qui impose à tout congolais le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou l’exerce en violation des dispositions de la présente constitution… », lit-on dans les résolutions adoptées au cours de ces assises.

Forum des As s’intéresse également à cette rencontre de l’opposition organisée à Kinshasa. Apparemment, souligne le quotidien, les participants à cette rencontre demeurent loin d’apporter leur caution aux propositions du président de la Ceni qui souhaitait, pour les prochaines élections provinciales en RDC, un choix à opérer entre le suffrage universel direct et le suffrage universel indirect.

Ces opposants récusent ainsi la présence de l’abbé Malumalu à la tête de la Ceni parce qu’étant, à leurs yeux, un conseiller du chef de l’Etat.

Au sujet du gouvernement de cohésion nationale, note le journal, « Sauvons le Congo » exige un Gouvernement responsable, composé des patriotes capables de lutter contre les antivaleurs telles que la corruption, l’impunité, le pillage des ressources de la RD Congo.

Bref, commente le quotidien, tout sauf un Gouvernement issu des Concertations nationales auxquelles ces opposants n’ont pas pris part.

Pour sa part, L’Avenir fait sa une sur la conférence de presse tenue le jeudi par le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende. Ce dernier a protesté contre des informations diffusées sur Rfi faisant état de la complicité entre des responsables de l’armée congolaise et des rebelles rwandais des FDLR.
Pour Lambert Mende, note le confrère, ces informations qu’il rejette peuvent donner l’eau au moulin de tous les autres aventuriers qui cherchent une occasion pour envahir le territoire congolais.
Le porte-parole du gouvernement regrette le fait que la radio mondiale soit tombée dans la subjectivité sans pourtant vérifier l’information.
Ce qui dénote un manque de professionnalisme, commente le journal, surtout lorsqu’on sait que la vérification est la règle élémentaire dans le traitement de toute information dans ce dossier des Fdrl.
L’Avenir déplore un dérapage de RFI.

mardi 1 avril 2014

POURQUOI DES MORTS TOUS LES JOURS EN RCA ???

Message envoyé via la Radio Okapi mais non publié
 
En RCA, tout comme en Cote d'Ivoire, en Égypte, en RDC, au Rwanda, au Mali,.... Les guerres, les tueries, les massacres sont très souvent liées abusivement aux Problèmes tribales, religions,... 
 
Pourtant on sait que ces divisions tribales ou liées aux religions sont des moyens qu'utilisent la France et les USA pour s'installer et régner en maitre chez les Noirs.
En RCA, comme vous le savez, les dirigeants africains font la honte manifeste, incapable de résoudre leurs problèmes...
Les tueries et chaos en RCA est une conséquence de l'influence négative dominatrice de la France depuis les pdt David Dacko et Bokassa. Comme dans d'autres pays d'Afrique francophone, suite au diamant et autres matières en RCA... la France n'a jamais lâché et ne lâchera jamais ce pti pays.
Actuellement Idris debis est utilisé par la France pour remplacer les dirigeants en RCA...sous couvert des signatures des pdts de la région qui font aussi allégeance à la France...ont décidés de remplacer Bozize et Djotodia pour garantir les intérêts de la France au mépris des centrafricains.

La 1ère solution en RCA, c'est faire DÉGAGER tous les militaires Tchadiens et Francais, le reste sera géré par les Centrafricains eux-mêmes.
La solution globale, c'est garantir la souveraineté et la liberté totale des peuples noirs de gérer leurs destins... en RCA, au Mali, en Cote d'Ivoire, en RDC, ....  

ARRETER LES INGÉRENCES OCCIDENTALES EN AFRIQUE...ILS NOUS MASSACRENT, NOUS CREENT DES GUERRES, NOUS PILLENT, NOUS MÉPRISENT....